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25 avril 2007 3 25 /04 /avril /2007 21:24
Il faut croire que la loi du 11 février 2005 n'a pas permis de régler les problèmes qu'elle était sensé réglé, notamment en matière de scolarisation des élèves en situation de handicap. Doit-on s'en étonner ?

Pourtant la loi prévoit la mise en place de véritables interlocuteurs des familles sous l'appellation de "professeurs référents". Qu'en est-il exactement ? Que font-ils ? La question mérite en effet d'être posée. Sont-ils directement liés à la MDPH ? Comment s'élaborent et s'articulent les projets de vis et de scolarisation?

C'est sans doute la raison qui conduit l'Association des paralysés de France à vouloir dresser un bilan après un an d'exercice.

l'APF appelle à témoigner jusqu'au 11 mai soit par téléphone au 01 45 80 17 17 soit par courriel : scolarité@apf.asso.fr
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13 avril 2007 5 13 /04 /avril /2007 07:29
Les Français manquent de sommeil

Une enquête publiée à l’occasion de la 7e Journée nationale du sommeil indique qu’un Français sur trois est fatigué et que cette fatigue est souvent liée au manque de sommeil. D’après cette étude TNS Healthcare réalisée pour l’Institut national du sommeil et de la vigilance (ISV), 53 % des Français déclarent "avoir éprouvé le besoin de s’allonger la journée pour se reposer" au cours des 6 derniers mois.

L’étude précise que nous dormons, en moyenne, 7h10 sur 24 heures. 54 % des personnes interrogées dorment entre 7 et 8 heures, 28 % dorment 6 heures ou moins, et 16 % dorment 9 heures et plus. Si 47 % des personnes interrogées estiment dormir moins qu’elles ne le souhaiteraient, presque autant (45 %) estiment dormir autant que nécessaire.

Le président de l’ISV, le professeur Patrick Lévy, rappelle, en introduction de cette 7e édition, que la durée du sommeil est "cruciale pour le fonctionnement cérébral". L’insuffisance de repos induit en effet "un risque accru d’hypertension artérielle, de diabète et d’obésité".

Toujours selon cette enquête, 17 % des Français sont somnolents et s’endorment dans de multiples circonstances. Le manque de sommeil est cité comme première cause de fatigue par 38 % de l’ensemble des personnes interrogées, et par 45 % des personnes fatiguées et 48 % des individus somnolents.

En deuxième position, les conditions de travail sont citées comme cause de fatigue par 35 % des Français. Pour les Français somnolents ou les Français fatigués, le début d’après-midi serait le moment où la fatigue est la plus importante, alors que c’est la soirée qui est le moment où la fatigue se fait le plus sentir pour l’ensemble des personnes interrogées.

L’irritabilité et le manque d’énergie sont cités comme conséquences principales de la fatigue, respectivement par 30 % et 29 % des personnes interrogées. 28 % des Français déclarent souffrir d’au moins un trouble du sommeil, une proportion identique à la précédente enquête réalisée en 2006. Seulement 19 % d’entre eux sont pris en charge.

Le trouble majeur est l’insomnie pour 18 % des Français. 5 % déclarent souffrir du syndrome des jambes sans repos (sensations douloureuses dans les jambes qui réveillent ou empêchent de s’endormir, associées à des mouvements involontaires des jambes pendant le sommeil) et 5 % du syndrome d’apnée du sommeil.

TFI

 

(cliquer pour obtenir l'article source)

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6 avril 2007 5 06 /04 /avril /2007 17:16
Des robots bientôt affectueux .... (et pourquoi pas plus si affinités ?)

Les robots vont-ils devenir émotifs et être capables de sentiments ? Peut-être, si l’on en croit le nouveau projet financé par l’UE (que nous avions déjà évoqué dans notre lettre 421 du 9 mars 2007), qui consiste à concevoir des robots dotés d’une conscience émotionnelle, capables d’interagir avec les humains dans leur cadre de vie quotidien et de se développer d’un point de vue émotionnel, répondant ainsi aux besoins de leur propriétaire.

Les robots ont le potentiel de nous offrir de nombreux services importants, comprenant la compagnie, les soins, le divertissement, le suivi des patients et le soutien à la thérapie. Cependant, afin de s’intégrer totalement dans la vie quotidienne des personnes, les robots doivent pouvoir s’adapter à leur environnement. « Plutôt que de tout apprendre aux robots destinés à vivre avec des humains, nous devrions leur apprendre à grandir aux côtés de leurs utilisateurs humains afin qu’ils se développent en harmonie avec eux », explique la coordinatrice du projet, Lola Canamero, de la faculté d’informatique de l’Université de Hertfordshire : « Par exemple, si un humain fond en larmes, le robot apprendra progressivement s’il est préférable d’essayer de le réconforter ou de le laisser seul. »

Les robots développés, dans le cadre du projet, seront dotés de caméras et de capteurs conçus pour détecter des paramètres, tels que la chaleur, le toucher et la distance, afin de relever des indices non verbaux offrant des informations sur l’état émotionnel de la personne. Par exemple, l’accent sera mis sur la façon dont se déplacent les personnes. « Notre façon de marcher peut en dire beaucoup sur notre état émotionnel », déclare le Docteur Canamero à CORDIS Nouvelles.

Le ton de la voix constitue un autre indicateur de l’état émotionnel ainsi que les expressions du visage, bien qu’il soit extrêmement difficile d’apprendre aux robots à les reconnaître. « La lumière doit être stable et des marques doivent être faites autour de la bouche et des yeux de la personne », explique le Docteur Canamero. Les robots ne ressentiront pas les émotions de la même façon que nous, cependant ils seront dotés de mécanismes leur permettant d’exprimer des émotions correspondant au comportement de leur propriétaire.

Le comportement des robots se développera sur la base des réponses des personnes avec lesquelles ils passent le plus de temps. De plus, ils seront capables de distinguer les individus, par exemple les différents membres d’un même foyer, et d’apprendre à réagir avec pertinence en fonction de leurs différentes personnalités. Cependant, alors que les robots devront apprendre à interagir avec les humains, ces derniers devront également s’habituer à avoir un robot autour d’eux et apprendre à communiquer avec lui et comprendre ses limitations.

Les propres expériences du Docteur Canamero ont montré que les personnes adaptent automatiquement leur comportement au robot. Par exemple, elles apprennent rapidement à adapter leurs pas afin que les robots puissent les suivre et les aident à surmonter les obstacles. Mais quand sera-t-il vraiment temps pour un humain d’accueillir un robot dans sa vie ? Selon le Docteur Canamero, c’est une question en grande partie culturelle.

« Dans certains pays, les robots font déjà partie de la vie quotidienne », dit-elle. « Au Japon, les robots font même partie de la vie quotidienne des personnes âgées. » Les robots sont utilisés à des fins thérapeutiques dans les centres de soins pour personnes âgées au Japon, et la relation des résidents avec les robots diffère des relations qu’ils pourraient avoir avec un animal.

Une partie importante du projet repose sur la compréhension de ces différences culturelles concernant l’acceptation des robots. Ainsi, les partenaires de l’initiative FEELIX GROWING travailleront en étroite collaboration avec les scientifiques de l’Institut technologique du Massachusetts (Massachusetts Institute of Technology) aux États-Unis et le Laboratoire de recherche en communication (Communications Research Laboratory) au Japon.

LGE

http://www.tregouet.org


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6 avril 2007 5 06 /04 /avril /2007 17:13
Mucoviscidose : une nouvelle approche thérapeutique

Des équipes de chercheurs du CNRS et de l’Inserm ont découvert que des patients atteints d’un type très précis de mucoviscidose pouvaient tirer un "bénéfice thérapeutique significatif" d’un traitement par un antibiotique couramment utilisé, la gentamicine, selon une nouvelle étude. Publiée dans la revue "BMC Medicine", cette étude ouvre de nouvelles perspectives thérapeutiques non seulement pour la mucoviscidose mais aussi pour d’autres maladies dites à "codons stop", comme certaines myopathies, estiment ses auteurs. Les chercheurs du Centre national de la recherche scientifique et de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale "ont mis en évidence que certains malades atteints de mucoviscidose et présentant un type très particulier de mutation du gène CFTR pouvaient bénéficier d’un traitement par la gentamicine, un antibiotique couramment utilisé", selon un communiqué commun publié par le CNRS et l’INSERM.

La mucoviscidose est engendrée par la présence de mutations dans le gène CFTR (Cystic Fibrosis Transmembrane Conductance Regulator). Plus de 1.500 mutations de ce gène sont aujourd’hui connues. Et, environ 10 % correspondent à l’apparition d’un "codon stop", à savoir d’une maladie génétique entraînant la synthèse de protéines tronquées et inactives.

Partant de ces données, les équipes d’Aleksander Edelman, directeur de recherche CNRS, et d’Isabelle Semert-Gaudelus, tous deux chercheurs à l’INSERM (Hôpital Necker-Enfants malades, Paris), en collaboration avec celle de Jean-Pierre Rousset (CNRS, Université Paris XI), se sont associées afin d’étudier les résultats d’un traitement à la gentamicine sur un panel de neuf patients atteints de mucoviscidose et portant certaines mutations spécifiques. Ces patients ont été traités par perfusion intraveineuse de gentamicine pendant 15 jours, l’étude se déroulant simultanément dans les centres hospitaliers de Necker (Paris), Saint-Denis et Saint-Pierre de la Réunion.

"Un bénéfice thérapeutique significatif, en particulier au niveau respiratoire, a été observé chez six des neuf patients traités", souligne le communiqué. En revanche, aucun des patients porteurs d’une mutation d’un type différent n’a présenté d’amélioration clinique, ont constaté les chercheurs. La gentamicine présente l’avantage d’être déjà utilisée régulièrement à l’hôpital. Toutefois, les auteurs de l’étude reconnaissent qu’elle n’est certainement pas la molécule idéale car elle entraîne, chez certains patients, des effets secondaires graves, tels que des néphropathies et des surdités.

D’autres molécules, au mode d’action comparable et comportant moins d’effets secondaires, sont donc en cours d’étude, telles que le PTC124 et l’amikacine, un antibiotique de la même famille que la gentamicine. Reste à déterminer si ces molécules possèdent le même potentiel thérapeutique que la gentamicine.


 

http://wwww.tregouet.org

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22 mars 2007 4 22 /03 /mars /2007 17:32


A lire le numéro 564 de la revue "Etudes et résultats" consacré à la scolarisation des enfants et adolescents en situation de handicap.

Comme la candidate à la Présidence de la République, Mme Royal, je persiste à préférer l'expression "situation de handicap" plus fidèle à nos idées que celui de "handicapés" dont la  position d'adjectif qualificatif glisse trop aisément au statut de substantif ce qui est par essence discriminatoire et en tant que tel tombe sous le coup de la loi française avant d'être non conforme aux recommandations européennes.

  •  N° 564 "La scolarisation des enfants et adolescents handicapés"
  •  

    Pour y accéder  :
    http://www.sante.gouv.fr, rubrique "Recherche, études et statistiques"


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    22 mars 2007 4 22 /03 /mars /2007 15:35
    Un site à ne pas manquer pour des informations sérieuses :

    http://www.manicore.com

    ou contacter jean-marc@manicore.com

    Voir également l'article de Christine QUINET dans MAIF magazine n° 143 de mars 2007. Citons sa conclusion , page 8 :

    " La société souffre d'immobilisme, de manque de courage. Le monde change, mais l'homme reste attaché à des comportements d'il y a vingt ou trente ans qui créent des situations aberrantes. C'est valable pour l'environnement comme pour d'autres domaines. Et ça, c'est exaspérant."

    Certes, mais l'immobilisme n'est pas qu'une question de génération, encore moins de popularité. Que penser du plus grand défenseur de la planète qui est aussi le plus grand consommateur d'énergie électrique. Quelle crédibilité accorder à Al GORE et avec lui, à tous les autres défenseurs qui tentent d'acheter à bon compte la bonne conscience des gogos que nous sommes ? Non seulement c'est exaspérant, mais c'est désespérant . Ce devrait pourtant être une question centrale de la réflexion politique actuelle entendue au sens noble de d'organisation et de gestion de la société des hommes et non pas au sens politicien du terme englués dans les plus efficaces des procédés de la société libérale avancée, c'est-à-dire la société de marché. Les idées en ce domaine n'ont pas à figurer en tête de gondoles dans on ne sait quel super marché des idées de grande consommation!

    Car c'est quoi au juste que le "développement durable"?

    "C'est s'efforcer de répondre aux besoins du présent sans compromettre l'avenir des générations futures. "

    Cette définition désormais admise comme officielle (Harlem Gro Brundtland 1987), n'a rien à voir avec la notion de décroissance que d'aucuns seraient tentés de nous faire accroîre. Ce pourrait même en être l'inverse car dans cette approche, il serait vain, voire dangereux de ne pas prendre en compte l'aspiration naturelle à un "mieux-être" des peuples laissés pour compte.

    Alors que cessent les "y a qu'à, faut qu'on", que finissent autant les discours lénifiants que les diktats des petits potentats d'idées parfois fumeuses en mal de puissance pour que s'instaure enfin un vrai débat participatif se traduisant le cas échéant par une consultation, une vraie.

    N'est ce pas le sens qu'il conviendrait d'accorder au référendum d'initiative populaire ?

    Qui propose ce genre de réflexion ?  Avez-vous trouvé ?





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    16 mars 2007 5 16 /03 /mars /2007 08:00

    L'association des Services pour une vie autonome (ASVA) créée en 2006 a pour objectif d'améliorer le dispositif départemental du Calvados de sorte à permettre à toute personne en situation de handicap de mieux construire son projet de vie.

    L'ASVA se propose d'être davantage en phase avec les principes énoncés par la loi du 11février 2005 d'égalité des droits et des chances, de participation et de citoyenneté des personnes en situation de handicap que ne le sont trop souvent les services publics.

    Elle vient d'éditer sa première lettre.

    à demander aupès de :

    sandrine.antoine@asval14.fr

    A.S.V.A
    Plateforme Service Mutualité Française Calvados
    104 Boulevard Weygand
    14000 CAEN

    Tél. 02 31 53 97 94 ou 02 31 53 97 95

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    8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 18:00

    RMI







     le numéro d'Études et Résultats de cette semaine est consacré au RMI

  •  N° 561 "le nombre d'allocataires du RMI  au 31 décembre 2006"
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    5 mars 2007 1 05 /03 /mars /2007 21:05

    Pour consulter le dossier complet :


    http://www.ctnerhi.com.fr/ctnerhi/pagint/centre_doc/dossiers_electro/dossier_electro_1/intro_TH.php

    à rechercher sur :


    http://www.ctnerhi.com.fr/enews/flash/index.php?cid=110
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    1 mars 2007 4 01 /03 /mars /2007 16:39



    Bonjour,

    Un lien pour lire le  numéro  d'Études et Résultats de cette semaine
  •  N° 559 "les caractéristiques des handicaps en fonction de leur période de survenue"
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