Overblog
Editer la page Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
/ / /

 

 

Le texte qui suit a été proposé par l'auteur, et publié :

- Etudes drômoises, la revue du patrimoine de la Drôme, publiée par

l'Association universitaire d'études drômoises, n°40, déc. 2009, pp. 20-25

- La revue de la Manche, tome 52, fasc. 207, 1er trimestre 2010, pp. 3-14

- Site dédié : link

 

L'article, extrait de l'ouvrage,

 sera publié en plusieurs étapes avec adjonction

progressive des illustrations.

 

PJB avec prix copie

 

Paul-Jacques Bonzon, dessinateur


 Yves Marion


Paul-Jacques Bonzon est bien connu. Il est l’un des auteurs français de romans pour la jeunesse parmi les plus appréciés des jeunes lecteurs des années soixante-dix, quatre-vingt. Second prix « Jeunesse » en 1953, Prix « Enfance du Monde » en 1955, « Grand prix du Salon de l’Enfance » en 1958,  toujours publié chez Hachette, il a laissé de nombreux ouvrages au titres évocateurs. Il est aussi l’auteur de séries  à succès comme  « Les six compagnons » (49 titres), « La famille HLM » (20 titres), ou pour les plus jeunes, la série « Diabolo, le petit chat noir » (7 titres). Il a aussi publié chez Delagrave des livres scolaires de lecture suivie pour l’école élémentaire, du CP au CM2 (11 titres) sans oublier la publication de pièces de théâtre (10 titres connus) et de nouvelles publiées dans la revue « Francs-Jeux » éditée par SUDEL.

 

Bien que le patronyme ne soit guère normand, les origines manchoises de Paul-Jacques Bonzon sont cependant incontestables. Elles le sont par son père issu de la première génération des BONZON nés dans le département de la Manche. Elles le sont par sa mère, native de Sainte-Marie-du-Mont  et par sa grand-mère originaire de la région de Périers. Paul, Alphonse, Jacques Bonzon voit le jour à Sainte-Marie-du-Mont, dans la maison de son grand-père maternel, le 31 août 1908.  C’est à Saint-Lô, où les parents viennent s’installer en 1918, que le jeune Paul effectue sa scolarité à l’école primaire supérieure et entreprend, en 1924, une formation d’instituteur à l’école normale de garçons de la Manche. Il n’exerce le métier que peu d’années dans le département où il a été formé avant de se marier avec une institutrice de la Drôme et d’intégrer ce département où il effectue la suite de sa carrière.

 

S’il est connu, il l’est essentiellement pour être l’un des plus représentatifs des romanciers pour la jeunesse des années de l’après-guerre. L’œuvre, riche de plus d’une centaine de références, comme l’ensemble de la production littéraire pour la jeunesse de cette époque, n’avait été, jusqu’alors, que peu étudiée. C’est désormais chose faite au travers de recherches minutieuses et méthodiques menées dans les fonds d’archives publiques, notamment à l’Institut mémoire de l’édition contemporaine[2]. Ces travaux viennent d’être publiés dans un livre récemment édité, reçu généralement comme un ouvrage de référence[3].

 

Connu comme écrivain, Paul-Jacques Bonzon l’est, en effet, beaucoup moins comme dessinateur. Car le romancier est aussi dessinateur. Nic Diament, l’une des grandes spécialistes de la littérature pour la jeunesse, dans la notice[4] qu’elle consacre à Paul-Jacques Bonzon, le souligne explicitement : «  Pendant ses loisirs, il se consacre au théâtre comme acteur amateur, au dessin humoristique et à l’aquarelle. » Le présent article emprunte à l’ouvrage l’essentiel tout en complétant le chapitre consacré à cette facette méconnue de l’écrivain qui aurait eu cent ans cette année. La Revue de la Manche rend ainsi hommage à l’un des écrivains manchois, il est vrai, peu connu mais qui, pourtant, a bénéficié d’un vrai succès d’estime auprès de très nombreux jeunes lecteurs.

 

 

Le dessin, une activité privilégiée dans la formation des élèves-maîtres.

 

Le dessin, on le sait, constitue une qualité recherchée et développée chez les futurs instituteurs. A cette époque, c’est un mode d’exposition pédagogique privilégié. Mieux vaut, en effet, savoir bien dessiner. A l’Ecole normale de Saint-Lô, le professeur de dessin, monsieur Nicloux, y veille scrupuleusement. L’élève-maître Bonzon, lors de sa formation, manifeste d’honnêtes dispositions. Les résultats de cet élève, au demeurant appliqué, sont qualifiés, par le professeur, de « satisfaisants » Le dessin, activité scolaire, il est vrai, ne s’apprécie que rarement à l’aune des productions à caractère humoristique. Il est cependant une tradition à l’Ecole normale. Les élèves-maîtres ont, en effet, pris l’habitude de célébrer à leur manière, le plus souvent par une manifestation, les événements marquants qui ponctuent leur existence. Chansons, dessins, saynètes, faire-part, à forte portée humoristique ou caricaturale, accompagnent les sorties de promotion ou l’entrée d’une nouvelle, transformant les « bleus » en « anciens de seconde année. » L’élève-maître Bonzon, comme la plupart de ses camarades, donnera dans la tradition par un dessin, daté de 1925, et signé « P.Bonzon », intitulé : « Enterrement de la bleusaille. Promotion 24-27 ». Dans les activités professionnelles, ses élèves se souviennent de la précision et de la qualité des dessins que l’instituteur réalisait au tableau noir, aussi bien de la main droite que de la gauche, particulièrement des cartes de géographie et des dessins de sciences, toujours réussis.

 

Ce goût pour le dessin, Paul-Jacques Bonzon dit le tenir de son père. Dans une notice autobiographique confiée, en 1978, à H.W. Wilson, pour The fourth book of junior Authors and Illustrators, il affirme : « My father was head of the chief administrators’s of the Department of Manche. He loved drawing and he passed this love on to me. For many years I drew and painted. »

 

Il est aussi volontiers rapporté, par la mémoire familiale, que le romancier a publié et vendu des cartes postales humoristiques. Michel Lemerre, se souvient avoir eu en mains, lorsqu’il était enfant, des planches ornithologiques attribuées à son cousin, notamment de superbes dessins de plumes d’oiseaux, dont il se plait à souligner, aujourd’hui encore, la précision et la qualité. Ces dessins ont disparu.

 

Un talent qui s’exprime au sanatorium

 

Le premier dessin publié est repéré en 1931. Paul-Jacques Bonzon est alors au sanatorium de Sainte-Feyre situé dans le département de la Creuse, près de Guéret. La toute nouvelle association des membres de l’enseignement public en congé de longue durée et de la Société de secours mutuels du sanatorium de Sainte-Feyre (A.C.L.D.), créée en 1927, publie, le 1er octobre 1931, le premier numéro de son bulletin trimestriel qu’elle intitule Par l’Effort. Il sera suivi de beaucoup d’autres. Pas moins de trente-huit dessins seront ainsi publiés entre 1932 et 1940. Ce qui fait de Paul-Jacques Bonzon le dessinateur attitré du bulletin, même après avoir quitté le sanatorium, dans ses postes successifs de la Manche et de la Drôme, tant à Barenton qu’à Espeluche ou à Chabeuil. Ce sont des dessins au caractère humoristique marqué. Le trait progresse ; le dessin gagne en assurance au cours des années. Reflétant « la vie du tubard » pour reprendre une expression utilisée en 1946[1] par l’éditeur, ces dessins relatent les épisodes de la vie au sanatorium de Sainte-Feyre, du départ pour celui de Saint-Jean-d’Aulph[2], en 1932, puis de la vie quotidienne autour des soins, du médical et des activités. Témoignant de qualités certaines d’observation, les dessins de Paul-Jacques Bonzon permettent une lecture de l’histoire de ces établissements. En outre, au fur et à mesure de l’évolution positive de la maladie, les dessins tendent à se détacher du médical pour prendre des connotations moins morbides.

 

 

Catégorisation des dessins

 

Tous ces dessins, destinés au bulletin de l’A.C.L.D., méritent un regard particulier. Ils peuvent être répartis en quatre catégories, chacune d’elles représentée par quelques dessins choisis parmi les plus caractéristiques.

 

Dessins liés à la maladie et à ses traitements.

 

Le traitement de la tuberculose, on le sait, constitue, à cette époque une gageure. Les antibiotiques ne trouveront, en effet, leur pleine efficacité que dans les années cinquante, en même temps que le B.C.G. permettant d’envisager une véritable éradication de la maladie. Dans les années trente, il en est bien autrement. Paul-Jacques Bonzon laissera un certain nombre de dessins liés aux examens depuis la consultation jusqu’à ceux, plus sophistiqués, où la technique de la radiographie est mise en avant.

 

Deux obsessions ne cessent, tout au long du traitement, de hanter la vie des malades : la fièvre et le poids. D’où l’importance du corps médical qui ne manque pas d’inspirer le crayon du dessinateur : les pensionnaires sont entre les mains de spécialistes.

 

Cependant, rien ne vaut, comme meilleure posologie, que la bonne chair et la cure repos, au grand air, sur les chaises longues, durant « la silencieuse » qui pouvait durer, selon les prescriptions médicales, de une à trois heures

 

Dessins liés aux événements du sanatorium

 

Au-delà de ces dessins relatifs à la maladie, il y en a d’autres qui relatent les préoccupations administratives de l’établissement. En 1930, l’Union des Sanas doit acquérir un autre établissement à Saint-Jean-D’Aulps, en Haute-Savoie, pour satisfaire aux exigences réglementaires qui est de supprimer la mixité dans ce type d’établissements de soins. En 1932, les hommes vont quitter Sainte-Feyre pour la Haute-Savoie. Paul-Jacques Bonzon va, à cette occasion, livrer deux remarquables dessins.

 

Dessins liés à la vie quotidienne

 

Le dessinateur se fait aussi journaliste : les dessins donnent un aperçu des loisirs et des activités pratiquées. Au « Théâtre de l’Attente », il vaut mieux être acteur. Les loisirs prennent une place considérable dans la vie des patients. Une vie à laquelle participe l’ensemble du personnel y compris, à bien observer, le médecin, ici, le docteur Giaccardo.

 

Dessins à connotation politique

 

Humoristiques voire satiriques, les dessins que Paul-Jacques Bonzon donne au bulletin à destination de ses camarades, peuvent prendre parfois des tonalités franchement politiques. Celui intitulé Valse espagnole, publié en 1939, possède un caractère prémonitoire assez évident. Le dessinateur prend position.

 

De ce point de vue, plusieurs dessins sont très révélateurs. Il en est un en particulier au caractère allégorique affirmé qui ne trompe pas. Il s’intitule simplement Guerre. La guerre est la chose la plus terrible qui soit. Au fond, Paul-Jacques Bonzon illustre à sa façon Antoine de Saint-Exupéry pour qui « la guerre n’est pas une aventure. La guerre est une maladie. Comme le typhus. » On pourrait aussi ajouter : comme la tuberculose !

 

Le dessinateur, bien qu’attaché au bulletin et à l’association, dont il sera le correspondant pendant de nombreuses années dans la Drôme, n’en reste pas à ces productions. Il entreprend de dessiner et de diffuser des cartes postales.

 

Un talent qui s’exprime également au travers de cartes postales


Les premières cartes postales distribuées ont la même tonalité humoristique et caricaturale que les dessins. Elles sont dessinées à la plume et à l’encre de chine. L’impression est artisanale. Produites en nombre limité, elles sont proposées en dehors des circuits habituels de commercialisation. Elles constituent des séries comme celle extraite de la série Sports d’hiver. Plus tard, elles seront aquarellées et imprimées en couleur et les séries seront numérotées. La série n°4 est consacrée aux activités liées aux vacances à la mer ; une autre, la série n°5, s’intitule Les vraies histoires marseillaises. Plusieurs séries ont ainsi été produites.

 

La série N°11, par exemple, est liée aux propositions sociales de 1936 avec, notamment, une carte postale relative à la formation du ministère intitulée : Pourvu qu’on ait un ministre des loisirs, sans doute un clin d’œil à la nomination de Léon Lagrange.

 

Et le dessinateur se fait écrivain

 

A ces qualités s’ajoutent celles d’aquarelliste. Activité de loisirs, c’est en amateur et pour son plaisir que Paul-Jacques Bonzon sort sa palette et ses brosses. Il reste peu de productions mais de nombreux témoignages. Pierre Vallier mentionne cette disposition, en 1961, dans un article accompagné d’une photo du romancier tenant l’une de ses aquarelles. Restent quelques aquarelles et toiles appartenant à des collections particulières.

 

L’aquarelle semble avoir été une activité privilégiée. A Sainte-Feyre, peindre fait en effet partie des activités pratiquées par les pensionnaires. On peut même assurer que les échanges de savoirs y sont courants. Des peintres y sont passés, apportant et communiquant leurs techniques et leur savoir-faire. Gaston Chaissac, par exemple, a séjourné à Sainte-Feyre. Paul-Jacques Bonzon a très probablement profité de son séjour au sanatorium pour progresser dans un domaine où déjà les appréciations scolaires montraient certaines dispositions. Il n’hésite d’ailleurs pas à proposer ses productions. Dans le bulletin Par l’Effort, sous le premier dessin publié par le romancier, on peut relever cette note : « Le camarade Bonzon nous communique qu’il met en vente quelques petites toiles, notamment plusieurs paysages creusois. S’adresser à lui, au Sana. »

 

Peindre comme dessiner sont bien des activités qui prennent leurs origines dès les années de formation. Elles se renforceront lors des séjours à Sainte-Feyre et à Saint-Jean-d’Aulph et ne cesseront d’accompagner voire d’étayer les activités d’écriture du romancier. Les dessins se caractérisent essentiellement par la caricature et l’humour parfois grinçant. Le trait est également caractéristique et s’inspire très largement des dessins en vogue à l’époque. Il n’est guère difficile de retrouver, sous le crayon de Paul-Jacques Bonzon, certaines caricatures d’Alain Saint-Ogan, notamment de Zig et Puce.

 

Paul-Jacques Bonzon semble avoir interrompu cette activité pour se consacrer à l’écriture, donnant raison à Nic Diament lorsqu’elle écrit : « Sa profession l’éloigne un peu du dessin et le dirige vers la littérature enfantine ». A dire vrai, l’instituteur, devenant romancier, n’abandonne pas pour autant le dessin. Il l’utilise parfois pour accompagner ses manuscrits ou illustrer telle ou telle pièce de théâtre. Il y recourt  également pour exprimer des joies familiales.

 

Le dessin reste chez Paul-Jacques Bonzon un moyen d’expression auquel finalement il ne cessera de recourir. Il aurait très certainement pu donner dans la bande dessinée.

 

Paul-Jacques Bonzon, connu essentiellement pour ses romans, l’est beaucoup moins pour ses talents de dessinateurs. C’est une facette de l’écrivain qui méritait un éclairage particulier. D’autant qu’à l’analyse, se retrouvent dans l’écriture certains traits sous-jacents dans le dessin : l’humour, la caricature, le besoin de raconter une histoire, bref, tout ce qui, finalement, caractérise si bine l’œuvre du romancier.

Par l’Effort, 9e année, avril 1939, n°31, p.11

Antoine de SAINT-EXUPERY, Pilote de Guerre, Gallimard, 1972. Publié aux Etats-Unis en 1942, il sera interdit en France en 1943. Coll. Le Livre de poche, 1961, p.76

Collection originale personnelle.

Merci à Jean-Claude Tisserand pour la carte postale qu’il a bien voulu nous faire connaître.

Merci à Christian Bonzon pour son aide. Voir le site : http://www.bonzon.fr

 

Pierre VALLIER, Le Dauphiné libéré du 8 décembre 1961, cliché Photo-Presse.

Exposition Paul-Jacques Bonzon, Chabeuil, 5 au 12 avril 2008.

Bulletin de l’A.C.L.D ; Par l’Effort, n°1, 1er octobre 1931, p. 33.

Alain SAINT-OGAN fait ses débuts en 1913. Mais ce n'est qu'à la fin de la Première Guerre mondiale, une fois démobilisé, que sa carrière de dessinateur et d'homme de presse prend véritablement forme. En 1925, il crée la série « Zig et Puce » pour l'hebdomadaire français Dimanche Illustré. Le succès est immédiat. Il enchaîne avec d'autres personnages comiques : « Mitou et Toti », « Prosper l'Ours », « Monsieur Poche » et « Touitoui ».

Nic DIAMENT, op.  cit.

Un grand merci à Micheline Courbin-Tisserand d’avoir bien voulu nous communiquer ce document.

Tous les dessins ont été numérisés par les Archives départementales de la Manche. Ils sont extraits du bulletin de l’A.C.L.D, « Par l’Effort ». Merci à la Mutuelle générale de l’Education nationale. Pour éviter d’alourdir les notes, on s’abstiendra d’en donner les références exactes. Le lecteur intéressé voudra bien se reporter aux collections qui peuvent être consultées également à la Bibliothèque nationale de France.

Henrri POLLÈS, Les paralytiques volent, Paris, Editions R.-A. Corrêa,1934

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Tous les dessins ont été numérisés par les Archives départementales de la Manche. Ils sont extraits du bulletin de l’A.C.L.D, « Par l’Effort ». Merci à la Mutuelle générale de l’Education nationale. Pour éviter d’alourdir les notes, on s’abstiendra d’en donner les références exactes. Le lecteur intéressé voudra bien se reporter aux collections qui peuvent être consultées également à la Bibliothèque nationale de France.

 

Par l’Effort, 17e année, août-décembre 1946, n° 43-44, p.15

Aujourd’hui, centre ALEXIS-LÉAUD, géré par la Mutuelle générale de l’Éducation nationale (M.G.E.N.)

Exposition Paul-Jacques Bonzon. Chabeuil. 5 au 12 avril 2008.

Wilson, H.W., Fourth Book of junior Authors and Illustrators, New York, 1978, p.50

Michel Lemerre, petit-cousin de l’écrivain, originaire de Barneville-Carteret.

Aujourd’hui, centre ALFRED- LEUNE, géré par la Mutuelle générale de l’Éducation nationale (M.G.E.N.).

Bulletin de l’A.C.L.D ; Par l’Effort, n°1, 1er octobre 1931, fondateur Marcel Ribes (1892 – 1933)

Par l’Effort, 17e année, août-décembre 1946, n° 43-44, p.15

Aujourd’hui, centre ALEXIS-LÉAUD, géré par la Mutuelle générale de l’Éducation nationale (M.G.E.N.).

Tous les dessins ont été numérisés par les Archives départementales de la Manche. Ils sont extraits du bulletin de l’A.C.L.D, « Par l’Effort ». Merci à la Mutuelle générale de l’Education nationale. Pour éviter d’alourdir les notes, on s’abstiendra d’en donner les références exactes. Le lecteur intéressé voudra bien se reporter aux collections qui peuvent être consultées également à la Bibliothèque nationale de France.

 


 

 





[2] Institut mémoire de l’édition contemporaine (I.M.E.C.), Abbaye d’Ardenne, Caen, (Calvados).

[3] Yves MARION, De la Manche à la Drôme, itinéraire de l’écrivain Paul-Jacques Bonzon, instituteur et romancier pour la jeunesse, Editions Eurocibles, Marigny (Manche), 2008, 320 p., I.S.B.N. 9782914541831.

[4] Nic DIAMENT, dictionnaire des écrivains français pour la jeunesse, 1914-1991. Paris, L’école des loisirs, 1993

Partager cette page
Repost0