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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 18:23
MÉTHODOLOGIE DES SCIENCES SOCIALES
Couverture ouvrage
TRACÉS. Nº17 : QUE FAIRE DES INSTITUTIONS ?
Arnaud Fossier, Eric Monnet
Éditeur : ENS LYON
250 pages /14,25 € sur
Résumé : Un numéro dense à propos d’un thème transversal des sciences humaines et sociales.  


    L’institution constitue l’un des thèmes privilégiés de la recherche en sciences sociales, que l’on songe par exemple à l’étude des réalités juridiques et politiques, ou à celle des conventions et des normes. Fidèle à son programme et à sa vocation pluridisciplinaires, la revue semestrielle Tracés propose de confronter dans un numéro intitulé “Que faire des institutions ?” plusieurs approches méthodologiques et épistémologiques afin de prendre le pouls du renouvellement de l’analyse institutionnelle dans différents champs des sciences humaines et sociales. Un renouvellement multiforme qui traduit bel et bien un retour en force du thème après sa relative marginalisation au sortir de la seconde guerre mondiale   ; un renouvellement qui tente également de réintroduire le caractère processuel et dynamique des institutions, contre une acception généralement fixiste, ou tout du moins “figeante”, du terme  . Le numéro de Tracésaccueille ainsi des contributions variées, aux tonalités et aux propositions parfois fort différentes, qui ont cependant toutes pour point commun de montrer l’actualité du débat autour de la notion “d’institution” et de ses fonctions  .

La dynamique des institutions

    Les questions que posent Arnaud Fossier et Eric Monnet dans l’éditorial rappellent que le numéro ne vise pas à un état des lieux de la question institutionnelle, quasi impossible au vu de la variété des acceptions du terme en fonction des différents disciplines. Il s’agit davantage d’interroger l’efficacité, le devenir et la fonction des institutions, en un mot leurs possibles usages. La question pragmatique “Que faire des institutions ?” signale d’emblée les présupposés négatifs qui pèsent sur les institutions , lorsqu’on les pense dans leur dimension statique (des “structures sociales figées ou, dans un sens plus restreint, des ‘organisations’” ). À partir des travaux du philosophe John Searle, dont l’œuvre parcourt une grande partie de l’introduction et du numéro , les institutions sont définies comme des “faits strictement humains (…) dépendant de notre langage et d’une intention collective” . Les institutions seraient ainsi des faits collectifs, qui influencent et contraignent les acteurs sociaux. En cela, l’institution est intéressante pour ce qu’elle permet de révéler, puisqu’elle est à la fois “ce qui est institué” et “ce qui institue”. On retrouve ici le caractère fondamentalement double de l’institution, à la fois statique et dynamique ; le numéro prend le parti de privilégier l’étude de la dimension dynamique de l’institution, “ce que le collectif institue” , c’est-à-dire la possibilité des transactions, des interactions et des négociations autour des règles et des normes. Le philosophe Olivier Morin en vient même à remettre vigoureusement en cause la notion de “règle constitutive”, comprise comme ce qui crée ou ce qui rend possible les pratiques sociales ou les comportements (une notion utilisée en particulier en philosophie analytique des sciences sociales par Searle, David Bloor ou encore Vincent Descombes ). Pour lui, les méthodes d’identification des consensus sociaux, et au-delà, les formes de codification des institutions non codifiées reposent sur des intuitions peu fiables, et l’autorité compétente censée définir la “règle constitutive” d’une institution est susceptible de changer, d’être contestée voire de ne pas exister. C’est donc “l’histoire d’une institution qui nous renseigne sur elles, pas le simple examen des règles elles-mêmes” .

Titre du livre : Tracés. nº17 : Que faire des institutions ?
Auteur : Arnaud Fossier, Eric Monnet
Éditeur : ENS Lyon
Date de publication : 25/11/09
N° ISBN : 284788193X
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Published by Yves Marion - dans Livres-cinéma-théâtre
12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 07:33

La Independencia Mexicana

¡Viva México!... se gritó al unísono desde Ciudad de México hasta Guadalajara, pasando por Monterrey, el 16 de septiembre de 2010, cuando se cumplieron 200 años de la independencia del pueblo mexicano. IberLibro.com no podía eludir su compromiso con la gran colección de obras centenarias como Historia de la conquista de México o México y sus revoluciones, que datan de 1684 y de 1810, respectivamente.

Existen obras únicas propias del salón de un coleccionista, pero también ofrecemos ejemplares más asequibles como México durante las fiestas del primer centenario de su independencia.

Desde IberLibro.com nos unimos a este grito y les ofrecemos esta serie sobre el Bicentenario de la Independencia que no tiene desperdicio.
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Published by Yves Marion - dans Livres-cinéma-théâtre
4 octobre 2010 1 04 /10 /octobre /2010 18:33

 

 

octobre 4, 2010

Une soirée de présentation de l’édition 2010 des Boréales
en forme de cadeau

Soyez nombreux à nous rejoindre vendredi 8 octobre à la Comédie de Caen / Centre Dramatique National de Normandie. Au programme : un concert de Budam, coup de cœur de l’édition 2009 et la découverte de la brochure 2010.

À 19h : ouverture du bar. Crêpes à la vente. Un verre de glögg offert à chaque spectateur.
À 19h30 : présentation de la brochure 2010 par Jérôme Rémy, directeur artistique du festival. Puis concert de Budam.


Révélation des Boréales 2009, Budam avait offert à la Maison de l’étudiant de l’Université de Caen un concert mémorable. Le festival et la Comédie de Caen ont souhaité proposer à Budam une résidence de trois semaines avant ce concert-spectacle. Creusant encore un peu plus l’aspect cabaret de son travail, Budam sera entouré d’une chanteuse (Eivor Palsdóttir, voix cristalline et björkienne du groupe ORKA), d’un pianiste, d’une actrice-danseuse, d’un bassiste, d’un batteur, d’un vélo improbable et d’un arbre qui vole… L’occasion de découvrir en exclusivité son nouvel album, Man, à paraître en janvier.

Retrouvez Budam sur France 3 Basse-Normandie dans l’édition de « Là où ça bouge » du lundi 27 septembre.
À découvrir aussi : The man who know everything.

ATTENTION ! Retirez vos places dès maintenant à la Comédie de Caen.
Entrée libre mais réservation indispensable au 02 31 46 27 29. Budam dédicacera son album à l’issue du concert.
À noter : Forum FNAC, centre Paul-Doumer à Caen, jeudi 7 octobre à 17h30. Entrée libre.

Le festival est proposé par le Centre régional des Lettres de Basse-Normandie. Rens. au 02 31 15 36 40. Retrouvez le festival sur Facebook.


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Published by Yves Marion - dans Livres-cinéma-théâtre
4 octobre 2010 1 04 /10 /octobre /2010 18:27

CONCERT HUMANITAIRE

 

Organisé par « Octeville Concert Solidarité » au profit de :

Restos du Cœur, Secours Catholique et Secours Populaire

 

                                          www.charly-saussaye.fr

Charly SAUSSAYE est un chanteur à textes. Il met ses tripes, son cœur et sa pudeur dans chacun des textes qu’il écrit.

C’est également un talentueux interprète de Leny Escudero et de Serge Reggiani. Il chante l’amour, l’amitié et rend hommage à tous les combattants des causes justes. Avec une personnalité forte, une sensibilité à fleur de peau, il saura vous conquérir et vous faire vivre un grand moment d’émotion.

Il est accompagné par Christian BASSET à l’accordéon électronique et Denis BAILHACHE à la guitare,

                       Samedi 9 octobre 2010 à 20h00
                       Théâtre de la Butte
                       Cherbourg Octeville

Billets en vente auprès des associations, à la Maison du Tourisme, au magasin Harmonia Mundi et au 02 33 94 34 13

                    Tarifs : 12 € adulte, 6€ étudiant, 1 € enfant (moins de 8 ans)
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Published by Yves Marion - dans Livres-cinéma-théâtre
16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 17:10

SUR LES PAS DE COROT ET DE MILLET,

DE L’ÉPOQUE IMPRESSIONNISTE

À LA NORMANDIE CONTEMPORAINE,

 

exposition à Saint-Lô du 19 juin au 3 octobre 2010

Musée des Beaux-Arts

Ouvert du mercredi au dimanche de 14h à 18h

Place du Champs de Mars – 50000 SAINT-LO

 

Musée du Bocage normand

Ouvert du mercredi au vendredi de 10h à 12h et de 14h à 18h,

le samedi, dimanche et jours fériés de 14h à 18h

Ferme de Boisjugan

Boulevard de la Commune – 50000 SAINT-LO

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Published by Yves Marion - dans Livres-cinéma-théâtre
8 mai 2010 6 08 /05 /mai /2010 08:25

Article paru dans nonfiction.fr

 


[mardi 04 mai 2010 - 10:00]
MÉDECINE
Couverture ouvrage
LA MORT DE LA CLINIQUE ?
Daniel Couturier, Georges David, Dominique Lecourt, Jean-Daniel Sraer, Claude Sureau (dir.)
Éditeur : PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE (PUF)
160 pages /11,40 € sur
Résumé : Issu d'un séminaire commun au Centre Georges-Canguilhem et à l'Académie nationale de médecine, La mort de la clinique ? annonce sa "volonté de palier le désagrégement du facteur humain au sein de la clinique moderne". Deux philosophes, cinq médecins, une avocate et une psychanalyste se succèdent pour développer leur vision de cette crise de la médecine moderne. 
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C'est une mort annoncée. Dans le cauchemar contemporain du passé qui se meurt, the good old days et ses savoirs, naît à demi-mots une injonction qui prendrait sous une forme lyrique à peu près ces mots-ci : "la clinique se meurt : sauvons la clinique". Paradoxe réel de la médecine moderne qui triomphe toujours plus mais qui n'aurait pas d'avenir à moins de se l'inventer entre le regard extasié vers les pratiques de ses ancêtres et la douce dissolution dans le paradis technique.
"Parler de la mort d'un homme ou d'un concept est toujours un événement grave, même quand elle est suivie d'un point d'interrogation... La simple interrogation pose problème en elle-même" . De quoi avons-nous peur ?

Issus d'un séminaire commun au Centre Georges-Canguilhem et à l'Académie nationale de médecine, La mort de la clinique ? annonce sa "volonté de palier le désagrégement du facteur humain au sein de la clinique moderne". Deux philosophes, cinq médecins, une avocate et une psychanalyste se succèdent pour développer leur vision de cette crise de la médecine moderne. "Nous nous interrogerons sur les motifs et le sens de ce bouleversement. Comment en tirer le meilleur et en jurer le pire ?"  , annonce Dominique Lecourt, directeur du Centre Georges-Canguilhem.

De la clinique, comme moyen éphémère, et de la possibilité de sa fin

Où se situe-on ? La clinique peut-elle se laisser enterrer ? L'interrogation du titre annonce déjà son scepticisme : soit la clinique se meurt depuis maintenant plus d'un siècle, soit celle-ci a muté continuellement et se réhabilite d'elle-même, au sein des évolutions médicales et scientifiques de son temps. Ce serait donc, à lire cet essai, plus une crise que nous avons à affronter. Aucun des textes ici présents n'a le ton de l'oraison funèbre.

La mort de la clinique ?
 n'a pas la prétention de son homologue cyclique, naissance vie et mort, écrit il y a maintenant près de cinquante ans par Michel Foucault. Le philosophe la fit naître, comme rupture et révolution face à l'idée d'un mouvement continue "qui se serait développé plus ou moins régulièrement depuis le jour où le regard, à peine savant, du premier médecin s'est porté de loin sur le corps du premier malade"  . Cette naissance, nous rappelle les auteurs, aurait eu lieu selon Foucault au sein de l'École médicale de Paris lors de l'avènement de la méthode anatomo-clinique, qui donne toute sa mesure au perceptible, à "la mise en visibilité d'une invisibilité". Acceptant la clinique comme fait historique, et par la même envisageant la possibilité de sa fin, il reste à analyser les conditions et les structures qui la menacent.

Titre du livre : La mort de la clinique ?
Auteur : Daniel Couturier, Georges David, Dominique Lecourt, Jean-Daniel Sraer, Claude Sureau (dir.)
Éditeur : Presses universitaires de France (PUF)
Collection : Quadrige Essais Débats
Date de publication : 01/05/10
N° ISBN : 2130579736

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Published by Yves Marion - dans Livres-cinéma-théâtre
8 mai 2010 6 08 /05 /mai /2010 08:23
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Published by Yves Marion - dans Livres-cinéma-théâtre
8 mai 2010 6 08 /05 /mai /2010 08:22
La Cité des Livres : Débat avec Thomas Legrand autour du livre 'Ce n'est rien qu'un président qui nous fait perdre du temps'
[jeudi 29 avril 2010 - 10:00]

La Fondation Jean-Jaurès et nonfiction.fr vous invitent à un débat avec Thomas Legrand autour de son livre Ce n'est rien qu'un président qui nous fait perdre du temps le lundi 10 mai 2010 à 18h45, à la Fondation Jean-Jaurès, 12 Cité Malesherbes, 75009, Paris. L'accès à la Cité Malesherbes se fait par la rue des Martyrs. Il suffit d'appuyer sur n'importe quel bouton du digicode pour ouvrir la grille d'entrée à la Cité.

Le débat sera animé par Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, et Laurent Bouvet, co-animateur des pôles Science Politique et Université&Recherche de nonfiction.fr. Il sera suivi d'une séance de dédicaces.

RSVP par mail à : contact@nonfiction.fr. Places limitées.

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Published by Yves Marion - dans Livres-cinéma-théâtre
8 mai 2010 6 08 /05 /mai /2010 08:20
nonfiction.fr newsletter
    7 mai 2010
 
  ÉDITO
Nonfiction.fr et la Fondation Jean-Jaurès vous invitent à un débat avec Thomas Legrand autour de son livre "Ce n'est rien qu'un président qui nous fait perdre du temps" (Stock) ce lundi 10 mai 2010 (plus d'informations ci-dessous). Cette semaine, nonfiction.fr vous propose également un "procès" de l’architecture autour du livre de Franco La Cecla, "Contre l’architecture" (Arléa). Dans son livre "Le Vietnam, un cinéma de l’apocalypse" (Cerf), Laurent Tessier analyse les films sur le Vietnam à travers les impressions des vétérans de cette guerre. Gayatri Spivak nous présente un "classique" des cultural studies dans "En d’autres mondes, en d’autres mots. Essais de politique culturelle" (Payot). Dans son ouvrage "La guerre des civilisations. La culture de la peur II" (Galilée), Marc Crépon défend l’idée d’une authentique reconnaissance entre les cultures. Maurice-Ruben Hayoun interroge l’historicité du "père d’une multitude de nations" dans "Abraham : un patriarche dans l’histoire" (Ellipses). Enfin, Jan Assman revient sur la formation de l’identité collective dans "La mémoire culturelle. Ecriture, souvenir et imaginaire politique dans les civilisations antiques" (Aubier).
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Published by Yves Marion - dans Livres-cinéma-théâtre
2 avril 2010 5 02 /04 /avril /2010 07:11
Les petits éditeurs intéressés par le livre numérique

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, beaucoup de petits éditeurs, très présents au Salon du livre de Paris (alors que Hachette par exemple a énormément réduit sa présence), plébiscitent les opportunités offertes par le numérique. Le défi du numérique est dans toutes les têtes à l’heure des tablettes de lecture comme le Kindle d’Amazon, de l’iPad d’Apple qui doit débarquer en France fin avril, ou encore de celle de Sony. Autre défi, Google, qui a déjà numérisé 12 millions d’ouvrages en puisant dans les fonds des bibliothèques américaines.

« Qu’on tremble ou qu’on s’en réjouisse, c’est un fait : le numérique est en train de bouleverser l’édition", souligne à l’AFP Pascal Arnaud, patron des éditions "D’un noir si bleu", créées en 2006 en Bourgogne, qui publient des nouvelles et quelques romans. "Les livres numériques ne représentent qu’à peine 3 % des ventes dans le monde, cela pourrait monter à 20 ou 30 % dans cinq ans", estime-t-il au Salon du livre qui se tient Porte de Versailles jusqu’au 31 mars. Le PDG d’Hachette Livre Arnaud Nourry mise lui sur "10 à 15 % d’ici cinq à sept ans".

François Collet, directeur des éditions "Rouge inside", nées en 2009 à Lyon, confie faire déjà de la "bi-édition". "Nous ne publions que des traductions : le livre lui-même, sur papier pour l’instant, et des bonus en ligne (post-face d’un traducteur, liens vers le site ou le blog d’un auteur)".

Le Guatémaltèque Allan Mills publie déjà dans toute l’Amérique latine en version numérique. "Tous les manuscrits m’arrivent numérisés, c’est ma consigne, et moi, je les lis sur mon BlackBerry", avoue-t-il. "L’ère numérique représente un gros espoir pour nous, les petits, et cela ne tuera pas l’édition papier, elles cohabiteront", ajoute-t-il. "Cela affectera sans doute plus la science-fiction, l’édition jeunesse, les actes de colloque, etc."

Pour Rodney Saint-Eloi, éditeur canadien d’origine haïtienne, installé à Montréal, "grâce au numérique, nous allons vers une démocratisation de la lecture, cela abolit les distances. C’est l’avenir des petits éditeurs. C’est l’indépendance et l’essor possible de la ’bibliodiversité’", affirme à l’AFP le patron des éditions "Mémoires d’encrier" fondées en 2003. "Près de 60 % du prix d’un livre, c’est le transport. L’entreposage, la distribution, la diffusion, ce sont de gros problèmes pour les petits éditeurs. Sur le web, on est tous à armes égales", s’enthousiasme-t-il. "Dans beaucoup de pays du Sud, le livre pourra se démocratiser au lieu de rester élitiste. Acheminer un ouvrage par exemple au Sénégal, c’est hors de prix. Et souvent, les gens n’ont pas d’adresse physique mais presque toujours une adresse électronique ! Le numérique, c’est une chance pour les plus vulnérables, lecteurs ou... éditeurs", relève M. Saint-Eloi.

"Pour nous, les petits, le vrai barrage c’est la distribution. Le numérique et internet, les librairies électroniques sont une formidable opportunité, pas une menace", renchérit Pascal Arnaud. Cet éditeur de Saône-et-Loire s’est aussi allié à un confrère alsacien, Calleva, pour publier des extraits numérisés de leurs livres, accessibles notamment sur les smartphones.

Expansion

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Published by Yves Marion - dans Livres-cinéma-théâtre