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24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 18:35

Création d’une aide à l’embauche des plus de 55 ans

 

Les employeurs éligibles à la réduction Fillon peuvent bénéficier d’une aide pour l’embauche de salariés âgés de plus de 55 ans et inscrits sur la liste des demandeurs d’emploi, sans condition de durée minimale de recherche d’emploi (art. 103 de la loi réformant les retraites).

Le recrutement du chômeur doit se faire en contrat à durée indéterminée (CDI) ou à durée déterminée (CDD) d’au moins 6 mois.

L’aide, versée par Pôle emploi, représente 14 % du salaire brut, pendant un an, quel que soit le niveau de salaire, dans la limite du plafond de sécurité sociale (2 885 € par mois en 2010).

L’aide ne peut être accordée :

  • si un licenciement économique a eu lieu sur le poste pourvu par le recrutement, dans les 6 mois qui précèdent,
  • ou si l’employeur n’est pas à jour de ses cotisations et contributions sociales, sauf en cas de plan d’apurement.

L’application de cette mesure est subordonnée à la parution d’un décret.

 

Loi n°2010-1330 du 9 novembre 2010, JO du 10 novembre 2010Légifrance
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Published by Yves Marion - dans Informations sociales
24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 18:34

Elections

Inscription sur les listes électorales jusqu’au 31 décembre 2010

Les personnes désirant s’inscrire sur les listes électorales ou modifier leur inscription doivent déposer leur demande en mairie jusqu’au 31 décembre 2010 au plus tard, munies de pièces justificatives. Les jeunes majeurs, inscrits d’office, sont encouragés à se présenter à leur mairie pour s’assurer que leur inscription a bien été prise en compte.

consulter le dossier

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Published by Yves Marion - dans Questions de société
24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 18:31

Sécurité routière

Code de la route : nouvelles règles de circulation

Publié le 17.11.2010 par Service-Public.fr

Un décret publié au Journal officiel du mardi 16 novembre 2010 fixe toute une série de mesures concernant la sécurité routière à la fois pour les usagers de la rue (traversée des chaussées par les piétons, circulation de certains usagers sur les trottoirs) mais aussi pour ceux de la route (conduite de motocyclette, véhicules débridés).

Usagers de la rue

Tout conducteur est tenu de céder le passage au piéton s’engageant régulièrement dans la traversée d’une chaussée ou manifestant clairement l’intention de le faire ou circulant dans une aire piétonne ou une zone de rencontre.

Les enfants de moins de 8 ans qui conduisent un cycle peuvent utiliser les trottoirs ou accotements à la condition de conserver l’allure du pas et de ne pas occasionner de gêne aux piétons (sauf dispositions contraires prises par l’autorité investie du pouvoir de police).

Usagers de la route

Ce décret encadre également l’installation par les collectivités locales du "tourne-à-droite" aux feux tricolores pour les cyclistes.

Ce texte fixe aussi, à compter du 1er janvier 2011, la mise en place d’une formation de 7 heures pour les détenteurs de permis B souhaitant conduire une motocyclette légère ou un véhicule à 3 roues de plus de 50 cm³ (lorsqu’ils n’ont pas déjà suivi une formation de 3 heures ou n’ont pas assuré un tel véhicule durant une certaine période).

Enfin, des sanctions sont confirmées en cas de conduite d’un véhicule débridé (contraventions de 4ème classe, immobilisation et mise en fourrière, confiscation du véhicule).

Ce décret fait suite à un décret du 30 juillet 2008 lié notamment à l’aménagement de zones de circulation particulières en agglomération. Un arrêté publié au Journal officiel du 9 décembre 2008 a d’ailleurs précisé le contenu des panneaux de signalisation indiquant l’entrée et la sortie des zones de rencontre où les piétons peuvent circuler sur la chaussée en ayant la priorité.

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Published by Yves Marion - dans Questions de société
24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 18:29

 

 

Le Soldat Albert Godefroy :

le héros de Néhou

 

Les Amis de l’Ancienne Baronnie de Néhou

 

Retraceront l’histoire du soldat

Albert Godefroy fusillé le 28 août 1914

après l'assemblée générale (20 heures)

 

Vendredi 26 novembre 2010 

à  20h45

 salle  communale de Néhou

 

(Cette conférence sera précédée de

l’assemblée générale de l’association de 20h00 à 20h45)

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Published by Yves Marion - dans Amis de l'ancienne baronnie de Néhou
24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 18:29

 

Récital du coeur.

List et Franck par Olivier Peyrebrune au piano,

le mardi 4 janvier 2011,

au Grand auditorium de Caen.

Concert donné au profit d'Autisme Basse-Normandie. 

A ne pas manquer.

Diffuser l'information aussi largement que possible

 

Concert 1

Concert 2

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Published by Yves Marion - dans Coups de coeur
24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 18:22

 

 

Mac Arthur s'adressant aux Cadet de West Point :

 

" Old soldiers never die, they just fade away".

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:

U.S._Military_Academy_COA.png

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Published by Yves Marion - dans Mes lectures
20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 18:34
La face cachée du pouvoir 
[mercredi 17 novembre 2010 - 21:00]



LA NATURE DU POUVOIR
Luciano Canfora
Éditeur : LES BELLES LETTRES
94 pages /10,45 € sur
Résumé : Un petit livre dans lequel Luciano Canfora poursuit sa réflexion sur la scène et les coulisses du pouvoir.

Le titre de l’ouvrage laisse attendre un traité ou une somme. Il n’en est rien ; il s’agit d’un opuscule de 90 pages dont les chapitres se succèdent telle une série de vignettes. Le risque est connu : celui de lire un auteur qui papillonne autour d’une question qu’il ne fait qu’effleurer. Tel n’est pas le cas et autant le dire sans attendre : il s’agit d’un grand petit livre, dans lequel Luciano Canfora   cherche moins une solution qu’à dessiner les termes du problème. Il s’expose lui-même dans une recherche qui semble prise sur le fait. Le lecteur, on pourrait dire l’invité, progresse au rythme d’une pensée en marche. Le livre est ainsi conçu que chaque page est un tremplin pour la suivante.


Passé Présent, aller-retour


A quoi sert l’Antiquité ? La question a été mille fois posée. On ne compte plus les livres insipides, anachroniques, idéologiquement surchargés, où le passé est reconstruit en fonction du présent et de raccourcis erronés. L’ouvrage de L. Canfora s’expose à ce risque et c’est tout son mérite, exemplaire, de ne pas céder à la tentation des "vérités éternelles". Appien, Aristote, Brutus, Cassius, Cicéron, Clisthène, Cyrus, Hérodote, Horace, Lysandre, Plutarque, Polybe, Pompée, Sylla, Tite-Live, sont quelques uns des grands témoins qui dialoguent, hors de toute chronologie, avec Trotski, Roosevelt, Robespierre, Reagan, les deux Napoléon, Lloyd George, Kirov, Hitler, De Gasperi, Churchill et Bismarck. Tout ceci ne va pas sans une pointe de virtuosité. Mais la vertu l’emporte sur l’exercice de style : non seulement L. Canfora ne dit rien qui ne s’appuie sur une connaissance des faits érudite et méditée, mais il s’en tient à l’analogie, méthode attentive et scrupuleuse ("L’analogie risque parfois d’endormir la nécessaire vigilance de l’historien, qui s’efforce au contraire de saisir la différence", p.87) qui aboutit, comme l’indique le titre même, à penser un concept. L. Canfora dispose à tâtons les similarités et les dissemblances et termine son ouvrage honnêtement, c’est-à-dire sans réponse.


Le lieu du pouvoir


L’enquête vise moins à déterminer la nature du pouvoir que son lieu de résidence. Où se trouve-t-il ? Que l’on n’aille pas croire qu’il soit issu du processus électoral. Celui-ci n’est qu’un rite qui consacre, par son formalisme, le faux pouvoir de l’élu et la fausse joie du citoyen-électeur  . Pour les plus lucides, le vrai pouvoir est "lointain" (p.12), dans un "ailleurs" incertain et occulte (p.9). Benjamin Constant désigne la richesse, l’argent et le crédit comme les seuls vrais maîtres et seuls dignes de la notion de pouvoir. Pour Karl Marx, la démocratie n’est rien d’autre que la conquête du pouvoir par une classe dominant les autres classes. Leurs points de vue se rejoignent en ceci : il y a deux sphères du pouvoir, deux "Etats parallèles" (p.12), le visible et le lointain, ou, pour reprendre la métaphore qui sert de couture à tout l’ouvrage : la scène et la coulisse. L’introduction se termine par une mise en bouche : on peut se demander si le "vrai pouvoir" n’est pas en train de s’affranchir de ses masques pour devenir, sans vergogne, le pouvoir visible.

Dans le premier chapitre, d’une grande densité intellectuelle bien qu’il ne coure que sur deux pages, L. Canfora interroge un passage de Lucrèce, dans lequel le philosophe fait un saut : l’électeur et l’homme politique poursuivent une pure chimère, car le pouvoir n’existe pas. Il n’est même pas "lointain", vrai ou faux ; il n’est rien. Avec un art consommé de la transition  , l’auteur glisse de Lucrèce à Marx pour sortir de l’impasse. La solution, c’est le mécanisme qui consiste à prendre le pouvoir en faisant croire qu’on le reçoit et qu’on le rendra le moment venu. Pour réussir la manœuvre, un duo s’impose : "l’homme fort" et la main invisible des élites. La trouvaille n’est pas due à un théoricien, mais à Auguste, que L. Canfora qualifie plusieurs fois de génie   . L’imperator romain a réussi en effet à se faire donner le pouvoir réel, non partagé et efficace, par le truchement d’un électorat consentant et reconnaissant. La res publica restituta d’Auguste ressemble à une farce tragique, et pourtant elle ne fut pas perçue comme telle. D’où lui vient une telle efficacité ? Ou encore : comment s’organiser pour y croire ? Paul Veyne a montré que la force de cette construction réside dans la fiction elle-même, car elle se présente telle qu’elle est, sans hypocrisie, contractuelle et consensuelle.

Titre du livre : La nature du pouvoir
Auteur : Luciano Canfora 
Éditeur : Les Belles Lettres
Collection : Le goût des idées 
Date de publication : 30/11/99
N° ISBN : 2251200053
Publié par nonfiction.fr
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Published by Yves Marion - dans Questions de société
20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 18:31
Les ventes d’e-books frôlent le milliard de dollars aux États-Unis
[mercredi 17 novembre 2010 - 14:00]

Le cabinet d’étude Forrester vient de publier les résultats d’une enquête sur l’avenir des e-books aux États-Unis dans les cinq prochaines années. On en retiendra notamment un chiffre : les ventes d’e-books devraient frôler le milliard de dollars, 966 millions de dollars précisément, d’ici fin 2010. Autre chiffre marquant de cette enquête : seulement 7 % des lecteurs américains consomment des livres numériques. La marge de progression est donc encore importante et, selon les estimations de Forrester, les ventes de e-books devraient atteindre 3 milliards de dollars en 2015.

C’est donc une métamorphose en profondeur de l’industrie du livre que prédit cette enquête. Comme l’explique son auteur, James McQuivey, l’e-book est bien devenu "un membre à part entière dans le club des grands médias. (…). Quand vous pesez un milliard de dollars, on doit vous prendre au sérieux. Dans l’industrie du livre, cela signifie que les éditeurs traditionnels ne peuvent plus vivre dans le déni et la procrastination. (…) C’est pourquoi nous devons célébrer l’atteinte de ce seuil du milliard, car à partir de maintenant, les choses vont aller si vite que l’industrie du livre pourrait être devenue essentiellement numérique d’ici très peu de temps, bien qu’elle ait amorcé sa transformation en dernier."

Selon cette enquête, il n’y a donc aucun doute sur le fait que les éditeurs doivent se préparer au jour, proche, où les livres papiers ne seront plus qu’une activité annexe venant en soutien des publications numériques. L’auteur à succès John Grishman, dont le dernier opus The Confession s’est vendu à 70 000 exemplaires en version numérique en une seule semaine, résumait ainsi la situation dans une interview accordée au Wall Street Journal : "le futur est arrivé, et nous le regardons en face.".

 

Publié par nonfiction.fr

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Published by Yves Marion - dans Informations
20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 18:28
La biographie, une valeur de moins en moins sûre 
[mardi 16 novembre 2010 - 15:00]

Le genre biographique serait-il en voie d’extinction pour des raisons économiques ? La question se pose dans le milieu littéraire d’outre-Manche depuis quelque temps. "Obtenir un acompte [sur ses droits d’auteur] est très, très difficile si vous voulez faire quelque chose de différent de ce que vous avez déjà fait", déplore l’écrivaine anglaise Victoria Glendinning, biographe entre autres d’Anthony Trollope et Leonard Woolf. 

A cause de la restriction du marché anglophone de la biographie, elle se voit en effet obligée de financer elle-même ses recherches d’écriture. Si cette tendance semble se généraliser, elle touche d’autant plus les biographes que leur travail est chronophage et fastidieux. 

Selon Jeremy Lewis , l’édition subit le contre-feu de l’époque où les éditeurs consentaient à accorder des avances considérables à leurs auteurs tout en sachant très bien que  leurs livres n’auraient pas un grand succès. En conséquence, les éditeurs n’hésitent pas à demander à leurs auteurs d’écrire au sujet de figures connues qui ont déjà fait l’objet de nombreux ouvrages. 

En Angleterre, la tradition biographique remonte à la fameuse étude qu’Elisabeth Gaskell publia sur son amie Charlotte Brontë en 1857. Michael Holroyd rendit ses lettres de noblesse au genre dans les années 1980, grâce à ses écrits sur Lytton Strachey et ses quatre volumes sur George Bernard Shaw, pour lesquels il aurait touché un acompte de 600 000 livres de la part de Random House. Peter Ackroyd pour son Dickens ou Adam Sisman, que Weidenfeld aurait payé 100 000 livres pour son Hugh Trevor-Roper, sont d’autres exemples remarquables. 

Pour l’agent littéraire Andrew Kidd, il faut aussi mesurer les raisons du désintérêt croissant des lecteurs anglais pour la biographie : "Il y a eu un changement dans la culture de référence et de gros livres sérieux n’ont pas retrouvé un public comme on aurait pu l’espérer." Les courbes négatives du marché de la biographie ne se sont pas corrigées dans la durée. Ce qui oblige les éditeurs à plus de discernement, ou bien à tenter des coups. "Le bon auteur sur le bon sujet marchera", insiste Clara Farmer, éditrice de nonfiction chez Chatto & Windus  . "Les acomptes ne sont peut-être pas aussi importants que pour les biographies de célébrités mais les gens veulent toujours lire ces livres."

Pour autant, cette tendance ne prépare-t-elle pas une esquisse de rébellion de la part d’écrivains lassés par le système des droits d’auteurs, et prêts à se lancer dans l’auto-édition, à l’image de Marc-Edouard Nabe en France, récemment nommé pour le prix Renaudot ? 

 

* Vanessa Thorpe, "Biographers fear that publishers have lost their appetite for serious subjects", The Observer, 14 novembre 2010. 

 

Publié par nonfiction.fr

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Published by Yves Marion - dans Littérature
20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 18:27

nonfiction.fr

    19 novembre 2010

 

 

 

INVITATION


La Fondation Jean-Jaurès et nonfiction.fr vous invitent à un débat avec Christophe Prochasson autour de son livre La gauche est-elle morale ? (Flammarion) le lundi 22 novembre 2010 à 18h45, à la Fondation Jean-Jaurès, 12 Cité Malesherbes, 75009 Paris. L'accès à la Cité se fait par la rue des Martyrs



Le débat sera suivi d'une séance de dédicaces.

RSVP à citedeslivres@gmail.com. Places limitées.

 

 

   
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Published by Yves Marion - dans Informations