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17 décembre 2009 4 17 /12 /décembre /2009 18:14
La France a connu son deuxième automne le plus chaud depuis 1900

Cet automne s’est révélé exceptionnellement chaud dans l’Hexagone, généralement bien ensoleillé et relativement sec. Avec une température moyenne dépassant de 1,5 degré Celsius la normale, cette saison se classe au deuxième rang des automnes les plus chauds depuis 1900, l’année au cours de laquelle les services climatologiques ont commencé à établir des statistiques homogènes dans ce domaine.

Se situant derrière l’automne 2006 (+2,8°C) et devant celui de 1949 (+1,3°C), il fait suite à un printemps et un été déjà très doux. Si septembre et octobre ont connu des températures légèrement supérieures aux normales, le mois de novembre a été exceptionnellement chaud, selon Météo France. La pluviométrie de l’automne 2009 a été contrastée : les précipitations ont été sensiblement inférieures aux normales sur la moitié est du pays, mais assez nettement excédentaires sur les régions proches de l’Atlantique et de la Manche, note également Météo-France.

Dans l’extrême Sud de la France, les pluies ont été particulièrement rares sur le Languedoc-Roussillon où les cumuls ont été près de trois fois inférieurs à la normale. Pendant l’automne, le soleil s’est montré généreux sur les deux tiers sud de la France. En revanche, l’ensoleillement a été plus proche de la moyenne au nord de la Seine.

AP

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3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 12:09
 
                                 Chère Madame, Cher Monsieur,
 
                                  Le décès, hier matin, de M. Robert Sinsoilliez, président de la section de Granville de la SAHM, endeuille l'ensemble de notre Société. Particulièrement sympathique et dynamique, il avait su, pendant sa présidence, faire de la section de Granville une organisation vivante et chaleureuse au service du patrimoine historique manchois.
 
                                   Ses obsèques auront lieu vendredi à 14 h 30 à l'église Notre-Dame de Granville. Les membres de notre Société qui ne pourront pas s'y rendre s'uniront par la pensée au deuil de Madame Sinsoilliez et de sa famille.
 
                                   Je joins au présent message l'article paru ce matin dans Ouest-France ainsi que l'interview donnée par Robert Sinsoilliez il y a quelques années au moment de la parution de son livre sur l'arrivée des Normands en Nouvelle-Zélande.
 
                                                                                                                 Jean-Paul Hervieu, président.
 
                                
 


Journal Ouest-France du mercredi 2 décembre 2009
Edition : Sud Manche - Rubrique : Granville Ville


Robert Sinsoilliez, l'historien

 


.

 

 

Historien granvillais, chevalier des Arts et des Lettres, Robert Sinsoilliez s'est éteint hier. Il aurait eu 81 ans.

 


 

C'était un homme d'une immense culture et avant tout attaché à Granville où ses racines étaient profondément ancrées. « Nous sommes dans la région de Granville depuis bien avant Louis XIII », rappelait-il en janvier 2004, en recevant du maire Marc Verdier la médaille de la croix de chevalier des Arts et des lettres. Robert Sinsoilliez n'est plus.

Il s'est éteint hier matin, chez lui, des suites d'une longue maladie. Affaibli ces derniers mois, il parlait avec pudeur de son état de santé. Cet homme d'une grande discrétion et d'une gentillesse naturelle aura mené des projets jusqu'à la fin de sa vie. Il y a deux ans, il avait particulièrement contribué à la pérennité du Salon du livre de Granville.

Robert Sinsoilliez était odonto-stomatologue de formation. De nombreux Granvillais l'appelaient encore parfois « le docteur Sinsoilliez ». Il était aussi un infatigable chercheur, pêcheur et navigateur...Et il écrivait depuis plus de quarante ans: La pêche à pied, coquillages, crustacés; Le siège de Granville; L'histoire des Minquiers et des Ecréhou; Les prisonniers du Mont-Saint-Michel; L'expédition des Normands en 1840; Letourneur, le Normand qui a gouverné la France...

Il était membre de la société d'archéologie et d'histoire de la Manche (SAHM) et de la société des auteurs de Normandie (SDN).

La cérémonie religieuse des obsèques de Robert Sinsoilliez sera célébrée vendredi 4 décembre à 14 h 30, en l'église Notre-Dame-de-Granville.


            Robert Sinsoilliez… en 10 questions
 
                       SUR LE SITE  :  http://www.voyagerpratique.com/invites/robert_sinsoilliez.php
 
 
Infatigable chercheur, pêcheur et navigateur... L'historien et écrivain Granvillais, Robert Sinsoilliez* a un itinéraire d'homme passionné pour sa région natale du Cotentin. Conteur, il aime la vie, les amis et raconter à la fois des histoires et la grande Histoire. Découvrons ses territoires de prédilections.
Comment expliquez-vous votre attachement à Granville et à toute la région du Cotentin ?
" Tous les souvenirs de bonheur d'enfance, d'adolescence… "


Ouverts sur l'extérieur, mes parents et par la suite nos instituteurs nous ont fait connaître Granville, son histoire, son patrimoine maritime, la richesse de ses côtes, l'environnement. Ici, c'est une pierre datée qui retient l'attention, là l'endroit d'un naufrage toujours dramatique ou encore le pont-levis où se sont brisées les attaques vendéennes en 1793. Et combien d'autres…
Et, et… tous les souvenirs de bonheur d'enfance, d'adolescence, les parties avec les camarades de classe, les copains, les vieux marins qui évoquent leurs souvenirs, le sport, les premiers contacts avec les voiles ou des avirons, les régates. Les peines aussi… Des parents ou des amis toujours trop tôt disparus.

Vous fréquentez souvent les îles Chausey, les Ecréhou…
Avez- vous une âme de navigateur ou de pêcheur ?
"Quel plaisir intense de naviguer parmi les rochers de Chausey…"
Les deux et j'ajouterai d'observateur. Combien d'heures passées à basse mer à observer sans bouger, avec une caméra, la vie des crustacés dans leurs trous, les ébats d'un congre, l'enfouissement d'une sole ou le jaillissement des couteaux sous l'effet du sel… Mais aussi quel plaisir intense de naviguer parmi les rochers de Chausey, des Ecréhou, des Minquiers en tenant à la main, pour un contact direct, le fil terminé par un poisson en caoutchouc qu'un bar va saisir dans un choc brutal.
Et aussi, tout autour les sauts des dauphins, les vols d'oiseaux, le glissement d'un phoque dans l'eau. Les odeurs, les senteurs des algues…

Vous êtes aussi écrivain et historien. D'où vous vient cette passion ?
"A cette période l'imagination s'enflamme"
D'abord la découverte sur le terrain.
Dès l'âge de 6 ans, par exemple, j'allais pêcher la crevette avec mes parents et des pêcheurs professionnels autour de l'îlot de Tombelaine dans la baie du Mont-Saint-Michel. Adolescent, j'ai remarqué des ruines de murailles, des portes fortifiées. A cette période l'imagination s'enflamme. J'entendais siffler les flèches des archers anglais qui avaient assailli le Mont-Saint-Michel pendant la Guerre de Cent ans ou le choc des épées des chevaliers. Aucun livre n'existait sur l'Histoire de cet îlot. Adulte, j'ai décidé de l'écrire avec toute la joie que procurent des découvertes dans les archives. Tout cela met en valeur " mon pays ".

Vous avez et vous continuez à écrire sur le thème de la mer. Pourquoi ?
"J'ai découvert par un texte de trois lignes qu'une poignée de Normands…"
Parce que je peux faire des recherches avec mon épouse sur les lieux mêmes ou dans les archives. Parce que j'ai des sujets en tête, qu'une recherche en entraîne une autre. En écrivant l'Enfer des baleiniers, j'ai découvert par un texte de trois lignes qu'une poignée de Normands avait conçu le projet de créer une colonie en Nouvelle-Zélande en 1840 avec l'accord du gouvernement du roi Louis-Philippe, accord secret pour ne pas entrer en conflit avec les anglais. Ce sujet était nouveau. J'y ai consacré quelques pages dans l'Enfer. Puis pendant douze ans, j'ai fouillé les archives de France, en Nouvelle-Zélande pour découvrir une ahurissante histoire qui m'a permis de rédiger un livre très illustré de 350 pages.

Que représente la pêche à pied dans votre région ? Une tradition ?
"C'est devenu une tradition"
Une nécessité d'abord. Pendant que les hommes valides étaient partis pêcher la morue à Terre-Neuve, sur les Bancs et en Islande ou la baleine à travers le monde, les femmes, les enfants et les invalides devaient se nourrir. Pauvres, ils partaient sur les grèves lors des marées, profitaient des ressources naturelles offertes à profusion par la mer à l'époque. Peu à peu, toutes les classes de la société ont participé à ce type de pêche à la recherche du bouquet, du homard ou de l'huître plate si abondante. C'est devenu une tradition. Chaque début d'année, beaucoup d'artisans, de membres de professions libérales ou autres notent les périodes où ils pourront se livrer à cette activité.

Vous écrivez aussi des romans policiers avec pour toile de fond les îles Chausey et Cherbourg. Est-ce une nouvelle vocation ?
"Vous devez bien avoir quelques idées en ce domaine"
Au départ, une commande d'éditeur. Les éditions Corlet m'ont dit : " Avec tout ce que vous écrivez comme ouvrages historiques, vous devez bien avoir quelques idées en ce domaine ". Or, en tournant sous une falaise un documentaire sur la faune marine, j'avais assisté à un drame comme seul témoin. J'ai déclenché tous les secours et une longue enquête s'ensuivit. J'ai donc pensé à cette affaire pour point de départ. Cela à bien marché. Et, j'en ai donc écrit deux autres dont l'un pour lancer une nouvelle collection : " La Chasse à l'or alchimique en Normandie " fondée sur des faits historiques réels du Moyen Age. D'autres policiers suivront.

Que vous inspire le Mont-Saint-Michel, sa baie, Tombelaine ? Des endroits sur lesquels vous avez beaucoup écrit.
"mais aussi des lieux où souffle l'esprit"
La nature, de grands espaces d'abord où la solitude apporte la paix et le silence, le souvenir des pèlerins d'autrefois allant se prosterner aux pieds de l'archange, mais aussi des lieux où souffle l'esprit. Je ne peux mieux faire que de citer ces paroles qui s'adressent à un passant inconnu : " Du haut d'un des sept monticules qui couronnent Tombelaine, dans le silence et le recueillement, sur ce roc chargé d'Histoire, vers tous les points cardinaux et jusqu'au fond de l'horizon, regarde, de tous tes yeux regarde… "

Vous passez beaucoup de temps dans le salles d'archives mais vous abordez des thèmes historiques souvent méconnus. Pourquoi ?
"On s'aperçoit que ces thèmes avaient un caractère national et parfois international"
Justement parce qu'ils sont méconnus malgré un intérêt majeur. Cela demande beaucoup de travail, de recherches car souvent aucune ligne n'a été écrite sur le sujet. Finalement, on s'aperçoit que ces thèmes avaient un caractère national et parfois international. J'en ai pour exemple mon livre sur les Prisonniers au Mont-Saint-Michel, objet de deux thèses en Allemagne. De même, en Sorbonne pour le Siège de Granville. Chouans et Vendéens. Et, comme les Minquiers et les Ecrehou, l'Histoire de l'îlot de Tombelaine a retenu l'attention de la presse nationale et des télévisions.

Pourriez-vous vivre ailleurs que dans votre Cotentin natal ?
"On revient toujours à ses premières amours"
Oui, puisque j'ai vécu à Paris, à Rennes et exercé pendant plus de trente ans en Seine-maritime. Quel que soit le lieu qu'offrent les circonstances, il faut saisir les opportunités au moment où elles se présentent. La raison doit l'emporter sur les attirances plaisir et loisirs. Mais, on revient toujours à ses premières amours et dès que l'emploi du temps le permet, la porte s'ouvre et c'est l'envol, le retour aux sources.

Quels sont vos projets en terme d'écriture ?
"Sur la faune marine, avec la télévision…"
Comme je le fais dans la revue du Département de la Manche ou autres, des articles à caractère historiques à la suite de découvertes dans des fonds d'archives de documents inconnus.
Actuellement, je mets la dernière main aux corrections de l'ouvrage intitulé : L'expédition des Normands en Nouvelle-Zélande (1840-1850) et qui paraîtra dans quelques jours.
Je viens de remettre à un éditeur un manuscrit : Les Espions du roi (Guerres de Vendée et de l'Empire). C'est toute l'histoire des services secrets de l'époque entre les îles anglo-normandes et la France.
J'ai des projets avec Flammarion sur la faune marine, avec la télévision, d'autres idées comme la biographie du Consul Lebrun et… des polars.
Mais, je n'oublie pas ma famille.
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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 22:56
nonfiction.fr newsletter
    13 novembre 2009
 
  ÉDITO
Cette semaine, nonfiction.fr vous invite à découvrir l’héraldique, discipline peu connue, en compagnie de Michel Pastoureau, spécialiste de la symbolique du Moyen Âge occidentale, qui signe au Seuil un beau livre sur le sujet. Toujours au Seuil, entretien avec l’éditeur et historien Maurice Olender, qui préside aux destinées de « La librairie du XXIe siècle », à l’occasion des vingt ans de la collection. À lire également : la présentation de différents ouvrages publiés à l’occasion de l’anniversaire de la chute du Mur de Berlin, l’ample synthèse de Richard Evans sur le IIIe Reich (Flammarion) et le dernier livre de la sociologue Nathalie Heinich (Klincksieck).
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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 09:53
La Société d’archéologie et d’histoire de la Manche (section de Saint-Lô)
a le plaisir de vous inviter à la conférence
de Madame Marie CASSET,
 maître de conférences d'histoire médiévale à l'université de Bretagne sud,
 
 
Les hommes contre la mer - La poldérisation dans la baie
du Mont Saint-Michel au Moyen Âge,
 
Saint-Lô, archives départementales, vendredi 18 décembre 2009, 17 h 45
 
 

 

    La baie du Mont Saint-Michel a fait et fait encore couler beaucoup d'encre dans tous les domaines de l'écrit : romans, romans policiers, ouvrages d'historiens anciens comme récents, sérieux comme fantaisistes et surtout ouvrages de scientifiques essentiellement des sédimentologues, écologues et géologues, particulièrement excités par le contexte exceptionnel de cette baie et la gageure scientifique que représente l'élucidation de son colmatage sédimentaire. Ils ont éclairci et restitué les variations du tracé du trait de côte pour les IIIe-IXe siècles et les XVIIe-XXe siècles. Ils ont également bien repéré les divagations des cours estuariens des petits fleuves côtiers (Couesnon, Sée, Sélune) depuis le XVIIIe siècle jusqu'à la canalisation du Couesnon au milieu du XIXe siècle. En revanche, un questionnement critique sur le cours des fleuves pour les périodes antérieures n'a jamais été entrepris et cette lacune de la recherche laisse penser qu'il en a toujours été ainsi.

 

    Les historiens et en particulier les médiévistes ont ignoré la baie et le Couesnon a été une véritable frontière. Ces 50 dernières années n'ont produit que de rares travaux sur les paroisses et la poldérisation au XVIIIe siècle, sur les salines au XIXe siècle. Seul André Chédeville a rapidement exposé à partir des seules sources écrites médiévales l'assèchement du marais de Dol et la poldérisation sur le littoral breton entre le XIe et le XVe siècle. Ce silence est généralement justifié par les lacunes abyssales des sources écrites médiévales, par la disparition quasi totale des archives des grandes seigneuries possessionnées sur le littoral.

 

    Le défaut de sources concernant la mise en valeur des terroirs n'est cependant pas total et il n'est pas propre à nos régions. Il faut donc travailler autrement comme cela a été fait pour des sites littoraux, revenir aux textes contemporains du travail des hommes qui informent clairement à la fin du XIIe siècle sur un processus de conquête et de mise en valeur agricole d'herbus (viridaria). Il ne faut pas hésiter à puiser dans les sources modernes écrites comme cartographiques dont nous verrons la grande richesse pour le sujet qui nous retient.

 

    Il nous faudra beaucoup de patience et d'imagination raisonnée pour appréhender les formidables mutations des espaces littoraux anthropisés qui sont intervenues en trois grands épisodes successifs depuis les XIe-XIIe siècles, où chacun modifie voire anéantit les agencements précédents. L'évaluation de la situation au Moyen Âge ne peut s'effectuer qu'en remontant le temps. La conjugaison des sources médiévales parcimonieuses avec les informations fournies par les sources modernes (cartes et plans, dossiers d'aménagements et dossiers judiciaires) et les données issues des recherches naturalistes en particulier sédimentologiques, permet d'évaluer jusqu'à un certain point les mutations du littoral à partir du XIIe siècle.


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21 mai 2009 4 21 /05 /mai /2009 09:05


Contribution à l'histoire de la Libération.



Le premier numéro  du bulletin trimestriel du Syndicat général des secrétaires de mairie-instituteurs de France et des Colonies paraît en octobre 1945. Il s'agit du N° 155 du bulletin intitulé "Le greffier municipal" ( 28e année).

Il fait suite au N° 154 du mois d'avril 1940.

En première page, une note de rédaction, du secrétaire général, C.-M. BECHU et du rédacteur du bulletin, R. GOSSE,  précise les conditions de reprise de l'activité. En outre, un article de René GOSSE (Seine-Inf.) donne une synthèse très éclairante sur "la vie des S.M.I. pendant l'occupation", mentionnant, notamment, "l'action résistante des S.M.I. lorsqu'il s'est agi de REQUISITIONS HUMAINES, de ce service obligatoire du travail".
Et de citer, en exemple, un S.M.I. d'une petite commune de la région du Havre ou celui de Jean ROCHARD, instituteur-secrétaire de mairie à Fontaine-Mallet (Seine-Inf.) (Décision n°49 du ministre de la Guerre en date du 4 janvier 1945).

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 10:40

La Société d’Archéologie et d’Histoire

de la Manche

Section de Valognes

vous invite le

Mercredi 08 avril 2009

Salle Paul Éluard

Hôtel-Dieu

Rue de l’hôtel-Dieu

Valognes

à 18 heures précises

à une conférence intitulée

Le Rôle réel de Valognes

dans le soulèvement de la Ligue en Cotentin

(1589-1597)

par monsieur Patrice MOUCHEL-VALLON

(professeur d’histoire au lycée Alain d’Alençon,

auteur de nombreux articles et de l’ouvrage Travail, familles et poterie en Nord-Cotentin)

Prochain rendez-vous : 27 mai 2009, hôtel-Dieu de Valognes, 18h00, conférence de M. Vincent HINCKER intitulée « Historiographie de l’archéologie normande : l’exemple de l’occupation médiévale de Vieux (Calvados) ».

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 06:33
JORF n°0077 du 1 avril 2009 page 5779
texte n° 46


LISTE
Liste des immeubles protégés au titre des monuments historiques en 2008

NOR: MCCL0906941K



Ain


Bouligneux. ― L'église Saint-Marcel en totalité dont son portail ouest, ses décors peints (du chœur, de la chapelle nord et à la croisée) ; dans la chapelle nord dite « des seigneurs de La Palud » : le calvaire gothique en pierre, la dalle funéraire de Pierre de La Palud et Anne de Montchenu, la plaque de fondation de la chapelle, les deux plaques de marbre noir gravées à la mémoire de François et Jean de La Palud, la chaire à prêcher, ainsi que la parcelle sur laquelle elle se trouve (cad. B 101, lieudit Le Village) : inscription par arrêté du 9 avril 2008.
Frans. ― L'église Saint-Etienne en totalité dont sa charpente, son portail gothique et la niche abritant la source située à l'entrée, le portail roman obturé de la façade sud, la peinture murale du transept, les deux armoires eucharistiques gothiques, la cuve baptismale romaine, ainsi que la parcelle sur laquelle elle se trouve (cad. AC 89, lieudit Le Bourg) : inscription par arrêté du 9 avril 2008.
Illiat. ― L'église Saint-Symphorien en totalité, dont en particulier ses peintures murales du xiie siècle, ainsi que la parcelle sur laquelle elle se trouve (cad. A 635, lieudit Le Bourg) : inscription par arrêté du 9 avril 2008.
Joyeux. ― Domaine de Joyeux : le château de Joyeux en totalité avec son hall d'entrée équipé de son escalier d'honneur et de sa cheminée en pierre avec son trumeau ornée d'une tapisserie, le salon vert orné de boiseries et sa cheminée en pierre à trumeau orné d'un miroir surmonté d'une toile peinte, le grand salon avec sa cheminée en pierre à trumeau orné d'une toile peinte, ses stucs, ses boiseries et ses quatre meubles d'angle assortis à celles-ci, la salle à manger avec sa cheminée en pierre à trumeau orné d'une toile peinte, son vaisselier en alcôve avec ses boiseries de décoration, l'escalier de service, les toilettes du rez-de-chaussée, les vasques de pierre ainsi que les installations sanitaires et électriques d'origine, à l'étage partie nord-est la chambre rouge ornée de ses toiles de Gênes, à l'étage sud-ouest la chambre ornée d'un papier peint panoramique, les communs du château façades et toitures, le jardin régulier avec ses éléments de décoration, le parc et les parcelles sur lesquelles ils se trouvent (cad. A 233, 229, 232, 88, 223, 228, 225, 80, 226, 192, 85, 86, 224 : château, communs, jardin d'agrément ; pour le parc paysager, le périmètre de protection adapté retenu par la CRPS) : inscription par arrêté du 27 mars 2008.
Plantay (Le). ― L'église Saint-Pierre en totalité, dont sa charpente, les peintures murales intérieures qui la recouvrent, le socle de la croix située à l'extérieur, ainsi que la parcelle sur laquelle elle se trouve (cad. A555) : inscription par arrêté du 9 avril 2008.
Pont-de-Veyle. ― L'église Notre-Dame, sise place de l'Eglise et rue Pierre-Goujon, en totalité, dont les peintures de sa coupole ainsi que la parcelle sur laquelle elle se trouve (cad. A 229) : inscription par arrêté du 9 avril 2008.
Pressiat. ― L'église Saint-Laurent en totalité, dont les peintures murales du chœur, de la chapelle seigneuriale nord, de la croisée (cad. AB 75) : inscription par arrêté du 9 avril 2008.
Villieu-Loyes-Mollon. ― Château de Loyes : pour leurs façades et toitures : le château, ses communs, la chapelle située à l'extérieur ; l'enceinte et le portail néo-gothique, le jardin régulier, le parc, la motte castrale, le pont belvédère, le potager avec sa clôture ; les parcelles du domaine (cad. B 468 à 470, 482, 483) : inscription par arrêté du 28 mars 2008.


Aisne


Arrancy. ― Château d'Arrancy : le château, façades et toitures, (excepté l'aile sud, en terrasse, ainsi que les remises en retour, l'ensemble de ces bâtiments étant d'époque moderne) et le parc et jardin, comprenant la cour d'honneur et son chemin d'accès, le potager clos de murs, l'ancien verger, tout le parc à l'ouest entouré de murs de clôture ou limité par le chemin vicinal et l'ancien lit de la rivière en bordure du bois, comprenant aussi la pièce d'eau (cad. C 223, 225, 226, 231 à 233, 235, 239 à 245, 426, 246, 247, 424, 484) : inscription par arrêté du 13 août 2008.
Bouconville-Vauclair. ― L'allée donnant accès à l'abbaye de Vauclair (cad. AO 15) : inscription par arrêté du 11 juillet 2008.
Guise. ― Le château fort de Guise en totalité, comprenant l'enceinte fortifiée et son glacis (bastions de la Charbonnière, du Moineau, de la Haute Ville et de l'Alouette, demi-lune de terre et de secours), les portes (porte de la Ville, porte des Carrosses et porte de Paris), le corps de garde, les premiers niveaux du Gouvernement, de la prison et de l'arsenal, ainsi que les soubassements de l'ancienne église collégiale Saint-Gervais et Saint-Protais, et l'ensemble des sous-sols et des sols archéologiques (cad. AV 19, 106 à 108, 110, 112, 114, 117, 130) : classement par arrêté du 31 juillet 2008.
Largny-sur-Automne. ― Le domaine des Charmettes, dit « propriété Castellant », à savoir : le parc, ses fabriques et la statuaire en totalité, et la maison d'habitation, façades et toitures (cad. A 196, 199, 200, 1193) : inscription par arrêté du 11 septembre 2008.
Puisieux-et-Clanlieu. ― Château : les façades et toitures (cad. C 474) : inscription par arrêté du 11 juillet 2008.
Saint-Thomas. ― Prieuré de Saint-Thomas : la maison du gardien à l'entrée, façades et toitures, les bâtiments en totalité situés de part et d'autre de la grange du xiiie siècle (ISMH en 1927), la remise en totalité, les murs de clôture, la grande cour et la petite cour, le verger et le potager, la source maçonnée située dans l'ancien jardin en contrebas de la grange, l'église en totalité, et le cimetière clos de murs (cad. A 538, 540 à 542, 546, 547) : inscription par arrêté du 25 janvier 2008.
Soissons. ― La Salle des Feuillants, rue des Feuillants, en totalité (cad. AK 44) : inscription par arrêté du 24 juillet 2008.
Villers-Cotterêts. ― La glacière située au nord de la rue du Général-Leclerc (cad. AL 88) : inscription par arrêté du 19 mars 2008, modifié par arrêté du 9 mai 2008.


Allier


Beaulon. ― La grange de Raclat, en totalité, y compris ses aménagements intérieurs (mangeoires, râteliers) (cad. BP 69, 195) : inscription par arrêté du 7 avril 2008.
Chapeau. ― Le château des Chevennes en totalité, y compris les douves, la porterie et les communs (cad. A 18 à 20) : inscription par arrêté du 14 novembre 2008.
Moulins. ― Hôtel Vic de Pontgibaud, 38, rue de Paris : l'hôtel en totalité, y compris ses décors intérieurs (escaliers avec leurs ferronneries, salons, chambres et bibliothèque avec leurs boiseries, stucs, cheminées et toiles peintes), son parc avec ses clôtures et son système hydraulique et ses communs sur rue et sur cour (cad. AK 96) : inscription par arrêté du 7 avril 2008.
Saligny-sur-Roudon. ― Château de Saligny : le château en totalité, y compris le pavillon d'entrée, le jardin avec sa clôture (murs, grilles, portails), sa statue d'Hercule, les pièces d'eau (douves, étang) avec leur système hydraulique, et les intérieurs avec leurs décors (parquets Versailles, peintures murales, portes à panneaux, lambris, toiles peintes, cheminées, plafonds à caissons, escalier avec atlante et cariatide, armoires sculptées) (cad. D 334, 347 à 350, 726, 831, 840) : inscription par arrêté du 7 avril 2008.


Hautes-Alpes


Freissinières. ― L'église paroissiale Sainte-Marie-Madeleine en totalité, y compris les décors peints (cad. F 2464) : inscription par arrêté du 10 janvier 2008.
Puy-Saint-Pierre. ― La chapelle Saint-Sixte de Puy-Richard en totalité, y compris les décors peints (cad. A 457) : inscription par arrêté du 10 janvier 2008.


Aveyron


Aubin. ― Les deux cheminées d'usine (cad. BN 274, 275) : inscription par arrêté du 16 décembre 2008.
Saint-Laurent-d'Olt. ― L'église Notre-Dame d'Estables en totalité, avec l'escalier d'accès, les murs entourant le cimetière et la calade (cad. AM 193, 194) : inscription par arrêté du 4 avril 2008.


Calvados


Auvillars. ― Manoir de la Bruyère : le jardin du manoir (cad. D. 450, lieudit La Bruyère) : inscription par arrêté du 16 juin 2008.
Bayeux. ― Le jardin public, y compris l'allée d'accès, ainsi que les murs et piliers d'entrée rue de Port-en-Bessin et les façades et toitures des deux pavillons de part et d'autre (cad. BI 52 ; non cadastré, domaine public : allée d'accès) : inscription par arrêté du 8 avril 2008.
Caen. ― Maison sise 10, rue Haldot : la façade sur rue avec l'aile en retour essentée et la toiture correspondante, y compris les lucarnes (cad. IA 156) : inscription par arrêté du 18 septembre 2008 et maison sise 1 bis, rue Pémagnie : la façade et la toiture sur rue, y compris le retour sur cour ; le décor de la pièce du deuxième étage (cad. KE 82) : inscription par arrêté du 18 septembre 2008.
Creully. ― Domaine de Manneville. Voir commune de Lantheuil.
Juvigny-sur-Seulles. ― Château : le parc du château avec l'ensemble de ses aménagements hydrauliques et l'obélisque, ainsi que l'allée d'accès (cad. A5, lieudit La Rabatterie, 6 et 9, lieudit Le Parc Gobert, 7, lieudit Le Pré de la Genie, 8, 10 et 11, lieudit Le Parterre, 12 et 17, lieudit Le Château, 13, lieudit La Cour d'Honneur, 14, lieudit l'Avancourt, 15, lieudit Le Bois de la Bergère, 16, lieudit L'Orangerie, 18, lieudit Les Quinconces, 57, lieudit L'Obélisque, 72, lieudit Chemin des Forges, 81 à 83, lieudit Le Pré de la Petite Ferme) : inscription par arrêté du 9 juin 2008.
Lantheuil. ― Domaine de Manneville (également sur communes de Creully et Saint-Gabriel-Brécy) : le domaine comprenant le château et la chapelle en totalité, la cour d'honneur, les douves, la terrasse nord avec la balustrade, les façades et les toitures de l'ensemble des bâtiments, y compris la ferme, l'assise foncière avec le parc, les jardins, le potager, les allées d'accès, la grille d'entrée et les murs de clôture (cad. Lantheuil AH 6 à 9, lieudit Le Jardin du Château, 10, 11, 43, lieudit le Perret, 62, 63, 68, lieudit Hameau de Manneville ; AI 1, 2, lieudit Les Belles Fontaines, 3 à 6, lieudit Les Garennes, 7, 8, lieudit Le Jardin, 9 à 11, lieudit Sur le Jardin, 12 à 18, lieudit Château de Manneville, 28, 29, 31, lieudit Le Bout du Bois ; Creully ZH 77 ; ZI 10 ; Saint-Gabriel-Brécy ZD 12) : classement par arrêté du 22 décembre 2008.
Pont-l'Evêque. ― L'église Saint-Michel, place de l'Eglise, en totalité, avec la sacristie (cad. AC 92) : classement par arrêté du 24 septembre 2008.
Saint-Gabriel-Brécy. ― Domaine de Manneville. Voir commune de Lantheuil.
Saint-Ouen-le-Pin. ― Ancienne abbaye du Val Richer : les façades et les toitures de la maison de gardien et de la maison de jardinier ; le laboratoire Schlumberger en totalité ; le potager (cad. B 17, lieudit Pré Bafil, 21 et 248, lieudit Le Val Richer) : inscription par arrêté du 16 juin 2008.
Versainville. ― Château de Versainville : le parc du château (cad. D 193, 196, 197, 199, 201 à 206, 452, 453, lieudit Le Château) : inscription par arrêté du 6 février 2008 ― Les façades et toitures du château, y compris l'aile de 1912 (cad. D 452, lieudit le Château) : classement par arrêté du 23 juin 2008.


Cantal


Murat. ― Château d'Anterroches : le château en totalité, y compris ses intérieurs avec leurs décors (cuisine, salles basses, salon, salle à manger, billard, escalier d'honneur, chambres) (cad. A 532) : inscription par arrêté du 7 avril 2008.
Nieudan. ― Le pigeonnier. Chapelle du Bruel en totalité, y compris son décor peint (cad. AO 33) : inscription par arrêté du 7 avril 2008.
Paulhenc. ― Le château d'Estresses en totalité, y compris sa grange, son jardin en terrasses et ses aménagements intérieurs avec leurs décors (cad. C 234 à 236) : inscription par arrêté du 14 novembre 2008.
Ternes (Les). ― Château des Ternes : le château en totalité, y compris ses décors intérieurs et ses jardins (cad. B 853) : inscription par arrêté du 7 avril 2008.


Charente


Cognac. ― Hôtel Verdelin, 35 à 39, rue de l'Isle-d'Or : la tour en totalité (cad. AW 945) : classement par arrêté du 31 juillet 2008.
Saint-Amant-de-Boixe. ― Ancienne abbaye de Saint-Amant-de-Boixe : le chai (cad. G 574), ainsi que le sol de cette parcelle ; les vestiges de l'ancienne porterie (cad. G 575 à 577) ainsi que le sol de ces parcelles ; le sol des parcelles suivantes pouvant contenir des vestiges archéologiques ou correspondant à d'anciens jardins : G 555 pour partie, 578 BND (biens non délimités lot n° 1), 580, ainsi qu'une partie de la parcelle G 1168 attenante aux bâtiments abbatiaux : inscription par arrêté du 27 février 2008. ― Le sol des parcelles pouvant contenir des vestiges archéologiques ou correspondant à d'anciens jardins, situés aux abords de l'abbaye (cad. G 536 à 539, 573, 578 BND lot n° 2, 579, 1037, 1038) : inscription par arrêté du 21 octobre 2008.


Charente-Maritime


Flotte (La). ― Fort de la Prée : le fort et ses ouvrages avancés, en totalité (cad. A 991 à 998 ; YH 81 à 84) : classement par arrêté du 21 mai 2008.
Frédière (La). ― L'église de la Frédière en totalité (cad. A 24) : inscription par arrêté du 26 novembre 2008. ― L'ancienne croix de carrefour (cad. non cadastré, domaine public, en bordure de la voie communale n° 3) : inscription par arrêté du 26 novembre 2008.
Plassac. ― Château de Plassac (également sur commune de Saint-Genis-de-Saintonge) : le château en totalité, ainsi que ses dépendances (communs, ancien châtelet d'entrée, ancienne grange, bâtiments de ferme, balustrade, murs, portes et grilles), le mur de clôture entourant le parc avec ses portes, grilles et tours d'angle, ainsi que les éléments lapidaires ou fabriques du parc (cad. Plassac A 466 à 471, 495, 1126 ; Saint-Genis-de-Saintonge B 703 à 705, 707, 974 à 976) : classement par arrêté du 9 juin 2008. ― La cour des communs et les parcelles de terres cultivées du parc se trouvant à l'intérieur du mur de clôture (cad. Plassac A 471 ; Saint-Genis-de-Saintonge B 703 à 705, 707, 874 à 876) : inscription par arrêté du 9 juin 2008.
Saint-Genis-de-Saintonge. ― Château de Plassac. Voir commune de Plassac.


Cher


Bourges. ― Château de Chappe : les façades et les toitures du château composé du corps de logis principal, du pavillon et de la grange qui lui sont accolés, des ailes de communs, des tours d'angle, du mur de clôture avec la porte d'entrée (cad. BX 325, lieudit Chemin des Vignes de Chappe) ; la cour (cad. BX 325, lieudit Chemin des Vignes de Chappe) ; la terrasse à l'arrière du château (cad. BX 85, lieudit Château de Chappe) ; la chapelle (cad. BX 85, lieudit Château de Chappe) ; l'abri du bélier hydraulique (cad. BX 83, lieudit Château de Chappe) ; le jardin situé à l'arrière du château (cad. BX 83, 85, lieudit Château de Chappe) ; les fossés (cad. BX 83, 87, lieudit Château de Chappe) (cad. BX 83, 85, 87, 325 à 327) : inscription par arrêté du 31 juillet 2008.
Montigny. ― L'église paroissiale Saint-Martial en totalité (cad. A 904, lieudit Le Bourg) : inscription par arrêté du 16 décembre 2008.
Neuvy-Deux-Clochers. ― Ensemble castral de Vèvre, situé au lieudit La Tour : les parties construites et non construites du site castral (cad. ZH 59 à 62, 100, 102, 105, lieudit Château de la Tour) : classement par arrêté du 10 octobre 2008.
Neuvy-sur-Barangeon. ― Château de Saint-Hubert, devenu petit séminaire Saint-Louis : le pavillon de la conciergerie ; l'allée d'arrivée ; le grand corps de logis ; les deux pavillons de communs ; la chapelle ; les cours ; la terrasse et son escalier ; les anciens jardins et une partie du parc, y compris le miroir d'eau et ses sculptures ; les murs et les grilles de clôture (cad. C 88, 91, 92, 104, 111, 112, lieudit Le Grand Chavanon) : inscription par arrêté du 31 juillet 2008.


Corrèze


Voutezac. ― La chapelle du Saillant en totalité (AS01 157) : classement par arrêté du 23 octobre 2008.


Corse-du-Sud


Bastelica. ― Le monument commémoratif de Sampiero Corso (cad. AB 139) : inscription par arrêté du 8 février 2008.
Osani. ― Le fortin de Girolata constitué par les parcelles AB 36 et AB 37, lieudit Girolata : inscription par arrêté du 11 avril 2008.


Haute-Corse


Ampriani. ― Couvent Saint-François de Zuani : les façades et toitures du couvent, à l'exception de l'extension récente le long de la façade est du cloître ; l'intérieur de la cellule présumée de Saint-Théophile de Corte (cad. A 301, 302) : inscription par arrêté du 28 février 2008.
Bastia. ― Le monument commémoratif de Napoléon Ier, place Saint-Nicolas, en totalité, y compris socle et emmarchement (cad. non cadastré, domaine public) : inscription par arrêté du 8 février 2008. ― Le centre paroissial Notre-Dame des Victoires, place Notre-Dame-des-Victoires, en totalité (cad. AZ 32) : inscription par arrêté du 8 février 2008.
Ersa. ― Le phare de la Giraglia, sur l'île de la Giraglia, en totalité, y compris la plate-forme extérieure, la citerne et l'ancienne casemate (cad. O 2) : inscription par arrêté du 11 février 2008. ― La tour de la Giraglia, sur l'île de la Giraglia, en totalité (cad. O 1) : inscription par arrêté du 11 février 2008.
Porta (La). ― La chapelle funéraire de la Maison Sebastiani-Conneau (cad. B 592) : inscription par arrêté du 8 février 2008.


Côte-d'Or


Courban. ― Ancienne commanderie d'Epailly : le corps de logis avec le cellier, les granges et le colombier, les vestiges du mur d'enceinte et de la tour, en totalité, le fossé, les sols (cad. AD 8) : inscription par arrêté du 24 juin 2008.
Marigny-le-Cahouet. ― Château : le portail, l'avenue, les douves et le pont-levis (cad. G 394 ; C 54) : inscription par arrêté du 12 juin 2008.
Nuits-Saint-Georges. ― Domaine du château d'Entre-Deux-Monts : le château et les ailes latérales, y compris les fossés, la ferme, le bois de jardin, le potager et son bassin, le verger, la statue de jardinier (cad. H 142 à 147) : inscription par arrêté du 12 juin 2008.
Saint-Jean-de-Losne. ― Hôtel de ville : les façades et toitures ; la cage d'escalier avec sa rampe ; la galerie du premier étage, y compris la plaque commémorative du siège de 1636 ; le décor du salon d'honneur ; la grille et les pavillons de jardin, en totalité (cad. AB 327) : inscription par arrêté du 9 mai 2008.


Côtes-d'Armor


Saint-Samson-sur-Rance. ― Manoir du Châtelier-Guitrel : le manoir, à savoir les façades et toitures du logis principal (à l'exclusion de l'adjonction abritant les cuisines), la chapelle en totalité, les terrasses et murs de soutènement, le pavillon du jardin, les vestiges du colombier, le puits, la motte, la cale à bateaux sur la rive de la Rance, le terrain d'assiette des parcelles correspondant aux anciens jardins et cours, l'ensemble des murs ceinturant la propriété avec leurs portails, l'allée cavalière sans le calvaire (cad. A 262 à 270, 755) : inscription par arrêté du 24 avril 2008.


Creuse


Villard. ― L'église de la Conversion de Saint-Paul, en totalité (cad. A 998) : inscription par arrêté du 21 janvier 2008.


Dordogne


Bergerac. ― La Maison Pic, en totalité (cad. EK 44) : inscription par arrêté du 27 mars 2008.
Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier. ― L'église Saint-Fiacre en totalité (cad. AS 55) : inscription par arrêté du 16 décembre 2008.
Chancelade. ― Ancienne abbaye de Chancelade : le logis de l'abbé (cad. AC 125) et le logis de Bourdeilles (cad. AC 122) : classement par arrêté du 7 mai 2008.
Chapelle-Gonaguet (La). ― Le domaine du prieuré de Merlande (cad. 169 à 171, 183, 184, 186, 190, 192, 381 à 384, 396, 398) : inscription par arrêté du 19 mars 2008.
Manzac-sur-Vern. ― Le château de Leyzarnie en totalité (cad. AL 33) : inscription par arrêté du 1er décembre 2008.
Mayac. ― L'église Saint-Saturnin en totalité (cad. C 7) : inscription par arrêté du 23 décembre 2008.
Montignac. ― Hôtel de Bouilhac : l'hôtel ainsi que sa cour et sa clôture (cad. AP 389) : inscription par arrêté du 19 août 2008.
Montpeyroux. ― Château de Matecoulon : les intérieurs du château, les dépendances entourant la cour nord ainsi que le sol, les murs et terrasse de la parcelle AK 38, en totalité (cad. AK 36 à 38) : inscription par arrêté du 26 novembre 2008.
Saint-Astier. ― Chartreuse de Fareyroux : l'ensemble des bâtiments, la cour et le jardin de la chartreuse (cad. AD 17 à 20) : inscription par arrêté du 16 décembre 2008.
Saint-Chamassy. ― Le dolmen de Cantegrel (cad. C 1003, 1004, lieudit Cantegrel) : inscription par arrêté du 1er décembre 2008.
Saint-Jean-de-Côle. ― Ancien prieuré : le moulin et son bief, la maison du meunier et les dépendances ouest (dont une grange) (cad. B 476 : moulin, 475 : bief, 477 : partie nord de la maison du meunier, 478 : partie sud de la maison du meunier, 476 et 493 : dépendances) : inscription par arrêté du 19 mars 2008.
Sarlat-la-Canéda. ― Hôtel de Gérard, 3, rue Fénelon : la « grande salle » située au premier étage de l'aile est (cad. BH 153) : classement par arrêté du 18 janvier 2008.
Thénac. ― Château de Puyguilhem : les façades et toitures du logis et de la dépendance nord, ainsi que les murs, fossés et sols (cad. 342 B 668) : inscription par arrêté du 1er février 2008.


Doubs


Besançon. ― Hôtel du Bouteiller, puis de Montureux, 2-4, rue des Granges et 14, rue Luc-Breton : l'hôtel en totalité (cad. AD 71, 155, 157) : inscription par arrêté du 28 mars 2008. ― Hôtel Alviset, 1, rue Péclet et formant l'angle avec la rue des Martelots : l'hôtel en totalité, y compris le jardin (cad. AL 69) : inscription par arrêté du 28 mars 2008.
Cour-Saint-Maurice. ― La chapelle du cimetière en totalité (cad. AC 8) : inscription par arrêté du 6 février 2008.
Ornans. ― L'atelier de Gustave Courbet sis 14, avenue De-Lattre-de-Tassigny, en totalité (cad. AT 28) : inscription par arrêté du 24 juillet 2008.


Drôme


Châtillon-en-Diois. ― Hôtel de ville, place du Reviron : les façades est et sud ainsi que la toiture (cad. AB 199, 200) : classement par arrêté du 13 février 2008.
Montélimar. ― L'extérieur et l'intérieur de la collégiale Sainte-Croix, 12, rue Sainte-Croix (cad. AV 81) : inscription par arrêté du 13 mai 2008.


Eure


Andé. ― Moulin d'Andé : le parc du moulin en totalité avec la clôture, l'ensemble des aménagements de jardins : rocailles, murs de soutènement, kiosques, belvédères, ponts, escaliers, serres, embarcadère... ; l'orangerie dans ses dispositions d'origine ; les plantations et les sols des parcelles A 67 à 69, 71 à 73, 76, 120, 121, 1333, 1351, 1569, 1612 à 1617, lieudit Côtes du Moulin et Clos des Pins : inscription par arrêté du 16 mai 2008.
Bec-Hellouin (Le). ― L'ancienne abbaye Notre-Dame-du-Bec en totalité, à savoir l'enclos monastique avec le sol des parcelles AC 1 à 4, 9, 10, 13 à 16, 18 à 30, 33, 36 à 44 et AB 33, 34, et les murs d'enceinte, les bâtiments monastiques ― y compris le bûcher ― en totalité et l'ensemble du réseau hydraulique, y compris les captages et le grand aqueduc (cad. AB 33, 34 ; AC 1 à 4, 9, 10, 13 à 16, 18 à 30, 33, 36 à 44 ; E 34, 53, 143) : classement par arrêté du 15 décembre 2008.
Bosguérard-de-Marcouville. ― Château de la Mésangère (également sur commune de Saint-Pierre-du-Bosguérard) : le château, le petit château, la charetterie, l'orangerie et le colombier ; le parc avec les statues, les murs, grilles et sauts de loup, avec les perspectives et la demi-lune au nord (cad. Bosguérard-de-Marcouville AC 23 à 26, 28 à 34, 36, 217 à 221, 224 à 227, 230, 268, lieudits La Mésangère et allée de La Mésangère ; Saint-Pierre-du-Bosguérard A 32 à 34, 36 à 38, 83 à 85 ; ZB 34, lieudit Bois de La Mésangère) : inscription par arrêté du 21 novembre 2008.
Gauciel. ― Manoir de Gauciel : l'enclos avec ses murs, la grange et le colombier en totalité, avec les sols des parcelles B1 et B2, lieudit Le Clos du Manoir, y compris la mare : inscription par arrêté du 11 avril 2008.
Saint-Grégoire-du-Vièvre. ― L'église Saint-Grégoire en totalité (cad. B 364) : inscription par arrêté du 16 juin 2008.
Saint-Pierre-du-Bosguérard. ― Château de La Mésangère : voir commune de Bosguérard-de-Marcouville.


Eure-et-Loir


Corvées-les-Yys (Les). ― L'église Saint-Georges en totalité (cad. AB 88) : inscription par arrêté du 8 juillet 2008. ― L'église Saint-Pierre en totalité (cad. AE 65, lieudit Les Yys) : inscription par arrêté du 8 juillet 2008.
Dreux. ― Ancien Hôtel Dieu de Dreux sis 15, Grande Rue Maurice-Viollette : le portail dont un des piliers contient le tour d'abandon des enfants (cad. AD 435) : inscription par arrêté du 5 décembre 2008.
Maillebois. ― La maison à pans de bois située 7, rue du Cheval-Blanc à Blévy, en totalité (cad. 043 D 153) : inscription par arrêté du 8 juillet 2008.
Mézières-en-Drouais. ― L'église Saint-Martin en totalité (cad. AE 230) : inscription par arrêté du 21 janvier 2008.


Finistère


Laz. ― Ancien pavillon de chasse de Moniven : les façades et toitures (cad. C 372, 868, 870) : inscription par arrêté du 27 mai 2008.
Tréogat. ― L'église Saint-Boscat en totalité, ainsi que l'enclos à savoir le sol et les murets de clôture (cad. ZC 65, 66) : inscription par arrêté du 6 février 2008.


Gard


Brignon. ― Enceinte urbaine : les façades et toitures de l'ancienne chapelle, la porte sud dite « tour de l'Horloge » et les deux tours rondes en totalité, ainsi que le mur de l'enceinte urbaine, y compris le mur nord du château et de la mairie (cad. D 153 : ancienne chapelle, 182 : porte sud dite « tour de l'Horloge », 183 : tour sud-ouest, 189 : tour ouest, 188, 617, 183, 184 : enceinte sud-ouest, 190, 158, 829, 826, 830 : enceinte nord-ouest, 155 : château, 181, 174 à 179, 181 : enceinte est et sud-est) : inscription par arrêté du 17 juin 2008.
Durfort-et-Saint-Martin-de-Sossenac. ― Ancien château de Durfort : la tour seigneuriale, ainsi que les façades et toitures de l'aile nord (cad. AV 129, 130) : inscription par arrêté du 1er septembre 2008.
Gajan. ― Le logis seigneurial en totalité (cad. B 1135) : inscription par arrêté du 30 avril 2008.
Générargues. ― Domaine de la Bambouseraie de Prafrance : les façades et toitures de la ferme de Prafrance et, en totalité, l'ensemble du domaine historique de la Bambouseraie avec son système hydraulique (moulin, canal, rigoles, machine des pompes), y compris le jardin de Mazel et les aires de production (cad. A 308, 310, 312, 313 ; C 67 à 69, 92 à 98, 435 à 440, 444, 447, 448, 450 à 463, 464 ― ferme de Prafrance ―, 465 à 467, 469 à 490, 492, 589, 590, 704, 744 à 747, 749, 750, 888, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 24 juillet 2008.
Grand-Combe (La). ― L'ensemble des installations minières du Puits Ricard, à savoir le puits de chevalement et ses annexes, la salle des machines avec celles-ci, le bâtiment des bains douches (dit aussi « salle des pendus » et actuellement musée du mineur) avec leurs aménagements spécifiques et l'atelier du siège d'exploitation (cad. AL 22, 34, 35, 52, 53) : inscription par arrêté du 14 mai 2008.
Laudun. ― Château de Lascours : le château en totalité avec les terrasses, les douves et le pont (cad. BN 15, 17 ; BO 31) : inscription par arrêté du 17 décembre 2008.
Saint-Dionisy. ― Les parcelles AC 10, 13, 19, 20, 26 et 34, partie de l'oppidum de Roque de Viou, en totalité : classement par arrêté du 26 février 2008.


Haute-Garonne


Bonrepos-Riquet. ― Château de Bonrepos : le château avec ses fossés et les deux ponts qui les enjambent, les deux cours antérieures ouest, la terrasse sud, les bâtiments des communs, l'orangerie, les jardins et le parc dans lequel sont conservés les aménagements hydrauliques conçus par Riquet (cad. A 166, 167, 172, 173, 188 à 190, 467 à 769) : classement par arrêté du 31 juillet 2008.
Seilh. ― Château de Rochemontès : le château et sa chapelle en totalité ; les façades et toitures des bâtiments entourant la cour des communs ; les murs de clôture et les différents portails d'accès au domaine ; les façades et toitures de l'ancienne métairie ; le pigeonnier de la métairie (cad. AA 11, 12, 25) : inscription par arrêté du 8 juillet 2008.
Toulouse. ― Centre hospitalier spécialisé Gérard Marchant, 134, route d'Espagne : façades et toitures de l'ensemble des bâtiments tels qu'ils apparaissent soulignés sur le plan annexé à l'arrêté, à l'exception des adjonctions récentes : façades et toitures des bâtiments administratifs bordant la cour d'honneur, façades et toitures du bâtiment en hémicycle situé à l'ouest de la chapelle, à l'exception des adjonctions récentes, façades et toitures des pavillons des malades bordant les deux allées situées au nord et au sud de la cour d'honneur, à l'exception des adjonctions récentes, avec leurs galeries de circulation bordant les allées centrales ainsi que les restes des galeries transversales situées côté nord, avec leurs restes de pavement en calade ; chapelle de l'hôpital en totalité ; cage d'escalier au nord-ouest du bâtiment administratif situé au nord de la cour d'honneur, avec sa rampe en ferronnerie ; sol et plantations de la cour d'honneur délimitée par le portique est, les deux bâtiments administratifs et la chapelle avec ses galeries d'accès (cad. 840 BM 1) : inscription par arrêté du 28 mai 2008.


Gers


Bazian. ― Le château en totalité, avec le mur d'enceinte, le puits et le pavillon sud (cad. B 270) : inscription par arrêté du 31 janvier 2008.
Beaumont. ― Le parc du château situé sur les parcelles A 263 et A 264 au sud du château, portant l'ancienne maison de jardinier et la citerne et sur la parcelle A 253 au nord avec ses murs de soutènement ouest et nord : inscription par arrêté du 10 juin 2008.
Pavie. ― Maison de Poliné : les façades et les toitures au droit du vestibule de la maison, avec son salon et ses papiers peints (cad. BI 1) : inscription par arrêté du 13 mai 2008.


Gironde


Bayon-sur-Gironde. ― Le château Falfas en totalité (cad. A 719) : inscription par arrêté du 3 janvier 2008.
Bazas. ― L'ancienne église Notre-Dame dou Mercadilh, place du Mercadilh, en totalité, à l'exception des parties classées (cad. AB 133, 135, 136, 569 à 571, 589, 590) : inscription par arrêté du 5 juin 2008.
Bordeaux. ― L'hôtel particulier Mel de Fontenay, 23, rue Monbazon, en totalité (cad. KE 61) : inscription par arrêté du 11 avril 2008. ― Les deux formes de radoub des bassins à flot du port de Bordeaux, quai du Maroc et rue des Etrangers, en totalité, avec leur machinerie, en totalité, y compris le bâtiment qui les abrite (cad. non cadastré, domaine public) : inscription par arrêté du 31 janvier 2008.
Brède (La). ― Les parties bâties et non bâties du domaine du château de La Brède (cad. A 47, 48, 177, 300 à 308, 310, 312, 313, 318, 320, 403, 404, 569 ; B 27, 88, 132, 133, 136 à 144, 164 à 172, 176 à 178, 180 à 182, 186 à 198, 428, 430 à 432, 435 à 437, 1326 à 1328, 1365, 1366) : classement par arrêté du 7 mai 2008.
Cérons. ― Le château de Cérons en totalité (cad. A 294 à 297) : inscription par arrêté du 19 août 2008.
Cussac-Fort-Médoc. ― Toutes les parties bâties et non bâties du fort Médoc, à l'exception des bâtiments de la chapelle et de la boulangerie (cad. ZP 13, 14 ; ZN 43 à 51, 68) : classement par arrêté du 20 juin 2008.
Lège-Cap-Ferret. ― La chapelle Sainte-Marie-du-Cap en totalité (cad. EK 4) : inscription par arrêté du 19 août 2008.
Preignac. ― Le château Les Rochers, avec ses jardins, en totalité (cad. A 66, 68, 69, 74, 75, 1096, 1449) : inscription par arrêté du 27 mars 2008.
Sadirac. ― Château de Tustal : le château avec ses deux petites ailes en retour d'équerre, ses intérieurs, les communs fermant les deux cours, les cours et le portail d'entrée, les jardins, la terrasse et le nymphée, le bois avec sa pièce d'eau, en totalité (cad. AR 246 à 252, 261) : inscription par arrêté du 16 décembre 2008.
Saint-Morillon. ― L'église Saint-Maurille en totalité (cad. B 1417) : inscription par arrêté du 16 décembre 2008.
Saint-Sulpice-de-Faleyrens. ― L'église en totalité (cad. AB 44) : inscription par arrêté du 19 août 2008.
Saint-Vivien-de-Médoc. ― L'église Saint-Vivien en totalité, à l'exception de l'abside classée (cad. F 525) : inscription par arrêté du 17 janvier 2008.
Talence. ― Pour être conservé et remis en état : le château Raba (cad. BL 160) : classement par décret du 21 mars 2008.
Tizac-de-Lapouyade. ― Maison noble de Taillefer : les façades et toitures du logis xvie siècle (cad. ZC 61) : inscription par arrêté du 1er février 2008.
Tourne (Le). ― Les Chantiers Tramasset du Tourne, en totalité (cad. AE 1) : inscription par arrêté du 8 avril 2008.


Hérault


Balaruc-les-Bains. ― Aqueduc antique de Balaruc : en totalité, les tronçons de l'aqueduc situés en souterrain sous les parcelles AE 2, 158, 175, 176, 439, 573 ; AD 32 à 34, 819, 820 ; BA8, 9, 11 à 15, 17, 21, 22, 29, 31 à 33 ; BC 23, 62 à 66, 68 à 71 ; BD 113, 167, 211, 212, 228 à 231, 245, 257, 259, 263, 273, 282, 295, 296, 307, 311, 312 (non cadastré, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 17 avril 2008.
Balaruc-le-Vieux. ― Aqueduc antique de Balaruc : en totalité, les tronçons identifiés de l'aqueduc situés en souterrain sous les parcelles AB 62 à 65, 68, 71 à 73 ; AC 156, 148 ; AM 8 à 10 (non cadastré, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 17 avril 2008.
Boisseron. ― Le pont situé sur la route départementale 601 au passage de la rivière la Bénovie (non cadastré, domaine public) : classement par arrêté du 10 octobre 2008.
Gignac. ― Mas de Rieussec ou de Granier : les façades et les toitures de la maison de maître, de l'orangerie, ainsi que, en totalité, les terrasses, le parc et le jardin avec l'allée de buis et les sources (cad. B 1169 à 1176) : inscription par arrêté du 10 juillet 2008.
Mauguio. ― Ancienne motte féodale et jardin de la Motte, rue Montesquieu et 34, rue Baudin : l'ensemble de l'ancienne motte féodale et des aménagements hydrauliques avec le réservoir et la chambre des vannes, ainsi que le jardin avec la tour belvédère, y compris l'ensemble des sols (cad. CA123, 124) : inscription par arrêté du 17 avril 2008.
Montpellier. ― Evêché, 22, rue Lallemant : les façades et les toitures sur rues et sur cour, la cour d'honneur avec son jardin et sa clôture, la chapelle, le grand escalier, les salons et la salle à manger du rez-de-chaussée, la bibliothèque et les galeries ― corridors qui les desservent (à l'exception de la maison accolée en retour rue Pradel) (cad. BY 123) : inscription par arrêté du 20 août 2008.
Poussan. ― Château de la Garenne : en totalité, les parcelles de terrain correspondant aux anciens jardins, y compris les aménagements souterrains et hydrauliques correspondants, notamment la galerie souterraine reliant les anciens jardins du sud et le terrain au nord du château situé route de Balaruc (cad. A 320, 1341 ; G 420), ainsi que, en totalité, les sols et aménagements souterrains des parcelles A 1618 à 1620 (à l'exclusion des parties déjà classées) : inscription par arrêté du 22 août 2008.
Sète. ― Anciens entrepôts Dubonnet, 51, quai des Moulins : l'ensemble des façades et toitures, des sols, y compris celui de la cour, et leur emprise, et, en totalité, le pavillon central avec ses cuves (cad. AE 47, 48, 54) : inscription par arrêté du 10 juillet 2008.


Indre


Anjouin. ― L'ancienne église paroissiale Saint-Martin (cad. AR 88, lieudit Le Bourg) : classement par arrêté du 10 octobre 2008.
Argenton-sur-Creuse. ― Ecole primaire supérieure, devenue le collège classique, moderne et technique et actuel lycée Rollinat : les façades et les toitures du bâtiment principal, de ses deux ailes perpendiculaires comportant chacune un grand pavillon, et des deux pavillons annexes ; les galeries longeant ces constructions, autour de la cour d'honneur ; les grilles et les murs de clôture sur l'ancienne avenue de l'Ecole-Primaire-Supérieure (actuelle rue du Lycée) (cad. BC 374) : inscription par arrêté du 18 décembre 2008.
Châtillon-sur-Indre. ― Ensemble castral : les sols de la motte du donjon dénommé « Tour de César » (cad. AM 56 ― 24, rue Isorée, 57 ― 26, rue Isorée ―, 256 ― rue Isorée ―, 322 ― rue Isorée) : inscription par arrêté du 11 septembre 2008.
Magny (Le). ― Tous les éléments bâtis et non bâtis du prieuré Saint-Michel (cad. AB 312, lieudit Le Bourg) : inscription par arrêté du 14 août 2008.


Indre-et-Loire


Loches. ― Maison, 40, rue Picois : les bâtiments nord et est bordant la cour intérieure de la maison, en totalité (cad. AW 443) : inscription par arrêté du 17 mars 2008.


Jura


Château-Chalon. ― La Maison de chanoinesse bénédictine du belvédère de la Rochette, sise 5056, rue de la Roche, en totalité (cad. AB 291) : inscription par arrêté du 28 mars 2008.
Choisey. ― Château de Parthey : l'ensemble du château et de son parc en totalité, à l'exclusion de la ferme et des bâtiments au sud du corps principal des communs (cad. ZP 44, 45) : inscription par arrêté du 7 novembre 2008.
Etoile (L'). ― Maison prieurale, 475, rue de l'Eglise : le papier peint panoramique (cad. AD. 21) : inscription par arrêté du 24 décembre 2008.
Grusse. ― Demeure Secrétan : les bâtiments et la tombe de la demeure, sise « En Rochelle » (cad. B 10, 13) : inscription par arrêté du 28 mars 2008.
Offlanges. ― La fontaine avec les vestiges des bassins et les aménagements hydrauliques (cad. ZE 35, 123) : inscription par arrêté du 27 mai 2008.
Salins-les-Bains. ― Anciennes salines royales : pour la grande saline : l'ensemble des bâtiments souterrains et de surface, y compris la tour de Flore, en totalité, avec leurs installations techniques, les vestiges des murs de clôture et la porte, les sols et sous-sols de l'emprise de la saline et les vestiges archéologiques qu'ils contiennent. Pour la petite saline : le puits à Muyre, situé sous l'établissement thermal (cad. AO 80 à 82, 84 à 89, 312, 313, 320) : inscription par arrêté du 17 avril 2008.
Villevieux. ― La Chevance du Perret, 127, rue Perret : le corps de logis en totalité ; les façades et toitures de la ferme ― communs ; le vivier ; les murs ; les portails (cad. AB 14) : inscription par arrêté du 24 décembre 2008.


Landes


Arx. ― La croix aux instruments de la Passion, en totalité, avec son socle et son emmarchement (non cadastré, domaine public, en bordure de la voie communale n° 3, près de l'église Saint-Martin) : inscription par arrêté du 10 janvier 2008.
Biarrotte. ― L'église Saint-Etienne, en totalité (cad. C 62) : inscription par arrêté du 10 janvier 2008.
Saint-Etienne-d'Orthe. ― L'église Saint-Etienne, en totalité (cad. ZC 83) : inscription par arrêté du 10 janvier 2008.
Siest. ― L'église Saint-Jean-Baptiste en totalité (cad. B 39) : inscription par arrêté du 15 janvier 2008.
Sorde-l'Abbaye. ― Ancienne abbaye Saint-Jean : l'ancien logis abbatial dit « maison des Abbés » et le bâtiment des dépendances, en face (cad. AB 144), ainsi que le sol de la cour intérieure correspondant à la parcelle AB 143 (y compris le petit terrain d'assiette d'un édicule qu'il englobe, rattaché à la parcelle AB 144) ; les anciens bâtiments conventuels avec l'emprise de l'ancien cloître, à savoir : le bâtiment situé sur la parcelle AB 284, ainsi que les constructions et les sols correspondant aux parcelles AB 139 et AB 281 ; le sol de la parcelle AB 282 et de la parcelle AB 283 : classement par arrêté du 31 janvier 2008.


Loir-et-Cher


Bonneveau. ― L'église Saint-Jean-Baptiste en totalité (cad. B 472) : inscription par arrêté du 25 janvier 2008.
Cheverny. ― Château de Cheverny : le parc avec ses murs de clôture, le canal, les jardins et la perspective nord-sud du château du xviie siècle, le pigeonnier, le chenil, les façades et toitures de l'orangerie, de la régie, de tous les bâtiments autour de la cour des communs, le portail d'entrée du xixe siècle, les sols des cours, des jardins et du parc (cad. AA1 à 26, 29 à 38 ; AB 1, 12, 13) : inscription par arrêté du 5 décembre 2008.
Moisy. ― L'église de la Madeleine en totalité, ainsi que la sacristie et le porche de l'ancien prieuré contigu (cad. B 953, 954) : inscription par arrêté du 21 janvier 2008.
Molineuf. ― L'église Saint-Secondin en totalité (cad. F 246) : inscription par arrêté du 8 juillet 2008.
Troo. ― L'enceinte du « château » en partie, ainsi que la grande enceinte, avec leurs fossés et leurs tours, y compris les sols et les vestiges de la résidence dite du « Louvre », des portes de ville Saint-Calais et Saint-Michel, la motte et une partie de sa basse-cour, le ravelin de terre appelé « la butte Marcadet » (cad. AL 139, 140, 142, 144 : motte féodale avec sa basse-cour ; AK 1 : « butte Marcadet » ; AL 37, 63 : porte Saint-Calais ; AL 618 : porte Saint-Michel ; AL 681 : tour de la porte Saint-Michel ; AL 132, 134 à 138 : sols et vestiges de la résidence dite du « Louvre » ; AL 57, 63, 66, 68, 73, 75 à 77, 128 à 132, 134 à 137, 162, 163, 167 à 169, 681, 682 : petite enceinte et ses fossés ; AL 66, 171, 201, 203, 204, 650, 684 : portions conservées de la grande enceinte) : classement par arrêté du 19 décembre 2008.


Loire


Saint-Etienne. ― L'église Saint-Jean-François-Régis en totalité, y compris la sacristie (cad. HI 348, 351) : inscription par arrêté du 14 mai 2008.


Loire-Atlantique


Cellier (Le). ― L'église paroissiale Saint-Martin (cad. E 1305, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 8 décembre 2008.
Loroux-Bottereau (Le). ― Manoir de la Dixmerie : les façades et toitures de l'ensemble des bâtiments, y compris l'orangerie et la tour de la chapelle ; les plates-formes de la cour et du jardin avec leurs douves ; leur mur de clôture et leurs grilles en fer forgé ; le pont et ses vases en terre cuite ; à l'intérieur du corps de logis : cage d'escalier, salon d'honneur et salle à manger avec la pièce contiguë (cad. AB 13, 18, 19, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 3 octobre 2008.
Malville. ― Château du Goust : le site du château, à savoir la totalité des vestiges du château ainsi que des sols d'assiette de ce dernier, y compris les fossés, l'emprise de la « basse-cour » et la contrescarpe (cad. ZT 37) : inscription par arrêté du 28 octobre 2008.
Nantes. ― Hôtel particulier, ancien hôtel Allard, 1, place Mellinet : le salon du rez-de-chaussée en totalité, avec son décor peint (cad. HV 217, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 9 octobre 2008.


Loiret


Olivet. ― L'église paroissiale Saint-Martin, place Hervé-Gentien, en totalité (cad. AL 29) : inscription par arrêté du 20 mars 2008.
Orléans. ― Ancienne abbaye Notre-Dame de Bonne-Nouvelle, actuellement préfecture de région : la cave médiévale voûtée située sous la cour de service ; l'escalier d'honneur orné d'une rampe de fer forgé avec sa cage (cad. BL 21) : classement par arrêté du 13 novembre 2008.


Lot


Felzins. ― La chapelle Sainte-Marie-Madeleine de Guirande (cad. A1 212) : inscription par arrêté du 20 août 2008.
Lacave. ― Les façades et toitures ; l'escalier droit ; les décors du grand salon et de la salle de billard au rez-de-chaussée (cad. E 6) : inscription par arrêté du 3 mai 1990, modifié par arrêté du 17 septembre 2008.


Lot-et-Garonne


Blanquefort-sur-Briolance. ― Château de Blanquefort : le logis, avec la cour intérieure sud qui lui est attenante, la porterie et la terrasse ouest (cad. F 67) ; la tour ronde (cad. F 70) ; la terrasse (cad. F 68, 69) ; la terrasse sud-est et ses murs de soutènement médiévaux et modernes (cad. F 33) ; le mur élevé contre le mur médiéval sud-ouest (cad. F 71) ; le rocher où est creusé l'ancien fossé d'accès (cad. F 87, 72) ; le mur médiéval sud-ouest partant de ce fossé vers l'ouest et constituant un mur mitoyen entre la parcelle F 74 au nord et les parcelles F 87 et F 73 au sud ; la rampe d'accès à la porterie (domaine public, non cadastré) : inscription par arrêté du 15 mai 2008.
Damazan. ― Château de Muges : le logis avec les communs en retour d'équerre et leur cour intérieure ; l'ancienne orangerie ; le parc paysager avec ses aménagements hydrauliques et les tombes familiales qu'il contient (cad. ZK 120p) ; le pigeonnier du commun oriental (cad. ZK 119) : inscription par arrêté du 8 décembre 2008.
Frégimont. ― Ancien château, actuellement mairie-école : en totalité le château divisé en trois parties : le corps central abritant actuellement la mairie (cad. A1468) ; l'aile orientale, consacrée à l'école communale (cad. A1487) : inscription par arrêté du 23 septembre 2008.
Labastide-Castel-Amouroux. ― Château de Lacaze : le corps de logis central et les deux pavillons (cad. A2 476) : inscription par arrêté du 27 mars 2008.
Monteton. ― Château de Monteton : le logis en totalité, la cour intérieure, les façades et toitures des communs, l'enceinte et son talus (enceinte contre laquelle sont adossés les communs), la rampe d'accès au corps central et le fossé sec qu'elle enjambe (cad. B 80 [logis, cour, rampe, communs], 74 [talus de l'enceinte], 79 [fossé sec], mur d'enceinte mitoyen entre B 74 et B 80) : inscription par arrêté du 8 février 2008.
Nérac. ― L'ancienne mairerie ou maison commune, ancien hôtel de ville, rue de l'Ecole, en totalité (cad. AC 988) : inscription par arrêté du 12 septembre 2008.
Prayssas. ― La maison du xvie - xviie siècle dite « Maison du Goulet » et ses communs, en totalité (cad. F 511) : inscription par arrêté du 15 février 2008.
Puymirol. ― Château de Pech Redon : le logis, les communs, la cour intérieure avec ses murs de clôture et portails, les puits, les sols et les terrasses (cad. A328) et la parcelle d'assiette du somme du « Pech » (cad. A665) : inscription par arrêté du 19 mars 2008.
Villeneuve-sur-Lot. ― Théâtre municipal Georges Leygues, 2, boulevard de la République : le théâtre en totalité, avec le parvis et ses bornes (cad. HM 323) : inscription par arrêté du 12 septembre 2008.


Lozère


Meyrueis. ― Le temple protestant en totalité, ainsi que le sol de l'ancien cimetière avec son mur de clôture (cad. I 95, 96, 667) : inscription par arrêté du 24 septembre 2008.


Maine-et-Loire


Angers. ― La chapelle de l'institution Mongazon, en totalité (cad. CR 485, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 18 septembre 2008.
Angrie. ― Château d'Angrie : l'assiette archéologique médiévale de l'ancien château, y compris ses douves en eau et les deux ponts les franchissant ; les façades et toitures du château proprement dit ; les pièces de réception du château avec leurs décors peints en trompe-l'œil (les vestibules nord et sud, le grand salon et la salle à manger) (cad. AB 29, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 22 janvier 2008.
Bouzillé. ― Château de la Bourgonnière : les façades et les toitures du château des années 1810, intégrant les vestiges du manoir du xvie siècle et de sa galerie ; les terrains d'assiette de ce château 1810 ainsi que de l'ancienne avant-cour médiévale et de la partie la plus significative de l'ancien réseau hydraulique (cad. B 1130 à 1132, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 28 octobre 2008.
Candé. ― Propriété du château de La Saulaie : le terrain d'assiette de l'ensemble de la propriété et de son parc, incluant les murs de clôture (cad. A 815 à 817, lieudit Moulin de La Saulaie ; C 298, lieudit Le Champ de la Prée Neuve, 299, 300, 303, 310, 311, 315, 317, 318, 390, 445, 451 à 454, lieudit La Saulaie, 301, 302, lieudit Le Bois Noir, 304, lieudit Les Allées, 308, lieudit La Grande Glacière, 309, lieudit La Glacière, 316, lieudit L'Arpouleau Moyen, 319, lieudit Le Grand Arpouleau, 333, 334, lieudit La Douère, 335 à 337, lieudit La Butte des Defais, 352 à 354, lieudit Le Pré Pourry, 355, 356, lieudit Les Prés Cochons, 357, lieudit Champ de la Thibaudais, 447, 449, lieudit Champ de l'Arpouleau, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 29 avril 2008.
Champtoceaux. ― L'assiette archéologique des anciens château et « ville close », y compris leurs douves et les bâtis antérieurs au xviiie siècle (cad. AB 42 : le château, 43 à 46, 52 à 54, 56, 58, 61 : les garennes sous rempart sud, 62 à 71, 73 : ruines du logis, 74 à 78, 82 : le prieuré, 134 à 136 : les écuries xixe siècle, 137 à 175, 186, 195 : château xviie - xixe siècle ; AD 25, 26, 455 à 463, 518 à 521, 526, 734, 735, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 17 juillet 2008.
Jarzé. ― Château : les façades et toitures du château, des communs, de la ménagerie et de la faisanderie, de la T (portail et tour), de la porte Malbrèche (portail), du pavillon d'entrée côté bourg, de la fuye ― chapelle ; pour les intérieurs du château : les sous-sols, le rez-de-chaussée et le premier étage en totalité ; l'ensemble du parc (dont les allées, l'étang avec sa digue, la double grille d'entrée côté village, les terrasses avec leurs jardins, les bassins, les escaliers, les murs de soutènement et murs d'enceinte de l'ensemble du domaine) (cad. AC 235 ; F 316 [parc : la grande pièce], 319 [parc : jardin de la ferme], 320 [parc : la ménagerie], 321 [parc : jardin de la ferme], 325 [parc : près porte du bourg], 326 [parc, dont terrains nord du château], 327 [parc : le verger], 328 [parc : perspective sud du château], 329 [parc : terrasses des jardins sud du château], 330 [parc : jardin et cour de communs sud du château], 335 [parc : grande allée du château à la porte Malbrèche], 336 [parc : la petite Glanderie], 337 [parc : pâtis de l'étang], 338 [parc : l'étang], 339-340 [parc : l'allée verte], 341 [parc : le Marquet], 342 [parc : le Dery], 343-344-346, 759 à 761 [parc : les Etoles], 347-348 [parc : les Vignes], 349-350-352 [parc : la Glanderie], 354 à 357, 797 [parc : porte Malbrèche], 359 [parc : la Pièce Noire], 361 [parc : la Perrière], 363-804-806 à 808 [parc : la pâture forte], 752-754-756 [parc : la grande pièce], 754 [parc : chemin d'accès à la ménagerie, la grande pièce], 757-758 [parc : champ de la Grille], 762 à 764 [parc : la Ménagerie], 798 à 800 [parc, près porte Malbrèche, les Ouches], 803 [parc près Tourette, la Pâture forte], 805 [parc : grande allée depuis la porte de la Tourette et la Tourette proprement dite, la pâture forte], 809 [parc : allée secondaire, la Pâture forte], 810-811 [parc : la Tourette], 885-886 [parc : la grande Pièce], 902 à 905 [le château], 970-971 [parc : porte du bourg ou de la grille], 974 à 977 [parc, près ménagerie], cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 14 avril 2008.
Montjean-sur-Loire. ― La chapelle de Chateaupanne en totalité (cad. AR 218, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 14 avril 2008.
Rochefort-sur-Loire. ― L'église Sainte-Croix en totalité (cad. C 527) : inscription par arrêté du 4 février 2008.
Vernantes. ― Ancien collège du Loroux : la chapelle des Hôtes en totalité (cad. ZM 27, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 5 décembre 2008.


Manche


Cherbourg-Octeville. ― La statue de Napoléon Ier, à Octeville, avec son socle (cad. non cadastré, domaine public) : classement par arrêté du 24 juillet 2008.
Flottemanville. ― Manoir de la Cour : les façades et les toitures du logis ainsi que le grand salon et la chapelle ; les façades et les toitures des communs ; l'assiette de l'ancien jardin avec le réseau hydraulique et les deux allées d'accès (cad. ZC 58, 60, 62, 63, lieudit Le Château) : inscription par arrêté du 22 décembre 2008.
Granville. ― La forme de radoub du port de Granville, en totalité, avec ses portes en fer (cad. non cadastré, domaine public) : inscription par arrêté du 28 mars 2008.
Montcuit. ― Jardin de la maison de Montcuit : l'assiette du jardin avec l'ensemble de ses aménagements, y compris le réseau hydraulique et les douves ; le potager et le verger, ainsi que l'orangerie en totalité ; les deux allées d'accès à l'est et à l'ouest (cad. C 43-45, lieudit Tenant au Potager, 44-47-49, lieudit Le Bois, 46-67, lieudit L'Herbage, 55, lieudit Les Petits Bissons, 65, lieudit Maison de Montcuit, 68, lieudit La Couture) : inscription par arrêté du 28 mars 2008
Saint-Lô. ― Hôpital Mémorial France - Etats-Unis, 715, rue Dunant : les façades et les toitures de l'hôpital d'origine, à l'exclusion des extensions postérieures, le hall d'entrée, les deux couloirs de circulation avec les patios intérieurs, la salle d'opération du premier étage (maternité) ; la mosaïque de Fernand Léger ; les façades et les toitures du pavillon d'entrée (cad. CD 3) : classement par arrêté du 24 septembre 2008.
Saint-Vaast-la-Hougue. ― Ile de Tatihou : le fort bastionné en totalité, avec ses douves et l'ensemble de ses ouvrages défensifs, y compris les adjonctions du mur de l'Atlantique, ainsi que le sol de la parcelle A 407. Les façades et les toitures de l'ancienne chapelle. Les façades et les toitures du casernement de 1818. L'ensemble des vestiges du mur de défense littoral et de l'enceinte gazonnée, avec ses redoutes et ses bastions. Les façades et les toitures de la maison dite « du douanier » ainsi que le puits attenant. Le lazaret-muséum ou « intra-muros » » : les deux enceintes et leurs portes ; les cours, leurs murs et leurs sols (parcelles A 414 et 415) ; les façades et les toitures de l'hôpital ― laboratoire et du château d'eau de mer ; les façades et les toitures de l'ensemble des autres bâtiments, à l'exclusion de ceux postérieurs à 1925. Le fort de l'îlet en totalité (cad. A 404, 405, 407, 409 à 416, 418 à 422, lieudit Tatihou, 710, lieudit La Hougue) : classement par arrêté du 10 avril 2008.
Vast (Le). ― Le parc du château de la Germonière, avec l'ensemble de ses aménagements hydrauliques, l'île et la grande allée (cad. AB 100 à 102, lieudit La Filestière, 104, lieudit Le Château ; C 562, 566, lieudit Avenue au Couchant du Pont, 572, lieudit L'Isle entre les Deux, 577, lieudit La Terrasse) : inscription par arrêté du 28 mars 2008.


Mayenne


Champéon. ― Château du Fresne : les deux pièces à décor du rez-de-chaussée ; le pigeonnier (cad. ZT 42, 45, cf. plan annexé à l'arrêté) : classement par arrêté du 8 septembre 2008.
Laval. ― Hôtel d'Argentré, 62, rue du Lycée : le logis proprement dit, en totalité ; la cour, avec son pavement ; le mur de clôture avec ses grilles ; le terrain d'assiette de la portion subsistant des anciens jardins ; les façades et toitures de l'aile de communs nord-est ; les façades et toitures d'une partie de l'aile de communs sud-ouest (cad. CH 343, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 1er juillet 2008.


Meurthe-et-Moselle


Nancy. ― Hôtel de Ferraris, 29, rue du Haut-Bourgeois : l'hôtel en totalité (cad. AL. 203) : classement par arrêté du 23 avril 2008, modifié par arrêté du 10 juillet 2008.


Meuse


Commercy. ― Ancien prieuré du Breuil,12, rue de Breuil : la terrasse avec sa balustrade, son mur de soutènement avec ses arcades, le pont-escalier sur le Breuil, les viviers (cad. AH 412) et le sol de la parcelle AH 413 : classement par arrêté du 18 juin 2008.


Morbihan


Belz. ― Pour être conservé : l'ensemble mégalithique de Kerdruellan avec le terrain sur lequel il est situé, constitué des parcelles AH 153, 155, 547, 638, 639, 641 : classement par décret du 19 mars 2008.
Etel. ― La station de sauvetage en mer de la commune d'Etel, sise dans l'extrémité sud du quai sur la rivière d'Etel, à savoir l'abri du canot et le système de mise à l'eau (cad. AK 298) : inscription par arrêté du 8 août 2008.
Séglien. ― La chapelle Saint-Germain en totalité, ainsi que le sol de l'enclos et ses murets de clôture, incluant l'ancien four à pain (cad. YM 78) : inscription par arrêté du 12 février 2008.


Moselle


Hayange. ― L'église Saint-Martin, rue du Maréchal-Joffre, en totalité (cad. 1 28) : inscription par arrêté du 12 mars 2008.
Nilvange. ― Le temple protestant, rue du Maréchal-Joffre, en totalité (cad. 9 322) : inscription par arrêté du 12 mars 2008.


Nièvre


Coulanges-lès-Nevers. ― Anciennes forges de Forgeneuve : les façades et toitures (structures porteuses) de la maison de maître et le parc de Forgeneuve (cad. ZB 10, 12, 13, 38, 39, 51) : inscription par arrêté du 16 mai 2008.
Gimouille. ― Château de Fertot : le parc du château, y compris la maison des cygnes qu'il contient (cad. B 144 à 147, 689, 692) : inscription par arrêté du 18 juillet 2008.
Suilly-la-Tour. ― Anciennes forges de Chailloy : la maison de maître ; le bâtiment des anciennes forges ; le bief (cad. F 788 à 792, 1225 à 1227) : inscription par arrêté du 5 août 2008.
Urzy. ― Château de Luanges : le château en totalité ; les façades et toitures (structures porteuses) des communs et de la maison du jardinier ; les murs de clôture ; la serre ; le parc (cad. AT 81 à 85, 92, 93, 96, 97, 99 à 118, 122, 158, 161) : inscription par arrêté du 27 juin 2008.


Nord


Cysoing. ― Château dit « de l'Abbaye » et parc de l'ancienne abbaye de Cysoing, sis 138, rue Aristide-Briand : les façades et toitures du château dit de l'abbaye et une partie du parc de l'ancienne abbaye avec ses murs d'enceinte (cad. B 1430, 1610, 1960 à 1963, 2206, 2208, 2210, 2211, 2213) : inscription par arrêté du 9 octobre 2008.
Lille. ― La maison sise 16, rue Basse, en totalité (cad. KZ 93) : inscription par arrêté du 17 septembre 2008.
Sailly-lez-Lannoy. ― Ferme de Meurchin, rue de Lannoy : en totalité, la motte castrale, la ferme avec ses bâtiments, la cour et les parcelles d'assise (cad. A 639 à 641, 647, 648, 946, 947, 1972, 1973) : inscription par arrêté du 14 avril 2008.


Oise


Cires-lès-Mello. ― Pavillon du Tillet : les façades et toitures du pavillon (pavillon de gardien et vestige de l'exposition universelle de 1900) (cad. AI 21) : inscription par arrêté du 19 septembre 2008.
Verberie. ― La chapelle Notre-Dame des Monts en totalité (cad. AD. 22) : inscription par arrêté du 2 avril 2008.
Verderonne. ― Ferme du Boulanc dite « Manoir du Boulanc » : la ferme en totalité, composée de l'habitation, de tous les communs, de la cour, de tous les murs de clôture et de leurs portes, des anciens potager, verger et jardin (cad. C 507, 740, 742, 743) : inscription par arrêté du 7 mars 2008. ― Château de Verderonne : en totalité, les éléments non encore protégés des communs du château, à savoir les berges de l'ancien bassin du château, côté communs, l'accès pavé des communs, son mur demi-circulaire percé de deux portes charretières et une piétonne, la cour des communs, ainsi que le jardin et sa serre du xixe siècle (cad. B 16, 118, 133, 134, 136 à 139, 149, 150, 152, 153) : inscription par arrêté du 7 mars 2008.


Orne


Alençon. ― Hôtel « du Grand Cerf », 19, rue Saint-Blaise et 1, rue des Marcheries : les façades et les toitures de l'hôtel, ainsi que les deux lampadaires situés devant l'entrée rue Saint-Blaise, à l'exclusion de l'aile en prolongement rue des Marcheries (cad. AI 566 ; non cadastré, domaine public : lampadaires) : inscription par arrêté du 18 décembre 2008.
Boitron. ― Domaine de Beaufossé. Voir commune d'Essay.
Essay. ― Domaine de Beaufossé (également sur commune de Boitron) : le château en totalité, y compris le bâtiment de la salle à manger et l'aile néo-normande ; les façades et les toitures de l'ensemble des bâtiments de la ferme ; l'ensemble du parc (petit parc et grand parc) avec ses éléments constitutifs, y compris les deux groupes sculptés du petit parc (cad. Essay B 37, lieudit Le Pré des Sapins, 41, lieudit La Grande Pièce, 42, lieudit Château de Beaufossé, 43, lieudit La Filasse, 44, lieudit L'Avant-Cour, 47 et 151, lieudit Beaufossé, 48, lieudit Pré du Pont d'Avet, 49 et 50, lieudit Les Bissons, 53 et 55, lieudit Les Petits Bissons, 56, lieudit Le Champ du Pont d'Avet, 57 et 58, lieudit Le Pont d'Avet, 59, lieudit La Grande Pièce ; Boitron C 614, lieudit Beaufossé) : inscription par arrêté du 8 avril 2008.


Pas-de-Calais


Quiéry-la-Motte. ― La nécropole mérovingienne en totalité (cad. AB 97, 98, 103, lieudit Le Chemin de Beaumont, 121, lieudit Au Chemin des Balloteaux) : inscription par arrêté du 25 janvier 2008.


Puy-de-Dôme


Broc (Le). ― La commanderie de Chauliac, en totalité, y compris les décors intérieurs du logis et les peintures murales de la chapelle (cad. ZH 7) : inscription par arrêté du 7 avril 2008.
Châtelguyon. ― Villa « Le Paradou », 20, avenue de Belgique : la villa en totalité, y compris les intérieurs avec leurs décors de stucs, boiseries, vitraux (hall, escalier, salle à manger, chambres bleue, Louis XVI, Directoire, Empire, salle de bains) (cad. AO 364, 1011) : inscription par arrêté du 7 avril 2008.
Malauzat. ― Château de Saint-Genès-l'Enfant : le château en totalité, y compris ses intérieurs (chapelle, salle à manger, boudoirs, grand salon, chambres) avec leurs décors (stucs, boiseries, cheminées, dallages, alcôves, papiers peints du xviiie siècle), ses communs, ses jardins avec leurs clôtures, leurs éléments sculptés (statues de Cérès, Andromède, louve romaine), leurs terrasses, bassins, système hydraulique, ainsi que l'enclos des sources captées de Riom dit « chapelle des eaux » (cad. AO 1 à 23) : inscription par arrêté du 7 avril 2008.


Pyrénées-Atlantiques


Bayonne. ― L'église Saint-Esprit en totalité, située rue Hugues (cad. BI 200, 203) : inscription par arrêté du 17 décembre 2008.
Béost. ― L'église Saint-Jacques le Majeur, en totalité (cad. AC 71) : inscription par arrêté du 1er décembre 2008.
Espès-Undurein. ― L'église Saint-Martin-d'Espès, en totalité (cad. ZD. 176) : inscription par arrêté du 26 novembre 2008.
Labastide-Villefranche. ― Pour être conservé et remis en état : le domaine du Château Bijou composé des parties bâties et non bâties suivantes : le château (cad. B 352) ; la chapelle (cad. B 354) ; le cloître (cad. B 355) ; le parc et les jardins (cad. B 271, 272) ; le lac (cad. B 73) ; l'embarcadère (cad. B 353) ; la réserve d'eau douce (cad. D 515) : classement par décret du 21 avril 2008.
Saint-Jean-le-Vieux. ― L'église de la Magdeleine en totalité (cad. B 261) : inscription par arrêté du 19 mars 2008.
Ustaritz. ― Maison Mokopeïta, place de la Croix-du-Bourg : la maison (cad. AN 41) avec son jardin en terrasse (cad. AN 42), en totalité : inscription par arrêté du 31 décembre 2008.


Hautes-Pyrénées


Argelès-Gazost. ― Lycée climatique : les façades et toitures de l'ensemble des bâtiments du lycée climatique avec leurs éléments de décor : mosaïques de Singier de part et d'autre du passage d'entrée du lycée et sur le mur du fond derrière le portique situé à l'est des bâtiments, ce portique, les sculptures en creux de Hajdu sur les piliers du mur sud du gymnase, la salle dite du foyer des filles ou foyer bleu avec sa toile marouflée de Manessier et le meuble-casier de Charlotte Perriand, ainsi que la totalité de l'emprise du terrain sur lequel est bâti le lycée, avec notamment les classes de plein air en cercles de pierre et le parc paysager (cad. AI 5) : inscription par arrêté du 14 août 2008.
Saint-Pé-de-Bigorre. ― Ancien petit séminaire : la chapelle en totalité, y compris le porche d'entrée donnant sur la cour et l'oratoire de la Vierge situé au sud de ce porche et les éléments de sculpture romane remployés dans la chapelle et dans le porche (cad. AB 33) : inscription par arrêté du 14 août 2008.
Tarbes. ― Préfecture des Hautes-Pyrénées, place du Général-Charles-de-Gaulle : le salon dit « Chambre de l'Evêque » situé à l'angle sud-ouest, au premier étage au-dessus de l'entresol de l'aile ouest, y compris son décor de peintures, de boiseries et de gypseries du xviiie siècle (cad. BH 273) : inscription par arrêté du 14 août 2008. Maison dite « de la Semi », 29, rue Georges-Clemenceau : les peintures murales situées dans les combles de la maison, ainsi que leur support et la toiture de l'édifice les abritant (cad. AW 55) : inscription par arrêté du 14 août 2008.


Pyrénées-Orientales


Campôme. ― Le rocher gravé de Fornols (cad. B 20, lieudit Fornols Haut) : classement par arrêté du 26 février 2008.
Collioure. ― Ancienne église et ancien couvent des Dominicains : l'ancienne église des Dominicains en totalité située dans le village, faubourg du Pont d'Avall (cad. AP 62), ainsi que les vestiges du couvent des Dominicains, à savoir : les vestiges du cloître remontés dans le jardin du musée Peské (cad. AP 65), les parcelles AP 58 et AP 60 correspondant à la galerie démontée en 1928 avec le pilier d'angle du cloître, la parcelle AP 64 contenant des traces du chevet détruit, des éléments en remploi et un bâtiment correspondant à l'angle du cloître, la parcelle AP 53 contenant l'ancien mur de clôture du couvent et un angle du cloître avec son arc en brique, le puits non cadastré situé rue du Puits-Saint-Dominique : inscription par arrêté du 24 juillet 2008.
Llagonne (La). ― L'ensemble formé par les vestiges du castrum avec l'église paroissiale Saint-Vincent, en totalité, la tour du Capil, l'enceinte fortifiée et l'ancien cimetière, avec le sol des parcelles concernées (cad. A599 à 601, 607, 918) : inscription par arrêté du 9 janvier 2008.
Mont-Louis. ― Le four solaire de Mont-Louis, à savoir l'héliostat, le concentrateur et le four lui-même, situé sur les remparts de la cité (cad. AC 41) : inscription par arrêté du 14 mai 2008.


Bas-Rhin


Lampertsloch. ― La ferme-château Le Bel, 1-2, rue du Château-Le-Bel, en totalité, composée du château Le Bel, du bâtiment contigu au château Le Bel, du bâtiment à pan de bois dit « bâtiment du laboratoire », de l'ensemble des bâtiments agricoles composé des granges et du bâtiment d'habitation situé dans le prolongement du portail et des éléments historiques de clôture, de la cour et de son pavement, du parc et de ses éléments architecturés, des sols (cad. 16 75, 126) : inscription par arrêté du 30 janvier 2008.
Niedernai. ― Château de Landsberg, 38, rue du Château : le château sur l'assiette historique de son terrain en totalité, dont les éléments suivants : le donjon avec les tours Landsberg et de la Glacière, son rempart, y compris les substructions et les murs arasés ainsi que tous les éléments lapidaires remployés y compris la colonne torse armoriée et la vasque conchoïdale entre donjon et grand logis seigneurial ; le tertre situé dans le parc au nord-est du donjon ; le grand logis y compris ses parties intérieures ; l'ancien logis seigneurial dont la tour des Cigognes avec son escalier et son avant-corps et le bâtiment à pignons à redents adossé y compris la porte métallique Renaissance du premier niveau de la tour et tous les éléments lapidaires remployés ; la fontaine circulaire et le puits situés dans la cour ; les bâtiment des communs ; la chapelle funéraire à l'extrémité nord-est du domaine en totalité ; la clôture du domaine et son portail néo-gothique y compris le ponceau et les fragments de rempart subsistant sur le périmètre du domaine (cad. 01 84, 85, 87 à 92, 150, 94, 93, 186 188, 190, 192, 194, 196, 158) : inscription par arrêté du 30 janvier 2008.
Schiltigheim. ― Ancienne grande brasserie de la Patrie Schutzenberger, 8, rue de la Patrie : les bâtiments de la salle de brassage (F) et la seconde maison de maître en totalité (K) ainsi que les façades et toitures de la chaufferie (A), de la salle des machines (B), de la malterie (C), de la cheminée (D), de la première maison de maître (E), de l'atelier de soutirage (G), de la canetterie (H), des vestiaires (I), des bureaux (J), de l'édicule avec horloge situé dans la cour (L), de la maison du chef brasseur (M), de l'atelier de fabrication de limonade (O), tels qu'ils figurent sur le plan annexé à l'arrêté (cad. 15 35) : inscription par arrêté du 30 janvier 2008.
Strasbourg. ― Immeuble dit « ancienne Pfälzerhaus », 6, rue Pierre-Bucher : l'immeuble en totalité, y compris ses éléments de menuiserie et de ferronnerie, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, ainsi que les clôtures extérieures et le mur de soutènement sur le quai (cad. 26 29) : inscription par arrêté du 21 février 2008. ― Villa dite « Stempel », 4, rue Erckmann-Chatrian : la villa en totalité : façades, toitures et parties intérieures ; vitraux et verres colorés ; décors peints du salon néo-baroque et du hall orientalisant ; ferronneries ; boiseries et huisseries ; cheminées ; escaliers ; carrelages et parquets ; grilles de clôture ainsi que tout autre élément constitutif de la villa (cad. 96 27) : inscription par arrêté du 9 avril 2008.
Wissembourg. ― Maison dite « Stern », 28, rue de l'Etoile : la maison en totalité comprenant les deux corps de bâtiment avec toutes leurs dispositions intérieures et extérieures, leurs éléments de décor, la charpente ainsi que l'escalier à balustres et la cour pavée (cad. 29 51) : inscription par arrêté du 8 février 2008.


Haut-Rhin


Mulhouse. ― La statue monumentale dite « Schweissdissi », rue du Tivoli, y compris son piédestal composé de rochers (cad. MZ 46) : inscription par arrêté du 4 mars 2008. ― Bains municipaux, 7, rue Pierre-et-Marie-Curie : l'établissement des bains en totalité, y compris les éléments immeubles par destination, les boiseries, ferronneries, vitraux, luminaires, les sols, les dispositifs techniques et tout autre élément de second œuvre, ainsi que la chaudière à vapeur et le bâtiment annexe qui l'abrite avec sa cheminée (cad. KO 14) : inscription par arrêté du 21 février 2008.


Rhône


Sainte-Colombe. ― Le mausolée paléochrétien sis 39, rue Cochard, en totalité (cad. AB 242) : classement par arrêté du 10 juillet 2008.
Saint-Genis-Laval. ― Observatoire, 9, avenue Charles-André : la lunette équatoriale coudée et le bâtiment qui l'abrite (pavillon avec la salle d'observation et l'abri roulant) (cad. CC 5) : classement par arrêté du 21 avril 2008.
Tassin-la-Demi-Lune. ― Maison, 62, rue du Professeur-Deperet : le salon avec son décor, occupant le centre du rez-de-chaussée (cad. AH 174) : classement par arrêté du 7 mai 2008.


Haute-Saône


Fondremand. ― Le presbytère en totalité (cad. C 24, 25) : inscription par arrêté du 6 février 2008.
Jussey. ― La tombe de la famille Gérard, située dans le cimetière, carré 2, n° 3 (cad. AK 316) : inscription par arrêté du 28 mars 2008.
Marast. ― Le prieuré en totalité, y compris l'ancienne cour du cloître et la fontaine adjacente (cad. B 159, 160, 193 ; domaine public, non cadastré, à proximité des parcelles B 11 et 194 : fontaine) : inscription par arrêté du 28 mars 2008.
Mollans. ― Le lavoir Buriot en totalité (cad. AC 88, domaine public) : inscription par arrêté du 6 février 2008. ― Le lavoir du centre en totalité (cad. AC 48, domaine public) : inscription par arrêté du 6 février 2008. ― La grande fontaine en totalité (cad. AB 80) : inscription par arrêté du 6 février 2008.
Ray-sur-Saône. ― Château : l'ensemble des bâtiments du château (logis, tours médiévales, porte et ferme) ainsi que le parc, en totalité (cad. B 310 à 318, 320 à 322, 451, 452, 493 à 495, 573 à 575) : inscription par arrêté du 28 mars 2008.
Ronchamp. ― L'école en bois en totalité (cad. AL 258) : classement par arrêté du 10 octobre 2008.
Rosey. ― Ancien prieuré : la chapelle et le corps du logis, en totalité, situés 7, rue de Mailley (cad. B 175) : inscription par arrêté du 17 avril 2008.
Vesoul. ― Maison, dite « Hôtel Thomassin », 5-7, rue Roger-Salengro : logis, façades, toiture, soubassement et tour d'escalier en totalité ; décors du salon et de la salle à manger avec panneaux de toiles peintes, au rez-de-chaussée ; grille d'entrée et murs concaves en pierre de taille qui la soutiennent (cad. B 718, 802, 886) : inscription par arrêté du 24 décembre 2008.


Saône-et-Loire


Allerey-sur-Saône. ― Château d'Allerey : les façades et toitures (structures porteuses) du château et des communs ; la terrasse, le portail et l'allée menant au château (cad. AM 38) : inscription par arrêté du 27 octobre 2008.
Bonnay. ― Château de Besanceuil : le château en totalité comprenant : le château, les communs, le pigeonnier, ainsi que le sol des cours (cad. OE02 429, 426) : inscription par arrêté du 27 octobre 2008.
Ciry-le-Noble. ― Briqueterie des Touillards-Vairet-Baudot : en totalité, les bâtiments de la briqueterie, soit : le pont métallique, les halles de stockage, le plan incliné, les ateliers de fabrication, les séchoirs, les fours, les voies d'expédition (cad. AP 17, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 12 septembre 2008.


Sarthe


Mans (Le). ― Autogare de la STAO (Société des transports automobiles de l'Ouest) : la façade sur l'avenue du Général-Leclerc et la toiture correspondante ; les deux couloirs d'arrivée et de départ des autocars avec leur structure de béton à pavés de verre ; la rotonde proprement dite et la travée qui lui succède (cad. CX 174, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 10 septembre 2008.
Montreuil-le-Chétif. ― La grange du manoir de Bernay, en totalité (cad. ZI 31, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 27 mars 2008.
Précigné. ― Les éléments suivants composant le logis du Plessis-Roland : le logis en totalité, y compris la grosse tour ; le bâti à caractère défensif ; la motte ; le réseau de douves avec les ponts ; le sous-sol archéologique des parcelles circonscrites par le réseau de douves ; les façades et toitures des bâtiments de communs (cad. F 656 à 664, 1031) : inscription par arrêté du 29 juillet 2008.
Saint-Denis-des-Coudrais. ― L'église Saint-Denis en totalité, y compris le sol et le sous-sol de la parcelle cadastrale sur laquelle elle est assise, ainsi que le mur de soutènement de ladite parcelle A327 (cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 8 décembre 2008.


Savoie


Aix-les-Bains. ― Parc thermal, avenue Lord-Revelstoke : les jardins des thermes nationaux, y compris le mobilier (les statues, les bancs), les fabriques d'architecture (cinq kiosques, le bar « la Rotonde ») et le promenoir qui appartiennent à leur composition (cad. CE 9) : inscription par arrêté du 23 avril 2008.


Haute-Savoie


Passy. ― Sanatorium Martel de Janville, 251, route Martel-de-Janville : le sanatorium, intérieur et extérieur, ainsi que le parc qui l'entoure (cad. B 1753, 1754, 1758) : inscription par arrêté du 15 mai 2008.


Paris


Paris (5e). ― L'ensemble immobilier dénommé « Le Panthéon », place du Panthéon, comprenant l'édifice, le sol de son enclos et ses grilles (cad. BK 1) : classement par arrêté du 12 avril 1920, modifié par arrêté du 13 février 2008.
Paris (6e). ― Immeuble sis 5, rue Christine : parties communes : l'ensemble des façades et des toitures, le sol de la cour, l'escalier et sa cage ; partie privative : le petit cabinet lambrissé situé dans l'appartement du premier étage de l'aile sur jardin (cad. AD 67) : inscription par arrêté du 21 juillet 2008. Immeuble sis 28, rue Bonaparte et 34, rue Jacob : l'ensemble des façades et des toitures, le sol de la cour, l'escalier et sa cage (cad. BM 32) : inscription par arrêté du 21 juillet 2008.
Paris (7e). ― Ancien hôtel de Stahrenberg, 77, rue de Lille : les façades et les toitures sur cour et sur jardin ; la cage d'escalier en totalité ; le salon d'axe et le salon rouge au rez-de-chaussée ; le salon central au premier étage (cad. AO 38) : inscription par arrêté du 7 juillet 2008. ― Ancien hôtel Samuel Bernard, 46, rue du Bac : les façades et les toitures sur rue et sur cour, y compris les retours sur jardin ; le passage cocher ; les deux grands escaliers (cad. AN 26) : inscription par arrêté du 12 septembre 2008.
Paris (9e) ― Immeuble, 18, rue Notre-Dame-de-Lorette et 2, rue Laferrière : les façades et toitures sur rues et sur cour, à l'exception de la façade sur la seconde cour ; les trois passages cochers ; le sol de la cour et l'escalier et sa cage situés dans le bâtiment A (cad. AG 33, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 19 décembre 2008.
Paris (14e). ― Cité internationale universitaire, 17, boulevard Jourdan : le bâtiment de la Fondation Avicenne en totalité ainsi que l'emprise au sol et la composition paysagère limitée par les cheminements (cad. BH 1, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 29 octobre 2008.
Paris (20e). ― Cimetière de l'Est dit « cimetière du Père-Lachaise » : la tombe de Frédéric Chopin, concession n° 553 PA1849, 11e division (cad. 20-03 CR 1) : classement par arrêté du 1er avril 2008.


Seine-Maritime


Angiens. ― Château de Silleron : le château et son enclos castral (cad. B 129, 398, lieudit Silleron) avec l'ensemble de la clôture, des bâtiments et des aménagements de jardins et la mare, en totalité ; les bâtiments anciens de la ferme (cad. B 381, lieudit Silleron), à l'exception de la grange sud-est : inscription par arrêté du 17 novembre 2008.
Bourg-Dun (Le). ― Chapelle Saint-Julien, située au hameau de Flainville : la chapelle (cad. AC 181) : classement par arrêté du 2 juin 2008. ― Le sol de l'ancien manoir (cad. AC 183) : inscription par arrêté du 2 juin 2008.
Grainville-Ymainville. ― Domaine du château de Trébons : le domaine en totalité avec l'ensemble du bâti et de la clôture, des aménagements de jardins et des avenues et le sol des parcelles A 351, 368, 370, 372, 133, 139 ; ZE 1, 21, et l'emprise de l'ancienne parcelle A 333 en bordure de la voie communale n° 10 sur lesquels il est situé : inscription par arrêté du 19 décembre 2008.
Hanouard (Le). ― Le colombier du manoir en totalité (cad. A 346) : inscription par arrêté du 21 novembre 2008.
Pommeréval. ― L'église Saint-Nicolas en totalité (cad. AE 67) : inscription par arrêté du 26 mai 2008.
Varengeville-sur-Mer. ― Manoir de l'église, ancienne villa la Palette, chemin de l'Eglise : le jardin du manoir, soit le sol des parcelles AB 221, 222 et 496 avec les plantations et aménagements du jardin : inscription par arrêté du 3 décembre 2008.


Seine-et-Marne


Fontainebleau. ― Domaine national de Fontainebleau : en totalité, les parties bâties et non bâties du domaine, y compris les murs de clôture et terrains des Héronnières avec l'esplanade et le terrain sud-ouest attenant, boulevard Magenta (cad. A1 à 4, 6 à 24, 26 à 36, 39, 40, 45 à 51, 53 ; AC 255, 433 ; AL 41 ; AT 1, 5, 4, 72) : classement par arrêté du 10 octobre 2008.
Noyen-sur-Seine. ― Château de Noyen : le pavillon de chasse en totalité (cad. D. 114) : inscription par arrêté du 10 octobre 2008.


Yvelines


Magny-les-Hameaux. ― Ancienne abbaye de Port-Royal-des-Champs, domaine national de Port-Royal-des-Champs : l'ensemble des parties bâties et non bâties, en totalité (cad. A 14 à 17, 37 à 54, 61 à 68, 181) : classement par arrêté du 10 octobre 2008.


Deux-Sèvres


Chapelle-Saint-Laurent (La). ― L'église Notre-Dame de Pitié, ainsi que la place avec son calvaire et sa fontaine, en totalité (cad. AE 359) : inscription par arrêté du 11 décembre 2008.
Niort. ― L'église Saint-Etienne et sa sacristie, en totalité (cad. BN 192) : inscription par arrêté du 11 décembre 2008.
Pougne-Hérisson ― Château de Hérisson : les bâtiments constituant le château ainsi que le sol des parcelles OA 185 à 189, 558, en totalité : inscription par arrêté du 26 novembre 2008.


Somme


Amiens. ― Hôtel particulier sis 4, rue Vivien : une partie de l'ancien hôtel, exclusivement la partie côté cour, épargnée par l'incendie, comprenant les pavillons, le mur et l'entrée, les communs, la cour et la façade du logis dans son épaisseur (sans les toits) doté de sa véranda en fonte (cad. AM 148) : inscription par arrêté du 11 juillet 2008. ― Maisons sises 45, 47, 49, 51, 53, 55, 57, 59, rue de la Barette : les maisons, pour leur ossature bois, leurs toits en charpente couverte d'ardoises, l'ensemble des corps des immeubles alignés sur la rue, des ailes en retour et des cours étant indissociables (cad. AH 271 [n° 45], 32 [n° 47] 270 [n° 47 bis], 272 [n° 49], 275 [n° 55], 31 [n° 57], 273 [n° 57 bis], 276 [n° 59], 274 [n° 51-53] : inscription par arrêté du 11 juillet 2008.
Essertaux. ― Château d'Essertaux : l'esplanade comprenant la grande allée axiale menant au château, les dépendances en totalité (excepté l'intérieur de l'unité d'habitation nord-ouest), les murs et clôtures, ainsi que le parc et le jardin (cad. AC 1, 187 à 189, 193, 192, 195, 196, 2002 à 208 ; Z 221, 261, 262) : inscription par arrêté du 25 janvier 2008, modifié par arrêté du 7 juillet 2008.
Longueau. ― La cité-jardin dite du « Château Tourtier », comprenant la voirie dont l'escalier monumental donnant accès à la route et le passage souterrain donnant accès aux ateliers de réparation et aux voies de chemin de fer, les aménagements paysagers, les façades et toitures de l'ancien foyer des agents de train (excepté l'adjonction moderne postérieure), les façades et toitures des maisons suivantes avec leur jardin qui les entoure et leurs annexes (cad. AB 40-41 [2-4, allée des Rosiers], 37 à 39 [6-8-10, allée des Rosiers], 35-36 [12-14, allée des Rosiers], 55 à 57 [1, allée des Rosiers et 2-4, allée des Aubépines], 58 [3, allée des Rosiers], 59 à 61 [5-7-9, allée des Rosiers], 62-63 [11-13, allée des Rosiers], 64 [15, allée des Rosiers], 43-44 [1-3, allée des Aubépines], 45-46 [5-7, allée des Aubépines], 47-48 [9-11, allée des Aubépines], 49-50 [13-15, allée des Aubépines], 54 [6, allée des Aubépines], 52-53 [8-10, allée des Aubépines], 67-68 [12-14, allée des Aubépines], 65-66 [16-18, allée des Aubépines], 73 [6 bis, 6 ter, allée des Tilleuls], 69 à 72 [8-10-12-14, allée des Tilleuls], 92, 177 [8-10, allée des Jardiniers], 94-81 [16, allée des Jardiniers et 187, allée des Acacias], 82 [15, allée des Acacias], 83-84-176 [9-11-13, allée des Acacias], 87-175-180-187 [allée des Acacias]) : inscription par arrêté du 11 juillet 2008.
Quevauvillers. ― Château (Vieux et Grand) : le château (Vieux et Grand), façades et toitures, les écuries, l'orangerie, le puits anglo-chinois, les deux longs bâtiments de la ferme en brique et pierre (excepté leurs extrémités, l'habitation moderne et le hangar), le bâtiment de la ferme à ossature bois et torchis et sa cave, en totalité, le parc, les clôtures en pierre et silex, l'entrée en fer à cheval et le saut-de-loup dans l'axe du parc (cad. AC 74 à 77) : inscription par arrêté du 13 avril 2008.
Senarpont. ― L'église Saint-Denis en totalité (cad. AK 151) : inscription par arrêté du 25 janvier 2008.


Tarn


Lasgraisses. ― Maison familiale du colonel Du Pin, place du Colonel-Du-Pin : les façades et toitures de la maison et le salon au décor peint (cad. C 241) : inscription par arrêté du 21 mai 2008.
Montirat. ― L'église de Lagarde-Viaur (cad. AB 333) : inscription par arrêté du 21 mai 2008.
Peyregoux. ― L'église paroissiale Saint-Pierre (cad. A 212) : inscription par arrêté du 20 août 2008.
Réalmont. ― Maison, 15, rue Badou : les façades et toitures de la maison et la pièce au papier peint panoramique dit « procession chinoise » (cad. E 1358) : inscription par arrêté du 21 mai 2008.
Saint-Paul-Cap-de-Joux. ― L'église paroissiale (cad. A 72) : inscription par arrêté du 21 mai 2008.


Tarn-et-Garonne


Beaumont-de-Lomagne. ― La ferme d'Envidalot en totalité, avec le sol de la cour et l'écluse sur le ruisseau (cad. YW 3) : inscription par arrêté du 5 novembre 2008.


Var


Plan-de-la-Tour. ― Le « Rêve de l'Oiseau » et le sol de la parcelle D. 777 : classement par arrêté du 16 avril 2008.


Vaucluse


Isle-sur-la-Sorgue (L'). ― Ancien cimetière juif, chemin du Cimetière-Israélite : l'ancien cimetière en totalité, avec son portail, ses tombes, monuments et autres éléments, son sol et son sous-sol (cad. BP 97) : inscription par arrêté du 30 juin 2008.
Pernes-les-Fontaines. ― Hôtel de ville, ancien hôtel de Brancas-Cheilus, place Aristide-Briand et place de la Mairie : l'hôtel de ville en totalité, à l'exception des parties déjà classées, à savoir les bâtiments (extérieur et intérieur) et éléments suivants : corps central, ailes nord et sud, y compris leurs appendices en retour, aile sud-ouest, mur de clôture de la cour d'honneur, emprises de la cour d'honneur et des jardins (cad. AX 549, 638) : inscription par arrêté du 30 juin 2008.


Vendée


Nalliers. ― Le pigeonnier de l'ancien château de l'Ilôt-les-Tours (cad. YM 153, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 24 juin 2008.
Nesmy. ― Château de Nesmy : les façades et toitures du château ; la plate-forme du château ; les communs, le bûcher-cellier, la maison du garde-chasse, le parc du château avec ses murs de clôture et ses fabriques : porterie, maison du thé, ferme de Belle Croix (cad. AC 1 à 4, 6, 8 à 11, 269, 393 à 402 ; C 205 à 212 ; D. 237 à 246, 363 à 365, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 8 décembre 2008.
Réaumur. ― La chapelle du Prieuré en totalité (cad. AB 124, cf. plan annexé à l'arrêté) : inscription par arrêté du 29 avril 2008.


Vienne


Mazeuil. ― La chapelle funéraire de Mazeuil et son enclos, ainsi que le sol de la parcelle sur laquelle ils se situent (cad. D 1451) : inscription par arrêté du 15 mai 2008.
Valdivienne. ― Les deux maisons sises aux n°s 15 et 17, rue de l'Aumônerie, à Morthemer (cad. CM 26, 34) : inscription par arrêté du 15 mai 2008. ― Château de Morthemer : l'ensemble des bâtiments en totalité (petit château, communs, murs d'enceinte) ainsi que le sol des parcelles CL. 84 à 86 sur lesquelles ils sont situés : inscription par arrêté du 14 mai 2008.


Yonne


Escolives-Sainte-Camille. ― Château du Saulce : les structures porteuses (façades et toitures) du château et des communs ; le pavillon, en totalité ; l'ensemble du jardin incluant les allées perspectives, les allées d'eau, les bassins, les traces des parterres, les portails et les murs de clôture (cad. I 300, 303 à 310, 731, 815) : inscription par arrêté du 24 juin 2008.
Sens. ― Ensemble cathédral : les façades et toitures (structures porteuses) de la Maison de l'Œuvre située impasse Abraham ; la chapelle de la Persévérance, ancienne salle capitulaire, en totalité ; les façades et toitures (structures porteuses) de l'ancienne bibliothèque des archevêques ; le mur ; le portail ; le sol du jardin ; les façades et toitures (structures porteuses) des anciennes écuries ; le sol de la cour de l'ancien archevêché (cad. BV 88, 89, 146 à 148) : inscription par arrêté du 12 septembre 2008.


Hauts-de-Seine


Issy-les-Moulineaux. ― La Tour aux Figures de Jean Dubuffet, sur l'île Saint-Germain (cad. G 2) : classement par arrêté du 10 septembre 2008.
Malakoff. ― Ancienne usine Clacquesin, 18, avenue du Maréchal-Leclerc : en totalité, la grande halle anciennement affectée à la mise en bouteille (située en fond de parcelle) et la salle des cuves qui lui est contiguë au nord-est, avec l'ensemble de ses cuves et les installations nécessaires à la distillation, la fabrication et la conservation de la liqueur Clacquesin ; les façades et les toitures de la halle dite « halle de stockage des alcools » contiguë à la grande halle côté sud-ouest, des garages, de l'ancien pavillon de gardien et de l'ancien transformateur électrique situés à droite de l'entrée principale (cad. D 32) : inscription par arrêté du 21 juillet 2008.


Val-de-Marne


Bry-sur-Marne. ― L'ancien gymnase Léopold Bellan (cad. D 44), ainsi que le monument aux élèves sportifs de préparation militaire morts pour la France lors du conflit de 1914-1918 (cad. D 47), en totalité, sis 67, avenue de Rigny, rue du 26-Août-1944 et 67 bis, avenue de Rigny : inscription par arrêté du 26 novembre 2008.


Val-d'Oise


Ermont. ― Club des Espérances, 3, avenue de l'Europe : le club comprenant les deux bâtiments et les accès (escalier et passerelle) (cad. AP 207) : inscription par arrêté du 27 octobre 2008.


Guadeloupe


Abymes (Les). ― Maison Petrelluzzi, sise Morne-Fleuri : en totalité, l'ensemble de la parcelle contenant façades, toitures et salles de réception de la maison principale, ainsi que les vestiges de l'ancienne batterie et le tombeau (cad. CS 280) : inscription par arrêté du 16 octobre 2008.
Basse-Terre. ― La maison Matis, 256, rue Amédée-Fengarol, en totalité (cad. AI 326) : inscription par arrêté du 13 octobre 2008.
Bouillante. ― Habitation Massieux, route de Marquis-Thomas : l'ensemble constitué des façades et toitures de la maison principale et ses deux cours (cad. AM 128) : inscription par arrêté du 9 septembre 2008.
Désirade (La). ― Station météorologique, située à la pointe des châteaux sur l'île de la Désirade : l'ensemble constitué des façades et toitures de la station avec ses deux citernes (cad. AM 44) : inscription par arrêté du 16 octobre 2008.
Pointe-à-Pitre. ― L'ancien entrepôt situé quai Lefebvre, à l'angle de la rue Peynier, en totalité (cad. AI 51) : inscription par arrêté du 15 février 2008. ― Pavillon l'Herminier, 27, rue Sadi-Carnot et 37, rue Jean-Jaurès : les façades et toitures des constructions, le jardin, les grilles et le sol de la parcelle, ainsi que, en totalité, la dépendance à deux niveaux partiellement incendiée (cad. AI 58) : inscription par arrêté du 17 juillet 2008.
Saint-Claude. ― Habitation Ducharmoy : le sol de la parcelle de l'habitation et l'ensemble des constructions, à l'exclusion des aménagements de la seconde moitié du xxe siècle (cad. BI 128) : inscription par arrêté du 25 juillet 2008.
Trois-Rivières. ― Le sol de la parcelle AI 10, lieudit Habitation Vallée d'Or : inscription par arrêté du 3 décembre 2008. ― La parcelle AI 441, à savoir le sol ainsi que les roches gravées présentes dans cette parcelle, lieudit Habitation Vallée d'Or : inscription par arrêté du 3 décembre 2008. ― La parcelle AI 439, à savoir le sol ainsi que les roches gravées présentes dans cette parcelle, lieudit Habitation Vallée d'Or : inscription par arrêté du 2 décembre 2008. ― La parcelle AI 440, à savoir le sol ainsi que les roches gravées présentes dans cette parcelle, lieudit Habitation Vallée d'Or : inscription par arrêté du 3 décembre 2008.


Réunion


Saint-Denis. ― La planèze de l'Ilet-à-Guillaume, y compris l'ensemble des vestiges qui s'y trouvent et le sentier historique qui y mène depuis la Fenêtre jusqu'à la planèze (cad. CK 26, 21 à 23, 25) : inscription par arrêté du 9 janvier 2008.
Saint-Paul. ― Le domaine de La Poncetière sis 44, chemin du Grand-Pourpier, en totalité (cad. AD 44, lieudit Cambaie) : inscription par arrêté du 9 janvier 2008.
Saint-Pierre. ― Propriété « Mon Repos », allée de Mon-Repos : l'ensemble des bâtiments, y compris le terrain d'assiette (cad. CS 318) : inscription par arrêté du 9 janvier 2008.


Radiation de l'inventaire supplémentaire
des monuments historiques
Finistère


Plozévet. ― Maison dite « du Corsaire » (ou maison Kerisit), anciennement située sur l'actuelle place de l'Eglise : façades et toitures (cad. F 669) : inscription par arrêté du 25 octobre 1965, radié de l'inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 19 décembre 2008.


Paris


Paris (14e). ― La rampe d'escalier sise avant sa disparition dans l'immeuble du 28, rue Geoffroy-l'Asnier, Paris (4e) (cad. AK 97) et signalée dans l'immeuble du 21, rue Boissonnade, Paris (14e) (cad. AD 59) : inscription par arrêté du 29 mars 1928, radié de l'inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 7 octobre 2008.


Additif à la liste des immeubles protégés au titre des monuments
historiques parue au Journal officiel le 23 mai 1997
Ille-et-Vilaine


Vitré. ― Maison, 5, rue de Paris : Les façades sur rue et les toitures correspondantes (cad. K 1139) : inscription par arrêté du 22 mars 1965.


Additif à la liste des immeubles protégés au titre des monuments
historiques parue au Journal officiel le 21 mars 2008
Aisne


Guise. ― Le château fort de Guise en totalité, comprenant l'enceinte fortifiée et son glacis (bastions de la Charbonnière, du Moineau, de la Haute Ville et de l'Alouette, demi-lune de secours), les portes (porte de la Ville, porte des Carrosses et porte de Paris), le corps de garde, les premiers niveaux du Gouvernement, de la prison et de l'arsenal, ainsi que les soubassements de l'ancienne église collégiale Saint-Gervais et Saint-Protais (cad. AV 19, 106 à 108, 110, 112, 114, 117, 130) : inscription par arrêté du 21 septembre 2007.


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Published by Yves Marion - dans Recherches historiques
21 mars 2009 6 21 /03 /mars /2009 17:56
Dans le cadre de son mémoire de Master du patrimoine, Mlle Aurélie Bertin, membre de la Société d'archéologie et d'histoire de la Manche et guide stagiaire auprès du Pays d'art et d'histoire du Clos du Cotentin, a entrepris un inventaire thématique consacré aux fontaines sacrées et sources chrétiennes de la presqu'ile du Cotentin. Si certaines sont bien connues en raison de la vitalité du culte qui leur est associé (cf. Saint-Jouvin de Brix, Saint-Clair de Rauville-la-Place...), la plupart sont tombées dans un oubli relatif. Cette approche, à la fois topographique, architecturale, ethnographique et archéologique, doit permettre un référencement précis et pourra déboucher sur des démarches de sauvegarde et de protection. Conscient de la difficulté d'une telle entreprise (très peu sont citées dans les publications existantes), nous souhaitons solliciter l'aide de tous les connaisseurs et amateurs de notre région susceptibles de nous indiquer des sites de ce type (éléments construits ou non, simples appellations locales, type "fontaine saint Martin", "source Saint-Clair"...). (Contact : pah.clos.cotentin@wanadoo.fr). Merci beaucoup !
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Published by Yves Marion - dans Recherches historiques
20 mars 2009 5 20 /03 /mars /2009 07:52

Mont Saint Michel in Normandy

and  St Michael's Mount in Cornwall

"Through the Looking Glass" re-establishing links after 600 years (07-11-2008)

By Christopher Long
incorporating study notes by David Nicolas-Méry
and references from Millénaire Monastique du Mont Saint-Michel

See: Mont-Saint-Michel and the Cornish Tin Trade

Mediaeval origins...

msm1.jpg Mont Saint Michel is a spectacular abbey sitting on a rocky island off the coast of Normandy. In 2008, already classified as a World Heritage site, Mont Saint Michel celebrated the 1,300th anniversary of its foundation.

Across the English Channel, in Cornwall, is an almost identical spectacular rocky island with equally ancient origins, which is only accessible at low tide – as used to be the case at Mont Saint Michel.

In the 12th century, about 100 years after William the Conqueror's invasion of England, the monastery on Mont Saint Michel founded a priory on St Michael's Mount.

The legends...

smm1.jpg Legend describes Mont Saint Michel being surrounded by a forest known as Scissy and tradition at St Michael's Mount tells of a similar forest that was eventually swallowed by the encroaching sea.

According to the same tradition, St Michael's Mount was specifically chosen by St Michael who appeared on its heights to be venerated there.

Exactly the same story had been told of Mont Saint Michel – soon precipitating the first pilgrimages.

The cult of St Michael (the archangel who mythically fought evil on dramatic hill-tops) had its origins in 7th century Ireland. It is possible that it was brought to Cornwall by St Cadoc whose ruined chapel is at Padstow on the north coast of Cornwall. Interestingly there is a miniature Mont-Saint-Michel on the north coast of Britanny with a nearby chapel of St Cadoc close by on the mainland.

Thanks to the missions of Irish monks, this cult spread from rocky out-crops and hills in Ireland and Wales, across England (perhaps via Northumbria) to hill-top sites in Normandy, throughout Europe and into Italy.

Domesday Book...

According to various versions of the Domesday Book, the land of St Michael's in Cornwall, in the time of Edward the Confessor, consisted of Treiwal, a manor of two hides which lay in Marazion and also included the manor of Truthwall in Ludgvan and St Hilary. It does not say that a priory existed there. But since the manor did not pay 'geld' (tax) and was held by Brismar the Priest, both facts indicate that a community of priests might have existed there before the Conquest, though not necessarily at the time of Domesday Book (1086). After the Conquest Robert de Mortain took away the manor of Truthwall.

How St Michael's Mount was given to the abbey of Mont Saint Michel in Normandy...

avranchessmmgift.jpg This question raises enormous problems. At Avranches there exists a later copy of an ancient charter that purports to record the formal gift of St Michael's Mount by Edward the Confessor prior to the Norman Conquest.

Sadly, forensic study has led numerous academics to question its authenticity. It is now largely accepted that the document was concocted by monks after the Norman Conquest to demonstate the authentic basis in law of their ancient rights and that since St Michael's had long been theirs the Norman conquerors were in no position to give it away.

The monks at the ducal monastery of Mont Saint Michel might well have expected to benefit from the Norman Conquest. Their house had been re-founded by William's great-grandfather, Richard l of Normandy. They would also have been aware that William's invasion fleet had landed on the English coast on St Michael's Day. The saint was therefore of great significance to the Conqueror and to William's half-brother Robert de Mortain who says his banner bore the saint's image at the Battle of Hastings.

Two possible motives for the Norman monks creating this 'forged' manuscript are: (1) to show they had an ancient title and owed no favours to new Norman overlords in England; and/or (2) to provide evidence of an ancient title during their dispute with Robert de Mortain over their tenure of the manor of Truthwall.

smmsouthview.jpg

Some time after the Norman Conquest the dominant land-owner in Cornwall was Robert de Mortain. He became Earl of Cornwall in 1072 and held 549 manors throughout England. Once again copies of a supposed original charter have survived (this time in Avranches and Exeter) by which Robert is supposed to have given St Michael's Mount to the abbey in Normandy. But while the gift by Robert and his wife Almodis almost certainly occurred, once again the authenticity of the copies of the 'original' charter have been called into question. They are riddled with inconsistencies and contain forged additions and improbable dates.

It seems clear that, probably between 1068 and 1070, Robert did indeed give the Mount to the monks, along with half a 'hide' of land (perhaps the piece of land that Domesday Book shows he had previously usurped). Later he added three acres of land in the Meneage, comprising Traboe and Lesneage in St Keverne and Tregevis and Carvallack in St Martin, as well as the right to a Thursday market (which may have given its name to 'Marazion').

For closer study of the arguments in both these cases, see D. Matthew and P.L. Hull in Millénaire Monastique du Mont Saint-Michel (or the brief précis of their findings towards the end of this page).

Building St Michael's Mount...

msmnorthview.jpg What is certain is that the abbot of Mont Saint Michel Bernard du Bec, ordered the building of a priory on St Michael's Mount in 1135, its church being consacrated nine years later (1144) by Robert ll, Bishop of Exeter, in the presence of numerous Norman barons and monks (see the Otterton Custumal).

The reason for the delay in founding the priory may be connected to the Battle of Tinchebray (1106) in Normandy and the forfeiture of Mortain estates which passed to Reginald de Dunstanville, created Earl of Cornwall in 1141. So it was that Reginald, the Bishop of Exeter and the local barons who offered Bernard du Bec advice regarding the creation of a house for a prior and twelve monks.

Interestingly the Otterton Custumal says that absolute obedience to the abbot in Normandy and the payment of 16 marks was expected from the Cornish prior and monks in Cornwall. As late as 1309 a prior at the Mount described himself as a 'bailiff of the abbot". Historian P.L. Hull says that this subjection expalins why the Cornish property remained comparatively poor and its buildings never attained the magnificence of those at Mont Saint Michel.

Eventually St Michael's achieved greater status. From being merely a cell of Mont Saint Michel whose prior could be removed at the will of the Norman abbot, it became a distinct religious house with a convent, a seal and a perpetual prior. A document dated around 1200 shows the prior hearing a judicial case by royal command.

smmcauseway.jpg msmcauseway.jpg Mediaeval priories resembled miniature abbeys with standard elements such as a church, a refectory, a dormitory, a store-room, a court room and facilties for receiving and lodging visitors and pilgrims.

If the Norman monks created a familiar copy in Cornwall of their own abbey in Normandy, the remains of these elements at St Michael's could give us an idea of the early layout at Mont Saint Michel before its later colossal building programmes (e.g. la merveille) hid the more modest earlier arrangement.

This idea is reinforced by the fact that Bernard du Bec appears to have been responsible for the creation of Lady Chapels (dedicated to the Virgin Mary) on both St Michael's Mount and Tomberlaine, the island adjacent to Mont Saint Michel.

Throughout the remainder of the 12th century (and until at least the 14th century), monks from Mont Saint Michel were sent to their distant Cornish outpost where they managed the mainland estates that had also been granted to it. It is likely that these were young monks sent to St Michael's in order to test their abilities in a somewhat spartan, distant and foreign culture.

Pilgrimage...

chaucercanterburytales1.jpg chaucercanterburytales2.jpg One of the prime roles of all monasteries and priories in the Middle Ages was to offer aid, food, lodging and spiritual guidance to pilgrims.

Hundreds of thousands of them trekked from one end of Europe to the other during the Middle Ages.

Apart from adventure, most were in search of redemption and an easier route to paradise before the relics of saints in sacred places.

chaucercanterburytales3.jpg During the 12th-14th centuries, pilgrimage became increasingly popular, particularly along routes linking sites devoted to St Michael and those that led to St Iago de Compostela in Spain. Many pilgrims travelled to Canterbury Cathedral in England (see Geoffrey Chaucer's The Canterbury Tales) where archbishop Thomas Beckett was the saintly attraction, his murder in 1170 having been incited by his former friend, King Henry ll, Duke of Normandy. But the connection between the two islands became difficult during the 100 Years' War and both islands were fortified.

The 100 Years' War...

SMstmichaelsmounta.jpg In the 12th century, kings of England had also been dukes of Normandy. But in 1204 Philippe ll (Auguste) reincorporated Normandy into his French kingdom, whereupon England's King John (Lackland) lost his Norman territories. The 100 Years' War (1337-1453) saw the Conqueror's anglo-norman descendants in England attempting, but ultimately failing, to reclaim what they regarded as lost ancestral territories and heritage in Normandy and Picardy.

SMstmichaelsbrentora.jpg SMstmichaelsbrentorwindowa.jpg Nevertheless, Mont Saint Michel generally retained its possessions such as St Michael's Mount and Otterton priory, even if revenues were confiscated during hostilities and only resumed during more peaceful periods. But in 1385 (after such a period of confiscation and then neglect) Richard Auncell of Tavistock was appointed the first non-Norman prior of St Michael's Mount, while another prior was Richard Harepath.

Evidence of this difficult period is clear in an accusation that a C14th prior on St Michael Mount had had "relations with the foreigner". Presumably this means that the prior, far from Mont Saint Michel, was now making his own pragmatic arrangements with the English, among whom he lived and upon whom his future depended. Later, there are references to military installations on the Mount along with the arrival of a non-religious 'guard', or militia, on the island.

Some religious houses in England, like St Michael's Mount, may have benefitted from independence from Normandy but the break meant that revenues were simply transferred to the English king. This may have become restrictive and generally the greatest degree of independence had been gained long before.

The definitive break occurred in 1414 when Henry V formally appropriated St Michael's from Mount Saint Michel. Ten years later, Henry Vl confirmed the grant of St Michael's to Syon Abbey (Norman Monasteries says 1415) – to which it remained attached until the Reformation, apart from a relatively brief period when it was reassigned to King's College, Cambridge.

But despite this rift, the Norman abbey continued to fascinate the English as is shown in several 15th century illustrated manuscripts commissioned by John of Lancaster, Duke of Bedford. His name remains linked to one of the most important of all mediaeval books, the Bedford Hours which depicts the key moments in the foundation of Mont Saint Michel.

bedfordhours1.jpg bedfordhours2.jpg bedfordhours3.jpg bedfordhours4.jpg bedfordhours5.jpg

MSM and SMM sever their links...

Although relations between Mont Saint Michel and St Michael's Mount had already been severed, the dissolution of the monasteries by Henry Vlll, in the late 1530s, removed any possibility of reconnection. Even the ancient tradition of pilgrimage in England came to an abrupt end.

This 'Reformation' saw almost every English monastery and priory dissolved – and usually destroyed – while the arrival of Protestantism rejected not only the supremacy of the Pope but the cult of saints and relics, the sale of indulgences and all ideas of facile redemption. Any remaining links (largely those involving religious houses in England and France) were thus for ever torn apart.

avranchesstvictoralabaster.jpg In 1535, Henry Vlll abolished the priory on St Michael's Mount, turning the island into a fortress as a defence against threatened invasions by Roman Catholic France and Spain.

Interestingly, a few of the fine decorations stripped from English churches and abbeys found their way to mainland Europe.

Notable among these were fine late-mediaeval Nottingham alabaster figures, some of which can be seen in Avranches (see Saint Victor) and among the finest of which can be seen at Mont Saint Michel.

Such fragments of English artistry on the European continent (along with surviving items in London museums and elsewhere) are now all that remain of the almost unimaginable glories that once existed in England's monasteries... and it was this wealth in England and its anglo-norman monasteries that had so enriched the Duchy of Normandy in the 12th and 13th centuries.

From then on Europe was plunged into nearly 250 years of almost perpetual wars and power struggles which only nominally concerned religious belief or the sovereignty of the Pope.

Power struggles in Europe...

msmwarshippeeters.jpg From the 16th century onwards, Mont Saint Michel in Normandy and St Michael's Mount in Cornwall faced each other as coastal fortresses, garrisons and prisons while the great powers of western Europe – England, France and Spain – fought for supremacy.

And since France had for centuries successfully resisted all Breton and English attempts to take Mont Saint Michel, its now towering abbey became a potent symbol of resistance.

Meanwhile, in Cornwall, St Michael's Mount might be seen as a microcosm of Britain itself, a fortified island, a bastion standing firm against repeated threats of invasion by Spain and France from Tudor times until the end of the Napoleonic era – even to the threat of German invasion in World War ll when it was home to anti-aircraft guns.

It was during this troubled period, in 1647, that Col. John St Aubyn became governor of St Michael's Mount, and its owner eight years later. He had wisely decided to switch sides and support King Charles ll when it was clear who would emerge as the winner following the republican experiment which followed the English Civil War!

Interestingly, the St Aubyn family, who own the island to this day, had their roots in mediaeval Normandy, probably having followed William the Conqueror to England after 1066. Their barony is now held in the name of St Levan, another name with probable Norman or Breton links.

houguewarship1692.jpg Perhaps the turning point in this period was the sea battle at La Hougue in 1692 when a British fleet crippled a French fleet under the command of Admiral de Tourville

By the time of the French Revolution in 1789, Britain had emerged as the dominant global maritime power with a rapidly growing empire.

Meanwhile, France had become the de facto leading land power in western Europe with large continental ambitions.

Nevertheless, Anglo-French skirmishing continued off the coasts of Normandy and Cornwall.

smmfrenchcannon.jpg Indeed, a French frigate was sunk in the bay beside St Michael's Mount, its guns (made at a foundry in Rennes) being proudly displayed there to this day.

But already St Michael's Mount and Mont Saint Michel had lost their symbolic and strategic significance.

The Norman abbey, stripped of its riches and religious community, became an almost abandoned ruin while the Cornish fortress was transformed into a comfortable manorial residence for the St Aubyn family.

Romantic revivals

msmcotman1820.jpg But now, during the late 19th and early 20th centuries, both Mont Saint Michel and Saint Michael's Mount were 'rediscovered'.

They were saved by the romantic fervour of the Victorian and Edwardian eras.

And along with this came the development of cross-Channel ferries, railways, better roads and all the familiar accompaniments of mass tourism – either as cause or effect.

msmstanfield1840.jpg In the 19th century, British artists, writers and aristocrats set off with their sketch-books and diaries to rediscover Europe – and France in particular.

In their search for their anglo-norman roots in Normandy, collectors, historians and archaeologists made the 800 year-old mediaeval world fashionable again.

Among them was a steward of St Michael's Mount who visited Mont Saint Michel in about 1830.

He brought home with him a whole series of watercolours depicting Avranches and Mont Saint Michel.

pontgilbertloirhairby1841.jpg Like the drawings of Emile Sagot, his paintings provide an invaluable and previously unpublished glimpse of the architectural history of Mont Saint Michel.

Meanwhile, more romantic artists (e.g. Cottman and Stanfield) became obsessed by the extraordinary outlines of the Mount and the Mont.

This movement led to repairs and restoration on both sides of the Channel as their owners sought to make the islands attractive and relevant to a new breed of 'pilgrim'.

The English in Avranches

avranchestourelleloirhairby1841.jpg Some British expatriates even settled in Avranches. In the 1820s, following the fall of Napoleon Bonaparte, many military families in England were living on half-pay in the new era of Anglo-French peace.

Avranches attracted a growing number who found the cost of living in England more than they could afford during its very prosperous industrial revolution.

Here they settled discreetly in the newer and more fashionable boulevards of Avranches. And here they established their own large lending library (still in existence), introduced steeple-chasing and acquired their own cemetery.

avranchesmacfarlanecampbell1.jpg But, importantly, many of them were intrigued by Mont Saint Michel and they provided the impetus to re-explore and publish Norman history. (See: N. Collette, Les Anglais à Avranches au XlXme siècle, Revue de l'Avranchin et du Pays de Granville, t. 81, p. 271-315).

It was in this spirit that James Hairby published Description and Historical Sketches of Avranches and its Vicinity in 1841, printed by Mme Ve Tribouillard.

The work contains two prints by the Avranches artist Louis Loir. In the same year Hairby also published A Short Account of Mont Saint-Michel and Tombelène, a brief study of the Mont in English.

avranchesmacfarlanecampbell2.jpg A little later, in 1855, Walter Frederick Campbell of Islay, a Scotsman born in Edinburgh in 1799, died in Avranches. His tomb is one of the most interesting in the 'English corner' of Avranches Cemetery.

His son, John Francis Campbell (1821-1885) was in Avranches when his father died, having regularly visited him there since 1848.

Although the death certificate describes John, the eldest son, as a barrister living in London, he is well known today in Britain for his numerous publications on Scottish folklore.

avranchesmacfarlanecampbell3.jpg avranchescemeterycampbell1855.jpg But in Normandy he is renowned for a remarkable study of Mont Saint Michel bay.

(See three lithographs of Avranches by McFarlane after drawings by J. F. Campbell, circa 1848).

Preparing for the New Pilgrims of the 20th and 21st centuries...

msmrestorationcorroyer.jpg In the 19th century, Mont Saint Michel, owned by the French state, was restored by Edouard Corroyer (a pupil of Eugène Viollet-le-Duc) to become France's premier national 'historic monument' outside Paris.

Strictly designed not to be a religious symbol, the restored Mont Saint Michel nevertheless acquired a spire by Yves-Marie Froidevaux to augment its already dominating presence, visible from at least thirty miles away. And from the start of the C21st it once again again housed a small religious community.

Accessible by a fixed causeway or by foot across the bay, the abbey's main attraction is a stark display of some of the finest mediaeval architecture anywhere in the world. In contrast to the commercialism of the village below, the towering abbey maintains an atmosphere of serenity and contemplation despite its millions of visitors.

Even if Mont Saint Michel is no longer really an abbey, it contains almost every physical element of a great mediaeval abbey. Though now transcending all faiths and cults, its primary role is still to be a marvel to be wondered at – as its founding abbots almost certainly intended.


smmreconstructed.jpg In the 19th century, St Michael's Mount was restored and extended to include an impressive neo-gothic residence (probably inspired by architectural talents from within the St Aubyn family). Although officially an historic monument, it is run by the family which owns and lives in it (in partnership with the National Trust).

Accessible at low tide across its original causeway, or by boat to its own small harbour and village, the castle's attractions consist largely of its dramatic position, its gardens and the rich contents of its rooms which give visitors a good overview of the history of the St Aubyn family and of English history generally.

The mediaeval priory church, dominating the sky-line for miles around, still functions as the island's parish church although the mediaeval chapel, refectory, dormitory, prior's room, garde-robe, store-room, etc., were in some cases incorporated into the domestic parts of the castle and so are less easy to identify without help.

Even if St Michael's Mount is now a privately-owned castle rather than a priory, it still contains almost every element of the mediaeval priory. In contrast to Mont Saint Michel this is an intimate place that looks outwards over the sea, being more of an observatory than a place to be observed – as its founding monks almost certainly intended.



Visitors today are not often in search of Christian redemption but their spiritual reactions to Mont Saint Michel and St Michael's Mount may be similiar to those of pilgrims in the late Middle Ages.

To reach the foot of these remote and mysterious places is an excuse for a journey – the adventure, joy or pain along the way being a metaphor for life.

To climb a spectacular rock and reach the end of one's journey in sublime man-made surroundings is to rejoice at the confluence of nature and art.

To stand where fifty generations have stood before may reassure visitors of their place in the great continuity of life and death.


Reconnecting MSM with SMM...

In 2007, a group of us in Normandy persuaded the St Aubyn family on St Michael's Mount to help us re-establish these ancient anglo-norman links.

This led to useful and delightful private visits in each direction during 2007-2008 and the prospect of collaborating on future research, exhibitions and conferences on both sides of the Channel.




smmislands.jpg In September 2008, the curator and historian David Nicolas-Méry proposed a major exhibition for 2010, at the Scriptorial Museum in Avranches, devoted to the shared and contrasting histories of Mont Saint Michel and St Michael's Mount, entitled Through The Looking Glass.

A collaboration between the city of Avranches in Normandy and St Michael's Mount and the National Trust in England, this will be the first exhibition of its kind to explore their shared 1,000 year-old anglo-norman links from the 11th to the 21st centuries.

Among points to be explored are:

msmislands.jpg
  • Comparisons and commercial links between the Baie d'Avranches and Penzance Bay.
  • Archaeological evidence of early cults and early Christian significance and presence on the both sites (e.g. hermits).
  • Reference to 'Penzance' possibly meaning 'the Holy Headland'...
  • Early maps of both bays.
  • Geographic parallels between Avranches/Penzance, Genêts/Marazion, etc.
  • In England St Michael's Day celebrates the end of the harvest and is a quarter day (Michaelmas 29/9, Christmas Day 25/12, Lady Day 25/3, Midsummer Day 24/6) on which tenants still pay rents to landowners and from which periods of employment were often related. St Michael's Eve (28th September) is still observed in some 'Celtic' communities.
  • Facsimilies of early charters: e.g. Domesday Book (1085-1086) which records that a certain Brismar was a priest of St Michael's Mount at the time of Edward The Confessor (i.e. before the Norman Conquest). Original charters at AD in St Lô.
  • The establishment of priories at Otterton and St Michael's Mount (ms 210 Avranches) and the role of Robert de Mortain. The monks' reasoning (C12th forgery?) for an earlier gift from Edward The Confessor – detail of the illustration of the 'gift' in the charter, the charter itself, transcribed/translated.
  • Maps showing the estates and properties granted to SMM and Otterton throughout southern England.
  • Maps showing the likely communication routes from Cornwall to MSM/Avranches.
  • Everyday life and customs in a mediaeval St Michael's priory, management of estates, accounts, etc. The method of travel between MSM and SMM – by sea and avoiding land where possible but using the Channel Islands of Sark, Alderney, Guernsey, Jersey and Chaussey, if necessary, where the monks had important holdings. Use of the Earl of Cornwall's boats? Maps and images of vessels of the period.
  • Bernard du Bec 'the builder'. Typical elements and arrangement of a priory. Visible evidence on SMM. What SMM might tell us about MSM. Lady Chapel/Tomberlaine... Models of SMM and MSM in 1150.
  • Difficult period between 1204 and the 100 Years' War...
  • Transformation of both islands into fortresses during 100 Years' War. Images of the English siege of MSM, and records of the defence of MSM and Avranches; Jeanne d'Arc.
  • The Bedford Hours.
  • Presentation of the Avranches Nottingham alabasters and photographs of those at MSM.
  • Paintings featuring SMM and MSM along with naval maritime scenes.
  • Prints, atlases and other scenes.
  • Works by Cottman on anglo-norman architecture.
  • Romantic paintings featuring the two islands.
  • Various prints by Stanfield, travel books (numerous documenst in municipal collections).
  • Drawings by Emile Sagot depicting the Mont before recontruction works.
  • Corroyer documents (AD de la Manche).
  • Views of SMM and its Victorian additions.
  • Any photographs of SMM building works.
  • Display of two works by James Hairby
  • Display of Avranches and MSM prints plus two volumes by John Francis Campbell (Life in Normandy; Sketches of French Fishing, Farming, Cooking, Natural History and Politics, Drawn from Nature (Edmonston & Douglas, 1863, 2 vols).
  • See end of this page thumbnail picture references for which exhibition 'reproduction permissions' may be needed.
CONCLUSION: The two Mounts today...
  1. At the dawn of the 21st century the two St Michael's mounts drive their local tourist economies in Basse-Normandie and Cornwall.
  2. St Michael's Mount attracts 200,000 visitors a year, while the French abbey attracts visitors in their millions!
  3. Since Henry Vlll, the English have rather lost sight of St Michael's Mount as a priory. In fact most visitors go there to see a castle or fortress. In the collective memory of the Cornish, the important links with Mont Saint Michel have also faded with the passage of time. Our exhibition aims to rekindle and highlight this shared history.
  4. In the context of efforts to integrate European cultures, several projects are being proposed in order to re-establish historic links between these two sites, some of which are very ancient. To this end the Association des Chemins de Pèlerinage du Mont-Saint-Michel hopes to re-open a pilgrim route from St Michael's Mount to Winchester where English pilgrims set off for Mont Saint Michel.
EXHIBITION AIMS:
  1. The exhibition aims to promote the historic and artistic links between the two mounts and generally between Britain and France.
  2. This will include showing works at the Scriptorial which have never been exhibited in France before alongside important works from the Avranches municipal collections as well as key items from the Archives départementales de la Manche.
  3. The exhibition will be bilingual, not only for the benefit of anglophone visitors but also so that it can be presented at St Michael's Mount in Cornwall.
ASSOCIATED EVENTS:
  1. Study days are planned on subjects developing from the exhibition, involving representatives from Britain and France as well as academics from Caen University who are already involved in the project.
  2. Conferences (details to come)
  3. Film/documentary devoted to St Michael's Mount The Tale of Two Castles shown on regional/national TV in Britain in 2008.
PROPOSED PARTNERS:
  1. St Aubyn Estates & St Michael's Mount
  2. The National Trust and The National Trust at St Michael's Mount
  3. Royal Museum of Cornwall
  4. English Heritage
  5. Archives Départementales de la Manche
  6. University of Caen: Office Universitaire d'Etudes Normandes
  7. Abbaye du Mont Saint Michel
  8. Association des Chemins de Pèlerinage du Mont-Saint-Michel


msm-smmswenglanda.jpg msm-smmbaya.jpg msm-smmIslesa.jpg msm-smmnormandya.jpg

The possessions of Mont Saint Michel in England and the Channel Islands included:


ENGLAND  

Berkshire  














Cambridgeshire (Ely)  






Cornwall (Exeter)  





































Devon (Exeter)  






































































Hampshire (Winchester)  











Somerset (Bath)  



Sussex (Salisbury)  

























Wiltshire (Salisbury)  












































Yorkshire (Durham or York)  























































Lincolnshire  



CHANNEL ISLANDS  

Guernsey (Coutances)  
































































Island of the Bailliwick of Guernsey (Coutances)  






Island of the Bailliwick of Guernsey (Coutances)  






Jersey (Coutances)  
























[Place names in (brackets) are the governing  
dioceses according to mediaeval sources.]  





Cholsey — St Mary's church, gift of William l, exchanged for Budleigh in 1123. Described at the last great Saxon abbey. In AD 986, Queen Aelfrith founded a Royal nunnery in the village, in repentance for murdering her step-son, St. Edward, King & Martyr. Its remains may be indicated by 10th century long & short quoins in the lower stages of the present church walls. Nearby was the largest tythe barn ever built. In 1123 Henry l gave monks £12 of land in Budleigh in exchange for Cholsey and another church.
Wargrave ** — St Mary's church, exchanged by Henry l for Budleigh in 1123. Belonged to Queen Edith, wife of Edward the Confessor before 1066. 5,000 acre manor worth £27/6/8 in 1086.
Great Wilbraham — parish church of St Nicholas. In c. 970 a monk Wulfhun gave the church with 40 acres to Ramsey Abbey (Hunts.), then given to Aethelwold, Bishop of Winchester, by exchange before 984. Probably attached to the Richmond fee by 1066 and by 1155 the church owed to MSM a £2 pension still due in the mid 13th century.
St Hilary — church. Dedicated to St Hilary of Poitiers, mostly destroyed by fire in 1853 but C13th tower and spire survive. See Dupont.
St Clement, Moresk, Truro — church mentioned in 1207 and later, given by King Edward IV, as part of the possessions of the monastery of SMM, the tythes later passing to the monastery of Syon.
St Michael's Mount — priory. Possibly existed as a priory before the Conquest. Date of its gift to MSM in doubt owing to the dubious nature of charters attributed by MSM monks to Edward The Confessor and Robert de Mortain. Surviving priory built by Bernard du Bec from 1135 (consacrated 1144) for 13 monks but rarely housing more than 4 or 5 by C14th. Parish church today dependant of St Hilary (note: near Mousehole is St Clement's Isle - a small rocky islet which apparently had a St Clement's chapel; also: Piers St Aubyn designed Marazion parish church All Saints, consecrated 1861, the third church on the site, the first recorded in 1309).
Truthwall — land and market in tin mining area lose to St Michael's Mount, perhaps acquired from Robert de Mortain (if not before) [note: Domesday mentions St Michael's Church].
Ludgvan — land in tin mining area, near St Michael's Mount, perhaps acquired from Robert de Mortain (if not before)
Trevalga — Michel Mollat says MSM was granted rights by William the Conqueror over the port of this village on the north Cornish coast near Tintagel. There is no evidence that its C12th church (St Petroc) belonged to MSM.
Constantine — land in tin mining area, Lizard.
St Martin-in-Meneage — land in tin mining area, Lizard.
Ruan Minor — land in tin mining area, Lizard.
St Keverne — land in tin mining area, Lizard.
Otterton — priory of St Michael, gift of William l, existed before 1087, probably the largest asset of MSM in England, incorporating the parish church and substantial estates nearby and around Sidmouth. Formerly held by Countess Ghida. Navigable from the sea in mediaeval times. Its foundation for four monks by King John is recorded in 1332 when it was temporarily alienated for £120 but may have been reoccupied by a monk. Supressed in 1414 and granted to Syon Abbey. Dupont details its possessions. Michel Mollat says MSM was granted rights to its port and fisheries. The late C11th tower at the east end of the present Victorian church of St Michael's may be a remnant of the mediaeval priory. It is thought that a chancel stood to the east of the tower and that the monks used a passage from the second storey which linked to an arch in the wall of their cell. Several flat tombstones found before 1775 were thought to have lain in the chancel. On the death of a serf the prior took his best beast in his secular capacity and the second-best in his spiritual capacity.
Budleigh — acquired from Henry l, worth £3, south of Otterton.
Yarcombe — church of St John the Baptist. Formerly held by Harold, worth £3. Gift of William l. By 1264 the church and a mill were administered by Otterton.
Dennington — with Stout Hill, Yarcombe, woodland, pasture and land, gift of William l, formerly held by Harold, worth £2 [and church of St Nicholas?] Dupont calls this Donnington or Dotton.
Withycombe — parcels of land, west of Budleigh and Otterton.
Woodbury — church of St Swithin plus land worth 20s. Gift of William l, dominated by huge late Iron Age fort, founded in late 7th century when the Saxons colonised East Devon. A royal manor and important enough to have a parish gild in C11th century, north west of Otterton.
Harpford — church of St Nicholas. Held by 1206 when mentioned in a charter. Manor formerly held by canons of Coutances. "...the Church (St. Gregory,) is a venerable fabric, with a tower and three bells, and was appropriated in 1205 to the Abbey of St Michael de Monte, and afterwards to Sion monastery...", 5km NW of Sidmouth.
Venn Ottery — chapel dependent of Harpford church, very close to Harpford. Its status is cited in 1267 (and also a little earlier).
Sidmouth — church. Held in 1086 by canons of Rouen, granted in 1212 by Bishop Marshall to MSM, of which the Priory of Otterton was a cell. It held revenues in the church, town, mills, woods, market, fishing and everything pertaining to it. Church rebuilt in 1859/60, only the tower and arcade on each side of the nave are original. [See Dupont]. The Otterton market recorded in 1086 may have been held at Sidmouth and in 1281 the Sidmouth market was recorded as if it were at Otterton. The chapel of St Peter recorded in 1322 was demolished in 1805 but part of a wall remains visible at the Esplanade.
Stoodleigh — church, near West Buckland, not mentioned after 1179, probably exchanged for Harpford.
Forsham — land held from Baldwin the Sheriff, worth 30s (check... no references...)
Hederland — chapel of ease dependent of St Michael's church, Otterton, mentioned in 1206 charter, mention of chapels 1257 and of 'land'.
Basing — church, tithes and land worth £4 5s. Dupont says church plus chapels or maybe three churches. Not noted by Millénaire St Mary's Church Old Basing?]
Basingstoke — church and dependent chapels, gift of William l [note important C14th St Michael's Church in Basingstoke]
Selborne — church and possible chapels. In Robert de Torigny's gift of Basing church he says he also held Selborne church and the fruits of both were given to MSM. Impressive C12th St Mary's Church is still in existance.
Martock — All Saints Church and dependent chapels, the church the second largest in Somerset. Mentioned in 1175 by Bishop of Winchester as given (re-given?) to MSM.
South Heighton — church [not noted by Millénaire] appears to have been lost/abandoned: "Land at The Hall, Heighton Road, South Heighton, East Sussex. Archaeological Evaluation Report Score, D Oxford : Oxford Archaeological Unit, 2000, 16pp, figs, tabs, refs Work undertaken by: Oxford Archaeological Unit. An archaeological evaluation was undertaken in respect of a planning application for two residential dwellings. The evaluation revealed the remains of a substantial flint and mortar wall foundation, which was interpreted as the west end of St Martin's Church, a building identified from historical maps. The line of the north wall return was also noted and appeared to have been constructed on a chalk platform cut into the natural slope of the hill. A feature interpreted as the foundation pit for a buttress and deposits inside the church area forming a make-up for what would have been the church floor were also recorded as well as robber trench and demolition deposits. A number of post holes to the north of the church were seen and probably related to a building contemporaneous with the church. A stone baptismal font still in existence at the site was also photographed but no evidence for associated burials was found in the evaluation trenches. MD, PM, MO, UD."
Wooton Rivers — two churches and some land, gift of William l, See Wooton Rivers. [Dupont records only one un-named church.] "A church belonging to the abbey of Mont St. Michel (Manche) stood at Wootton Rivers in 1086; it was one of two churches on the estate called Wootton, the second of which may have stood at Easton. In the Middle Ages the rectory was poor: it was valued at £5 in 1291, was exempt from taxation because of its poverty in the late 15th century, and was valued at £8 in 1535. In the early 13th century Wootton Rivers church was served by a rector, and the abbey was entitled to a pension from its revenues. In 1212 the abbey of Mont St. Michel and Walter de Rivers, lord of Wootton Rivers manor, agreed that each should present alternate rectors. There is no evidence that the abbey ever presented, and the advowson descended with the lordship of the manor. Besides the village, the parish contains East Wick Farm, which possibly stands on the site of what was a small village in the Middle Ages. The suffix in the parish's name is the surname of lords of the principal manor and was in use in the 14th century. In 1300 the land between the eastern arms at the north and south ends of the parish, which either was or might soon have become part of the parish, was probably woodland and was defined as a southern tail of Savernake forest. It remained part of the forest in 1330, when the land east and west of it was disafforested, and as Brimslade it remained extra-parochial until the 19th century. Wootton Rivers parish measured 1,200 a. (486 ha.)... Sharp bends in the boundary with Milton Lilbourne may be partly the result of a compromise between the rector of Wootton Rivers and the appropriator of Milton Lilbourne church who disputed tithes c. 1215 and c. 1327... There were 51 poll-tax payers at Wootton Rivers in 1377; they presumably included the inhabitants of East Wick... The church, the rectory house, and the demesne farmstead of Wootton Rivers manor stand as a group at the south end of the village. The church stands on rising ground and, when it was built in the 14th century, replaced a church which may have stood on a lower site."
Wath, Ripon — St Mary's church. [See Dupont who cites confusions over three places called Wath in Yorkshire and whether the church depended from York or Durham.] Perhaps the gift of Breton Count Brien or Alan, dedicated to St Mary, see Wath: "Before the Conquest a 'manor' and 6 carucates in Wath were held by Archil and Roschil, but in 1086 they were part of the demesne of Count Alan, and the overlordship remained with his successors. The whole of Wath and the church were granted before 1156 to the abbey of Mont St. Michel. In spite of this it seems clear that Alan, the fourth Lord of Richmond, who died in 1146, granted it to Brian, Lord of Bedale, whose successors retained a mesne lordship here, and that Brian or his son enfeoffed of it one of the ancestors of the Marmions, probably Gernegan son of Hugh, against whom the monks of Mont St. Michel brought a plea concerning land in Wath in 1176Ð77. Brian's elder brother, Conan Earl of Richmond, had confirmed his predecessor's grant to the abbey, but the dispute was carried on for more than sixty years. In 1239 the matter was carried to the Papal Court. It was then stated on behalf of the abbot and convent that the grant of the manor by the late Earl of Richmond had been confirmed by successive Kings of England, and that they had always had two monks on the manor, but that Sir Robert Marmion, kt., claimed it in right of his wife Avis daughter of Gernegan. The predecessor of the then abbot had been summoned before the king's court, and Robert Marmion 'offered to prove by duel that the manor was his, which challenge, although he had other defence, the late abbot indiscreetly accepted. The combatants fought in a place appointed by the king, the knight bringing a multitude of armed men, and the knight's champion was more than once brought to the ground, on which the knight's party interfered to rescue him, and threatened death to the abbot and his champion, so that the abbot, fearing that death would ensue, came to the spot and renounced his right, which renunciation the knight would not admit save by way of peace and payment of a sum of money.' The abbot and convent prayed that the renunciation, made without the consent of the convent, might be annulled, and the pope summoned the parties before him. The Marmions were apparently the successful claimants. From at least 1243, when Avis Marmion obtained a grant of free warren in her demesne lands here, the manor followed the descent of West Tanfield until the latter part of the 19th century, when it was purchased from the trustees of the third Marquess of Ailesbury by the family of Newsome of Dewsbury, who are now in possession."
Wyberton — church and 12 acres, perhaps from the Breton Count Brien or Alan, church of St Leger/Leodgar...



Vale — priory of St Michel de la Valée, may perhaps have had a St Michael's church separate from the parish church of St Michel mentioned by Adrian lV and Alexander lll which records its rights to three other churches, the village of 'Gouale', its mills, fishing, port, etc. It appears the priory held the churches of Castel, St Pierre-du-Bois, St Saviour and Vale. Christianity arrived here at least by ca. AD 600, perhaps introduced by St Magloire to whom a chapel was dedicated which later belonged to MSM now vanished. Benedictine monks of MSM came to Guernsey ca. 968 establishing a Priory of Mont St Michel in the north of the Guernsey which then formed a separate island at high tide. The last remaining evidence is a piece of buttressed wall south of the church, the priory perhaps holding the separate St Michael's parish church which has a mooring ring on the church used by people visiting the church by boat. [See Dupont]
Castel — parish church of Ste Marie de Castel (Guernésiais: Lé Casté; French: Sainte-Marie-du-Câtel). Largest parish in Guernsey, renowned for medieval frescos and pre-Christian neolithic menhir in the churchyard, thought to be carved to represent a female fertility symbol. Mentioned in papal documents in 1158. Mentioned as dependant of MSM by 1280.
St Saviour — parish church, islands part of the Duchy of Normandy in AD 933, St Saviour's Church mentioned in a charter ca. 1030 by which Duke Robert of Normandy assigned the church, and three others in Guernsey, to the Benedictine Abbey of Mont St Michel in Normandy, the gift confirmed by his son Duke William (the Conqueror) in 1048, and by Pope Adrian IV (Nicholas Breakspeare, the only English Pope) in 1155, the present church containing C12th elements.
St Peter — St Pierre du Bois parish church. Given to MSM in ca. 1280, the present church was built around 1375 and added to in the 15th century. [See Dupont]
Lihou — the priory of St. Mary, probably ruined in C18th, was situated on island of Notre Dame de Lihou accessible at low tide. Believed to have been established by Benedictine monks in the 12th century. The unpopularity of the monks with the local people may have be due to the monks' insistence on rights of wreck. Approaching sailors said to have dipped their masts to it. Until 1415 it was under the control of MSM, thereafter under Eton College until the Reformation when it was closed and fell into disrepair. Remains of priory walls and a chapel visible. The house on Lihou was used for target practice by heavy artillery during the German Occupation of the Channel Islands during World War II. Now an educational resource.
St George — chapel, one of two chapels (St Anne's at King's Mills) in St Saviour's parish on Route Deslisles, demolished in the 18th century, near the estate bearing his name can be found the feudal courthouse of the Fief Le Compte and the holy well of St George thought to have healing properties. See Dupont for link with the Comte/Earl of Chester.
Jethou — church. Archaeological traces of what may have been the chapel or church, mentioned in a papal bull in 1156, were discovered in 2007. Michel Mollat says this island of hermits was granted to the monks around 1100 by Rastaud, one of Duke Robert's sea captains, who nevertheless retained its revenues for his lifetime.
Sark — chapel of St Magloire. Richard de Vernon confirms, ca. 1190, his father's earlier gift of the chapel to MSM in 1160 but this is not, says Dupont, the parish church of St Magloire mentioned in C12th charters. Michel Mollat says that Duke Robert accorded rights to the monks on Alderney and Sark in return for taking back half of Guernsey.
St Clement — priory. Scarcely ever more than two monks. Traces of foundations have been found in the south-west of the parish, near the cemetery. There is a Priory Farm in the parish today. See Dupont for details of building of an oratory in 1172.
St Ouen — parish church (originally cruciform in shape). Given to MSM with its land and a house at the same time as St Mary at Lecq by Philippe de Carteret (see charter 1167, or maybe as early as 1156... see Dupont). In 1285 his son Renaud dropped proceedings to reclaim it. The gift was probably associated with a member of his family becoming a monk at MSM. The chapel of St George at Vinchelez de Bas was given to MSM by Alain de Vinchelez at the same time. At that time he owned Vinchelez 'de Bas' and 'de Haut', then one manor. The chapel disappeared long ago (though described in 1606) but its cemetery is beside the entrance to the Manoir de Bas. The Clos St George is still well-known. [Dom de Camps says MSM lost the church to "the puritan heretics"!]
Lecq — priory and chapel of St Mary in parish of St Ouen of which it may have held the curacy. Given to MSM in 1167 by Philippe de Carteret.

[Not all the estates noted by André Dupont in Essai d'un Catalogue Critique des Églises et Chapelles dont le Patronage Appartenait à l'Abbaye du Mont Saint-Michel (1979) appear in the Millénaire Monastique du Mont Saint-Michel (1966). But his findings do generally accord with much more detailed English records to which he has, however, made no reference.]


Were two 'charters' that supposedly gave St Michael's Mount to Mont-Saint-Michel mediaeval forgeries?

Edward The Confessor's charter:

Mme Fauroux, in her work Recueil des Actes des Ducs de Normandie, publishes the charter of Edward The Confessor, apparently giving St Michael's Mount to the monks of Mont-Saint-Michel, dating it to 1027-1035 or more likely 1033-1034. She believes that although it seems suspect at first sight (given that Robert the Magnificent countersigns a charter naming Edward as king when he in fact he didn't begin his reign in 1042) one could consider it contemporaneous with the set-back facing Duke Robert of Normandy in his attempt to get the exiled prince Edward repatriated. (Edward was then in exile with his brother Alfred while Canute and his sons ruled in England.)

"His fleet was repulsed at Jersey and then they passed, both of them presumably, to Mont-Saint-Michel. Edward's presence at Mont-Saint-Michel might have provided the opportunity to offer a gift to the monks which would scarecely cost him anything as well as underlining 'diplomatically' his title as king."

Her conjecture is convincingly dismissed by P.L. Hull, archivist to Cornwall County Council, who says there is no evidence that Edward visited MSM, that he would not have called himself king while Canute was still on the throne and that he would have had no title to the lands concerned. Furthermore, at the date she suggests, how could the solemn curse on infringers of the charter be promulgated.

Similarly, M.D.J.A. Matthew (in Norman Monasteries) is not convinced by Mme Fauroux: "In the late eleventh century the monks appear to have been in serious trouble with the mighty Robert of Mortain and it is tempting possibility that this charter was concocted about the same time, to defend claims to lands which their canon predecessors on the Cornish Mount may even have enjoyed, but for which the monks could find no documentary proof. This would explain the violence of 'Edward's' language; the monks may also have preferred to compose a Norman charter and not to risk too much by inventing an English one."

Robert de Mortain's charter:

H.W.C. Davis and R.J. Whitwell (in Ragesta) consider the 'gift' by Robert de Mortain as spurious: "The fabrication of a charter attributed to Robert would, however, have been made only after his death, and probably after the death of Henry l, who might have remembered that he had witnessed no such document, even as a lad."

P.L. Hull is not convinced by the authenticity of the "inflated and spurious" copy in the MSM Cartulary of the so-called gift by Robert de Mortain. But while he sees inconsistencies in its supposed 'original' he remains open to its authenticity and certainly he sees no evidence for the claim that the original donors were the Breton counts who appear to have held much of Cornwall prior to the arrival of Robert de Mortain. However, he also finds serious problems with a supposed copy of the original, now preserved in Exeter. The arguments he presents are complicated, going as far as suggesting someone's adulterated copy of the supposed original became the source for someone else's adulterated and supposedly authentic copy of the original. But he is uncertain whether the forgery was begun in Normandy (well accustomed to forgery) or in England under Norman influence. However, even if Robert de Mortain did not found the priory at SMM, he sees no reason to doubt that Robert de Mortain, with his second wife Almodis, made this possible and made grants to "St Michael and the monks" (of the Norman abbey) including: the manor of Ludgvan and the holding of Bloyou in the manor of Truthwall in Ludgvan and St Hilary and both the fairs of the Mount. This accords with the Domesday account. For detailed analysis of his arguments, see his intriguing article in Millénaire Monastique du Mont Saint-Michel (1967).


Précis of the work by D. Matthew, Lecturer in History at the University of Liverpool, on the relationship between Mont-Saint-Michel and England in mediaeval times

William the Conqueror gave MSM several estates in south Devon, easily accessible by sea from west Normandy. The most valuable of these was Otterton which increased in value between 1066 and 1086 and was worth £18 thanks to its salt pans, mills, fields, woodland and pasture.

William then gave them Denington, Stout Hill in Yarcombe and Woodbury church which had belonged to King Harold and were worth £2, £3 and 20 shillings respectively. The monks also held Forsham from Baldwin the sheriff, worth 30 shillings in 1086. Buddleigh was acquired later from Henry l.

But William had early on given the monks estates in other counties so that in 1086 they held Cholsey (Berks), Basingstoke (Hants), Wooton Rivers (Wilts) and it was probably William who gave them Wargrave (Berks), Selbourne (Hants) and Martock (Somerset). These were valuable assets and easily accessible from Southampton. Churches could be as valuable as manors, e.g. Henry l offered them the Buddleigh estate (worth £12) in exchange for the churches at Cholsey and Wargrave.

It is unclear when the monks first acquired property in Cornwell but it appears they bought an estate in Truthwall from Robert of Mortain which, in 1086, was said to be been taken earlier by Robert from Saint-Michael. It is likely that the Breton counts gave Cornish property to the monks (perhaps Counts Brien and Alan whose family had become substantial landowners in Cornwall after the Conquest). Certainly the monks acquired churches from them at Wath (N. Riding, Yorks) and Wyberton (Lincs) which were subsequently associated with the Cornish property. [P.J. Hull sees no evidence for such a Breton gift].

By the reign of Henry ll the monks had acquired interests at Sidmouth (which had belonged to the canons of Rouen in 1086), some parcels of land at Withycumbe and the church at Stoodleigh which, after 1179, they may have exchanged for the nearer Harpford church which they held by 1206.

By the C13th the monks used their property holdings to make a series of sophisticated and very profitable 'arrangements' with some of the most powerful men in the land which not only won them friends in high places but assured them long-term pension income.

Less successful was the loss of their rights to Wooton Rivers in a legal dispute in 1211. But the most serious loss of all was Wath 'priory' and the church of Wyberton. Others had contested the ownership as early as 1177 and the monks' hold on the properties diminished after complex claims, counter-claims and eventual dispersal to powerful and influential figures.

Though these losses effectively ended the Norman monks' adminsitrative power over English territory, it had the effect of winning for them influential friends in high places in England.

Spiritual links between MSM and religious houses England were slim. The monks record a society and fraterrnity with Bath while English records show a similar relationship at Hyde, and it was through Hyde that St Mary's York observed St Michael 'de periculo maris' (William the Conqueror having appointing Ruald, prior of MSM, as abbot of Hyde).

There may have been other associations of prayer as monks from MSM were appointed abbots in Engand. William became abbot of Cerne after the Conquest and his obit was remembered at MSM, together with that of abbot Robert (another monk from MSM, who was appointed abbot under Henry ll) and that of Scolland (treasurer of MSM) who became abbot of St Augustine's Canterbury. Another monk, Serlo, became abbot of Gloucester under the Conqueror without establishing any long term relationship.

No other link between MSM and relgious houses appears to exist except that the living tradition of Anglo-Saxon art in Canterbury may have influenced the development of illustrated manuscripts at MSM in the early C12th.

MSM's religious communities in England were never very large. The Otterton Cartulary says that 13 monks lived at the priory of St Michael's Mount, founded in the mid-C12th. By the C14th the prior was sometimes alone. A royal enquiry at Otterton, in July-November 1332, learned that there was provision for four monks. At Wath the abbot said he had places for two more. And throughout England the estates might never have supported more than a dozen monks. By the late C14th Otterton's abbot could provide just two places, while SMM might have taken more but had fewer revenues that Otterton. Despite this the abbot at MSM seems to have expected Otterton to operate a monastic chapter!



The following thumbnail pictures are references for which exhibition 'reproduction permissions' may be needed.


SMBooton.jpg SMBucklandStoneHailesAbbey1.jpg SMBucklandWindow.jpg SMCartmelPriory1.jpg SMCartmelPriory2.jpg SMCartmelPriory3.jpg SMCartmelPriory4.jpg SMCartmelPriory5.jpg SMCartmelPriory6.jpg SMCartmelPriory7.jpg SMCartmelPriory8.jpg SMCartmelPriory9.jpg SMCefnllysPowysWales.jpg SMEfenechtydWalesC13.jpg SMFeatheredArchangel.jpg SMGlastonburyTor.jpg SMLongStantonCambs.jpg SMMBoatmen.jpg SMMereWiltsStainedGlass.jpg SMNormanFont.jpg SMPilgrimPorts.jpg SMSmethcottSalopNorman.jpg SMSouthampton1070.jpg SMSouthamptonMediaeval.jpg SMSouthLeighOxonSMWeighing%20Souls.jpg SMStAlbansDoom1.jpg SMStAlbansDoom2.jpg SMStockton.jpg StMarysMeyseyHamptonC14thStMichaelWeighi StMichaelCoxwold1420s.jpg StMichaelDalburyDerbyshireC11thOldestInS StMichaelFeastLatLiturgE39Fol125vBodleia StMichaelsAslacton.jpg StMichaelsColdKirbyNormanWindowFont.jpg StMichaelsColdKirbySiteOfC12thChurch.jpg StMichaelsDenmarkStPostSiege1651.jpg StMichaelsEatonBishop.jpg StMichaelsEatonBishopDetail.jpg StMichaelsEatonBishopSaintMichael.jpg StMichaelsEatonBishopTower.jpg StMichaelsEatonBishopWeighingSouls.jpg StMichaelsHerefordWorcsWeighiungSouls.jp StMichaelsHighCrossLeicesterMedBurials.j StMichaelsLongStantonC13th.jpg StMichaelsOultonGrotesquePriestsDoorway. StMichaelsOultonNorfolk.jpg StMichaelsOultonTowerDoor.jpg StMichaelsOultonTransept.jpg StMichaelsScoRuston1.jpg StMichaelsScoRuston2.jpg StMichaelsScoRustonNorfolk.jpg StMichaelStainedGlass.jpg StMichaelsTinternCeltic765AD.jpg

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Communiqué par monsieur Jean-Paul Hervieu, président de la SAHM

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15 mars 2009 7 15 /03 /mars /2009 14:00
SOCIETE D'ARCHEOLOGIE ET D'HISTOIRE DE LA MANCHE

Section de Valognes

8 avril 2009

Patrice MOUCHEL-VALLON

Le rôle réel de Valognes dans le soulévement de la Ligue en Cotentin (1589-1597)

Président de la section : Stéphane Lainé

Information à diffuser en citant la source. Merci
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