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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 10:25

Informations législatives et réglementaires

- Accessibilité des établissements pénitentiaires > Résumé / Texte intégral

ESMS : modèle de convention pour l'application du taux réduit de TVA Résumé / Texte intégral

- Tarification des établissements de santé et marchés des établissements publics de santé Résumé / Texte intégral


- Entrée en application des nouveaux règlements de coordination des systèmes de sécurité sociale : dispositions maladie et maternité > Résumé / Texte intégral

  
- Jurisprudence : titularisation de travailleurs handicapés dans la fonction publique (Conseil d'Etat, 26 mai 2010) - FONTIER (Rémy) > Résumé / Texte intégral

 

- Réponse à la question écrite Assemblée nationale de Mme Gisèle BIEMOURET : cumul AAH, salaire > Résumé / Texte intégral

 

- Réponse à la question écrite Sénat de M. Jean-Pierre MASSERET : difficultés pour les enfants intellectuellement précoces dans le cadre scolaire > Résumé / Texte intégral

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8 octobre 2010 5 08 /10 /octobre /2010 20:56


Allocations aux personnes handicapées : montants applicables depuis le 1er septembre 2010 > Résumé

-
Mesures bénéficiant aux personnes handicapées à Mayotte > Résumé / Texte intégral

Mise en place du plan handicap auditif pour les candidats au permis de conduire > Résumé / Texte intégral

 

- Tarification des SSIAD > Résumé / Texte intégral


Contrats pluriannuels d'objectifs et de moyens conclus avec les établissements de santé Résumé / Texte intégral

 

- Composition du Haut Conseil de la famille Résumé / Texte intégral
  
Réponse à la question écrite Sénat de M. Jean-Luc FICHET : prise en compte de l'emploi de personnes handicapées issues de groupements d'employeurs par les collectivités locales Résumé / Texte intégral

 

Réponse à la question écrite Sénat de M. Yves CHASTAN : financement pour la mise en accessibilité des établissements recevant du public Résumé / Texte intégral 

 

 

Source : FLASH-INFORMATIONS handicap
n° 35 du 7 octobre 2010 

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8 octobre 2010 5 08 /10 /octobre /2010 20:39

En lien le numéro d'Études et Résultats de cette semaine

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5 octobre 2010 2 05 /10 /octobre /2010 08:56


Le taux de chômage des non-diplômés est 2,7 fois supérieur à celui des diplômés d’études supérieures.

Le taux de chômage des non-diplômés est 2,7 fois supérieur à celui des diplômés du supérieur (bac +2 et plus), contre 2,2 au milieu des années 1980. L’écart de taux est passé de 3 à 8 points de pourcentage au cours de la période. Le diplôme est plus que jamais un atout pour accéder à l’emploi.

L’écart entre le taux de chômage des non-diplômés et celui des diplômés d’études supérieures s’est accru dans les années 1980 et 1990 avec la montée du chômage, même si les plus diplômés ont aussi lourdement ressenti la récession de 1993. A partir de 2004, leur taux de chômage a davantage diminué que celui des actifs peu qualifiés, creusant encore les inégalités. La forte progression du chômage amorcée depuis 2008 a particulièrement frappé les jeunes peu qualifiés : elle a très certainement accru à nouveau les inégalités dans ce domaine...

 

L'Observateur des inégalités, n°79, octobre 2010

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 09:47

En lien le numéro d'Études et Résultats de cette semaine

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 08:28

En lien le numéro d'Études et Résultats de cette semaine

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 07:46

Les Comptes de la santé 2009

Chaque année depuis 1970, la DREES élabore les Comptes nationaux de la santé, à partir des données fournies par des organismes privés et publics. Le rapport 2009 a été présenté à la Commission des Comptes de la santé, présidée par Monsieur Bruno Durieux, le 16 septembre 2010, en présence de Madame Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé et des Sports. Les comptes de la santé évaluent l’ensemble des dépenses effectuées dans le secteur de la santé et permettent d’apprécier la part des différents agents économiques dans le financement des dépenses de santé (Assurance maladie, État, organismes complémentaires ou ménages). Ces comptes, qui servent de base à l’élaboration des comptes de la santé présentés dans les instances internationales, sont également un instrument privilégié pour les comparaisons internationales. Comme l’édition précédente, le rapport retrace dans une «vue d’ensemble» les principales évolutions des dépenses de santé observées en 2009, et présente des fiches détaillées associant commentaires, chiffres-clés et graphiques illustratifs pour les différents postes de dépenses de santé. Cette année, le rapport comprend également sept analyses inédites, notamment sur l’évolution des dépenses de santé durant les périodes de récession économique.


Progression modérée des dépenses de santé

En 2009, la dépense courante de santé s’élève à près de 223 milliards d’euros, ce qui représente une progression de 4% par rapport à 2008. Cette évolution est fortement liée à celle de la consommation de soins et de biens médicaux (CSBM), dont la croissance continue de ralentir (+3,3% en valeur contre +3,7% en 2008 et +4,2% en 2007) et qui constitue une composante essentielle de la dépense courante de santé (elle en représente les quatre-cinquièmes). La CSBM comprend les soins hospitaliers, les soins ambulatoires (médecins, dentistes, auxiliaires médicaux, laboratoires d’analyse, thermalisme), les transports sanitaires, les médicaments et les autres biens médicaux (optique, prothèses, pansements, etc.). La plupart des postes de la CSBM enregistrent en fait une croissance moins soutenue, à l’exception du secteur public hospitalier et des transports.


Effet stabilisateur des dépenses de santé en période de crise économique

En raison de la décroissance du PIB en 2009 à la suite de la crise économique, la part des dépenses de santé dans le produit intérieur brut (PIB) de la France, qui mesure la part de la richesse nationale consacrée à cette dépense, augmente toutefois significativement : la part de la CSBM représente 9,2% du PIB en 2009, contre 8,7% en 2008. Cette progression reflète un schéma d’évolution général observé dans les pays de l’OCDE depuis 1960 : en période de crise, les dépenses de santé continuent de croître alors que la richesse nationale stagne voire recule, ce qui contribue à stabiliser l’économie ; la croissance des dépenses de santé ralentit ensuite tandis que le PIB repart à la hausse.


Une structure de financement stable

En 2009, la structure de financement des dépenses de santé change peu par rapport à 2008 : la Sécurité sociale finance plus des trois quarts de la CSBM et les organismes complémentaires 15%, tandis que la part restant à la charge des ménages diminue légèrement (9,4 % contre 9,5% en 2008). La France reste ainsi l’un des pays développés où la prise en charge des dépenses de santé par les fonds publics (78%) est la plus importante et où le reste à charge des ménages est le plus faible des pays de l’OCDE (7,4% de la part de la dépense totale de santé). 


Un système d’assurance maladie basé sur une complémentarité efficace

Cette particularité découle d’une complémentarité efficace entre les différents acteurs intervenant dans le financement des dépenses de santé. Le système d’assurance maladie « de base » couvre les risques de santé les plus coûteux tels que les dépenses hospitalières (qu’il finance à 90,4%), les dépenses liées aux affections de longue durée (ALD) et aux soins en maternité ; ce faisant, l’assurance maladie joue un rôle de filet de protection en permettant l’accès aux soins pour les personnes les plus malades et en favorisant l’absence de sélection du risque en fonction de l’état de santé par les organismes complémentaires, une fois pris en compte l’âge des personnes couvertes. Les organismes complémentaires contribuent quant à eux à réduire le reste à charge des assurés, en prenant en charge une partie des dépenses non couvertes par la Sécurité sociale.


Disparités territoriales des dépenses de santé

Les dépenses de santé sont également marquées par des disparités territoriales. Les écarts se réduisent toutefois en partie après prise en compte des caractéristiques sanitaires et démographiques de chaque département : logiquement, les départements comptant proportionnellement plus de personnes âgées ont un niveau de consommation plus élevé. Mais même standardisés, les écarts de consommation restent significatifs pour les soins de ville. Ainsi, les habitants du Sud de la France consomment entre 10% et 30% plus en soins de ville que la moyenne nationale. À l’hôpital, les écarts de consommation sont plus limités (de l’ordre de -5% à +5% de la moyenne nationale). 




Publications

Fenina A., Le Garrec M.-A., Koubi M., 2010, « Les comptes nationaux de la santé en 2009 »Études et résultats, DREES, n° 736, septembre.

Fénina A., Le Garrec M.-A., Koubi M., 2010, « Les comptes nationaux de la santé en 2009 »Document de travail, DREES, série Statistiques, n° 149, septembre.

Vous pouvez retrouver les comptes nationaux de la santé 2009 sur la base Eco-santé.

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 07:45

L’état de santé de la population - Rapport 2009-2010

[ 26 juillet 2010 ]

Cet ouvrage fournit en 2010 une vision d’ensemble de l’état de santé de la population en France. Il constitue le quatrième rapport de suivi des objectifs associés à la loi relative à la politique de santé publique du 9 août 2004, après une première édition en 2006. Il a permis de documenter le Haut conseil de la santé publique (HCSP), installé depuis mars 2007, pour préparer l’évaluation de la loi de santé publique du 9 août 2004. Le rapport d’évaluation du HCSP a été rendu public le 17 mars 2010.

Ce rapport a été préparé, sous la coordination de la DREES, par un ensemble de partenaires, producteurs de données dans le champ de la santé (ADEME, AFSSA, AFSSAPS, Agence de la biomédecine, Assurance maladie, DARES, DGS-EA, DREES, INCa, INED, INPES, INRETS, INSEE, INSERM, INVS, IRDES, OFDT, ONISR, UFSBD, USEN/CNAM).

Il fait suite au travail d’un groupe d’experts qui, durant une année, sous l’égide de la DGS et de la DREES, a réuni à la fois ces principaux producteurs de données et des experts de chacun des thèmes retenus par la loi. Ce groupe a défini de façon opérationnelle les indicateurs pertinents et d’ores et déjà disponibles permettant le suivi des objectifs associés à la loi, tout en identifiant et précisant les besoins d’informations complémentaires. Le rapport de définition des indicateurs issu de ce travail a été rendu public en juillet 2005.

Outre une synthèse donnant une vision d’ensemble de l’état de santé de la population en France et la présentation commentée d’indicateurs de cadrage transversaux, à partir des données disponibles les plus récentes dans les champs couverts, le rapport comprend l’évaluation des indicateurs associés à 74 objectifs spécifiques. Pour cette édition, l’ouvrage s’est enrichi de deux dossiers thématiques sur les IVG et la santé des jeunes, permettant de compléter ce panorama et d’éclairer la décision publique en matière de prévention et de promotion de la santé. Les indicateurs produits au niveau national (France entière ou France métropolitaine selon les sources disponibles) ont le plus souvent été déclinés selon le sexe, l’âge, la catégorie sociale et le niveau d’études. Ils ont, dans la mesure du possible, été comparés aux indicateurs équivalents mesurés dans les autres pays européens. De même, les disparités territoriales (régionales pour la plupart) ont été examinées lorsque les données le permettaient.


Dossiers

• Les jeunes, leur rapport à la santé et leur état de santé
• Les IVG en France en 2007 : caractéristiques des femmes, modes et lieux de prise en charge

Indicateurs de santé transversaux

• Cadrage démographique et social
• Données synthétiques de mortalité
• Indicateurs synthétiques relatifs à la morbidité déclarée
• Problèmes de santé spécifiques et état de santé global de la population
• Inégalités sociales de santé

Objectifs par thèmes

• Alcool : objectifs 1, 2
• Tabac : objectifs 3, 4
• Nutrition et activité physique : objectifs 5 à 13
• Santé et travail : objectifs 14 à 17
• Santé et environnement : objectifs 18 à 25
• Iatrogénie : objectifs 26 à 28
• Résistance aux antibiotiques : objectif 30
• Douleur : objectifs 31, 32
• Précarité et inégalités : objectif 33
• Déficiences et handicaps : objectif 35
• Maladies infectieuses : objectifs 36 à 42
• Santé maternelle et périnatale : objectifs 44 à 47
• Tumeurs malignes : objectifs 48 à 53
• Pathologies endocriniennes : objectifs 54, 55
• Toxicomanies : objectifs 56, 58
• Affections neuropsychiatriques - Recours aux soins : objectif 59
• Maladies des organes des sens : objectif 68
• Maladies cardiovasculaires : objectifs 69 à 73
• Affections des voies respiratoires : objectif 74
• Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin : objectif 76
• Pathologies gynécologiques : objectif 78
• Insuffisance rénale chronique : objectifs 80, 81
• Troubles musculo-squelettiques : objectif 82
• Affections d’origine anténatale : objectif 88
• Affections buccodentaires : objectif 91
• Traumatismes : objectifs 92 à 94
• Problèmes de santé spécifiques à des groupes de population : objectifs 97, 99

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 07:43

N° 733 - Les comptes de la protection sociale en 2008

[ 13 juillet 2010 ]

Emmanuel CAICEDO - Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES)

En 2008, les dépenses (hors transferts) liées à la protection sociale s’élèvent à 598,1 milliards d’euros. Le montant des prestations de protection sociale en représente la plus grande partie : 570,4 milliards d’euros, soit une augmentation de 3,7 % par rapport à l’année 2007. Cette croissance, bien que ralentie par rapport à l’année précédente, est plus élevée que celle de l’économie française, de sorte que la part des prestations de protection sociale dans le PIB augmente pour s’établir à 29,3 % en 2008.

Le ralentissement de la croissance des prestations concerne tous les risques hormis le risque logement. Le montant des prestations versé par les régimes d’assurances sociales au titre du risque maladie est en hausse de 3,2 % par rapport à l’année 2007, celui du risque vieillesse-survie de 5,1 %.

Les ressources (hors transferts) de l’ensemble des régimes de protection sociale progressent de 3,7 % par rapport à l’année 2007. Ces ressources continuent par ailleurs à se diversifier. Les dépenses des régimes d’intervention des pouvoirs publics, État et collectivités locales, représentent 10,8 % des dépenses totales de prestations de protection sociale (+1,6 % en rythme annuel en 2008).

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 07:41

N° 732 - Les modes d’organisations des crèches collectives et les métiers de la petite enfance

[ 8 juillet 2010 ]

Julie MICHEAU, Éric MOLIÈRE et Sophie OHNHEISER (Plein-Sens), avec la collaboration de Joëlle CHAZAL (DREES)

Cette étude apporte un éclairage sur la gestion de l’offre d’accueil des jeunes enfants, l’organisation, les métiers et le personnel employé dans les établissements d’accueil collectif. Elle s’appuie sur une enquête qualitative menée auprès de quinze structures d’accueil et des services responsables de la petite enfance dans les municipalités où elles sont situées.

Les politiques locales de la petite enfance s’efforcent d’apporter des solutions pragmatiques dans un contexte où le niveau réel et les types de besoins des familles sont difficiles à évaluer. Malgré l’affichage de critères visant à considérer au mieux la diversité des besoins, l’accueil à temps complet (quatre ou cinq jours par semaine)semble rester la règle dans la plupart des crèches collectives, du fait de fortes contraintes dans la gestion des places.

Généralement le travail en crèche se structure autour de trois fonctions plus ou moins distinctes selon les modes d’organisation : la direction, l’éducation et les autres interventions auprès des enfants. Les intervenantes, pour la plupart auxiliaires de puériculture ou titulaires d’un CAP petite enfance, constituent le cœur des métiers de l’accueil collectif des jeunes enfants. L’éducatrice de jeune enfant occupe un entre-deux professionnel relativement inconfortable, la fonction éducative restant modeste dans les crèches. Enfin, le bon état de santé des enfants accueillis limite la mission sanitaire des crèches.

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