7 décembre 2007
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Nous sommes en 1923 !
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Minutier de Saint-Sauveur-le-Vicomte. AD 50. 5 E 11806, folio 44
Jean Travers fils André de la paroisse de Néhou a volontairement baillé à titre de louage à Pierre Travers fils Vincent dud. Néhou le bois et une pièce de terre nommés le clos du Belarbre scize aud.Néhou au triage de Montroch.
29 novembre 2007
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Minutier de Saint-Sauveur le Vicomte, 5 E 11832, Folio 376, 17 décembre 1696
Thomas Marion fils et héritier de Jean Marion, demeurant à Néhou, baille à Jean Lefranc fils Jean de Neufville-au-Plain une petite pièce de terre nommée la Quesnote de une vergée ou deux qui jouxte le Sr du Rosel, le chemin de la chapelle de Montrot au Val de Néhou.
Marque de Thomas Marion
29 novembre 2007
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Minutier de Saint-Sauveur-le-Vicomte 5 E 11 833, folio 313 :
Présence de Estienne Travers fils Melchior....à Michel Laniepce de Néhou, 60 sols de rente hypothèque au denier quatorze constituée par Thomas Travers fils jJean au bénéfice de philippe Minot suivant contrat passé devant Jullien Dollebel et Thomas Travers tabellions de Néhou le dix sept mai mil six cent soixant six.
28 novembre 2007
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Avec l'aimable autorisation des Archives départementales de la Manche une information relative au soleil donné à l'église du Valdecie en 1777.
" Monsieur de Querqueville en son chateau de Magneville
m'a remis aujourd'huy le montant des sommes et
payments faits en son nom a Monsieur de la Niepce
tant pour ses honoraires que pour ouvrages faits
par mondit sieur de la Niepce de la requisition de feue
Madame de Querqueville ainsy que le prix du soleil
donné en partie a l'eglize du Valdescie et tout autre
fourniture par moy faite a la chapelle de la Baronnie
et Mont Roch dont du tout mondit Seigneur de Querqueville
demeure quite. Ce vingt cinq juin mil sept cent soixante
dix sept ."
Signé: Groult, ptre, Curé de Néhou, Pro prima. Transcription par mes soins.
10 novembre 2007
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De Christiane et Michel Lécureur Une très belle présentation de Barbey-D'Aurévilly :
BARBEY-d'AUREVILLY, l'ensorcelé du Cotentin
MAGELLAN & Cie, collection "Traces & Fragments" Paris 2007
ISBN 978-2-35074-0898. 128 p. 19,90 €
On y trouve, p. 32, évocant Néhou outre une reproduction d'une carte postale représentant le vieux château de Néhou au temps de sa démolition définitive vers les années 1900, la phrase suivante : " L'évocation du château de Néhou n'est jamais très détaillée, dans Un prêtre marié, parce qu'il était déjà en ruinnes lorsque Barbey d'Aurevilly l'a découvert. Aujourd'hui, il a complétement disparu, mais les Amis de la Baronnie de Néhou s'emploient à le faire revivre."
6 novembre 2007
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Minutier de SSLV 5 E 11812, folio 149 à la date du 5 novembre 1672 :
présence de Macé TRAVERS fils André de Néhou, de présent demeurant en la paroisse de la Chapelle-en-Juger, de présent estant aud. Saint-Sauveur, veuf de + Susanne AIGRET, vivante fille et héritière de + Michel AIGRET de la paroisse de Néhou renonce a demander à Pierre TRAVERS son fils sorty de luy et de lad. Susanne AIGRET en loyal mariage aucun domaine qu'il pourrait prétendre....En présence de Noël LECACHEUX, marchand et Jean LEVALLOIS, boucher dud. Saint-Sauveur et y demeurant.
Lire Macé TRAVERS ( et non Marc) : Merci à Patrice MOUCHEL-VALLON d'avoir appelé notre attention sur cette erreur de report.
30 octobre 2007
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Le Connétable des Lettres n'est jamais aussi bon que lorsqu'il dépeind sa région :
"Avez-vous jamais, vous qui lirez ces pages, voyagé à travers ces marais du Cotentin qu'on a essayé de décrire, et qui sont assez vastes pour que seulement les traverser puisse vous paraître un voyage?...Si c'est vers la fin de l'automne ou en plein hiver que vous les avez parcourus, vous avez pu juger ce qui appartient à la nature de ces parages, qui coupent sur le fond si riant ailleurs de la Normandie, et à l'originalité mélancolique qui les distingue. Or, c'est surtout l'hiver qu'il faut voir les marais, devenus des vallées d'eau infinies, désolées, monotones et que rien n'anime plus, sinon les pauvres bateliers, -qui, par tous temps, tirent au grelin leurs bateaux à tangue le long des chemis de halage, engloiutis et couverts par la Douve débordée, - et quelques rares et intrépides chasseurs de sarcelles et de canards sauvages, plongés dans l'eau stoïquement jusqu'aux reins pour ajuster de plus près, sur le gibier qu'ils veulent abatre, les coups de leurs longues canardières...."
Ce qui ne meurt pas. La Pléïade. T.II. P. 527.
30 juin 2007
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Le 24 juin dernier nous rendions hommage à l'une des soeurs TRAVERS de Néhou, toutes les deux tantes de Melle Maria TRAVERS, directrice du cours complémentaire de Périers de filles de 1922 à 1934.Cette fois c'est à Euphrasie, Virginie, Augustine, TRAVERS que J. FUSTER, inspecteur d'académie, rend hommage.
Bulletin de l'instruction primaire de la Manche - 1926
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