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20 janvier 2022 4 20 /01 /janvier /2022 19:28

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Published by Yves Marion
16 janvier 2022 7 16 /01 /janvier /2022 14:40
Dès l’année 1780, de Montyon avait fondé, sous le voile de l’anonyme, un prix de douze cents francs, pour être décerné tous les ans à l’ouvrage 
le plus utile au bien temporel de l’humanité.

Madame d’Epinay fut le premier lauréat couronné par l’Académie

Louise d'Epinay

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Published by Yves Marion
12 janvier 2022 3 12 /01 /janvier /2022 10:02

 

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Published by Yves Marion
9 janvier 2022 7 09 /01 /janvier /2022 12:20

Notre ami Christophe Canivet signale une référence trouvée sur Gallica d'une plaquette publiée par le syndicat d'initiatives de Saint-Lô possible à consulter en cliquant sur le lien suivant :

Bibliothèques spécialisées Paris

Il s'agit d'un guide illustré de Saint-Lô  de 22 pages, noir et blanc. Sur la seconde page, une date et un nom : 25 septembre 1942 et M. Burthe d'Annelet. 

En consultant cette plaquette, je découvre la description de la préfecture et des archives. C'était donc avant leur destruction en 1944. Une particularité est mentionnée sur la façade de l'immeuble des archives : l'écusson en pierre montre les trois fleurs de lys de la royauté et le N. napoléonien. Comme le souligne l'auteur non sans une pointe d'ironie à peine voilée : "il ne manque que les R.F. de notre République".

 

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Published by Yves Marion - dans Histoire
2 janvier 2022 7 02 /01 /janvier /2022 09:56

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Published by Yves Marion
30 décembre 2021 4 30 /12 /décembre /2021 18:34

Ce matin, sur France-Inter, il a été évoqué le terme d'ultracrepidarianisme. Qu'est-ce que c'est? 

L’ultracrépidarianisme, c'est le fait de s'exprimer en dehors de son domaine de compétences, en donnant son avis sur un sujet pour lequel on n'a pas ou trop peu de compétences légitimes ou avérées.

Peu utilisé dans le langage courant, ce mot est réapparu  notamment grâce au philosophe Etienne Klein, au début de la crise sanitaire du coronavirus pendant laquelle de nombreuses personnalités ont pu s'exprimer sur le sujet sans en être spécialistes.

Ce mot un peu barbare est issu d’une expression latine : « sutor, ne supra crepidam », signifiant « cordonnier, pas plus haut que la chaussure ». Cette curieuse expression pour dire qu’une personne ne peut se permettre de se consacrer à une tâche autre que celle correspondant à ses compétences.

L’ultracrépidarianisme décrit donc de manière péjorative les personnes qui émettent des avis sur des sujets qu’ils ne maîtrisent pas, et à propos desquels ils n’auraient aucune compétence.

C’est ce qu’a pu relever Etienne Klein, philosophe et physicien, notamment dans son livre Le goût du vrai (Edité chez Gallimard en 2020), depuis le début de l’épidémie de Covid-19.

Ce n'est pas un argument pour empêcher de donner son avis, ni de débattre, de réfléchir, d’avancer vers la raison. Cependant, il faut rester humble et connaître les limites de ses savoirs, en posant des questions et en confrontant les points de vue. 

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Published by Yves Marion
28 décembre 2021 2 28 /12 /décembre /2021 09:53

Pourquoi les femmes ont-elles disparu de l'histoire ? Telle est la question que se pose, avec Titiou Lecoq,  Ouest-France, en dernière page, dans son édition du lundi 27 décembre 2021. Dans une brillante analyse, Les grandes oubliées : pourquoi l'Histoire a effacé les femmes, éditions de l'Iconoclaste, 326 pages, Titiou Lecoq, dans une approche claire et non dénuée d'humour, offre au lecteur les éléments de comprehénsion d'une histoire qu'elle ne craint pas de qualifier de sexiste. L'action de femmes connues en leur temps ont été, parfois intentionnellement, gommées de l'histoire. Voltaire en est l'archétype. On sait, avec Elisabeth Badinter, comment il a discrédité les recherches mathématiques de son amie intime Emilie du Châtelet. A ses yeux, une femme, ne pouvait pas penser encore moins faire des recherches surtout dans ce domaine ! Il n'est aussi que d'interroger les manuels scolaires et d'essayer de repérer la place que font aux femmes les auteurs et les programmes. Et c'est bien à l'école que se construit l'essentiel de la culture générale au moins ses fondements. Observons, nous invite Titiou Lecoq, les manuels de SVT dont les affirmations vont à l'encontre des recherches scientifiques les plus récentes attribuant au masculin l'ction et au féméinin la passivité ! 

Mais au-delà des faits, il faudrait analyser d'une manière objective et historique les courants qui conduit à cet situation encore trop ancrée dans les mentalités. Il est pour le moins curieux que les prises de postion en faveur de la liberté et de l'égalité se clivent dès lors qu'il s'agit du statut de la femme dans la société.  Pourtant, au plan idéologique, les philosophes des Lumières et les écrivains affirment que la femme n'est nullement inférieure à l'homme et qu'il n'existe aucune loi naturelle qui soumette la femme à l'homme. Néanmoins la pensée traditionnelle de l'époque ne parvient pas à dégager la femme d'un rôle de subordonnée que le IXIe siècle ne cessera d'accentuer encore. Comment n'en est-on pas sorti quand Montesquieu, qui passe pour une référence, revendiquait dans son Esprit des Lois une rélle égalité de l'homme et la femme : "l'empire que nous avons sur elles est une véritable tyrannie" (Esprit des Lois, L. VII, chap. IX). Il dénonçait, dès 1748, la situation qui leur était faite en termes politiques : " Aussi, a-t-on vu dans tous les temps marcher d'un pas égal la servitude domestique et le gouvernement despotique" (Esprit des Lois, L. XVI, chap. IX). En faisant vivre les filles dans la contrainte et la futilité, on en arrive à des filles "qui ont un esprit qui n'ose penser, un coeur qui n'ose sentir, des yeux qui n'osent voir, des oreilles qui n'osent entendre; qui ne se présentent que pour se montrer stupides : condamnées sans relâche à des babatelles et à des préceptes" (Esprit des Lois, L. XXIII, chap. IX). Ce serait donc affaire d'éducation. Et qui donc a le pouvoir en la matière ? C'est ce processus qu'il conviendrait d'analyser. Déjà, l'observation de l'accès à l'instruction permis aux filles apporte un certain nombre d'éléments objectifs. Encore faudrait-il entrer dans le détail des contenus... Bref, il y a là un terrain d'investigation ouvert que Titiou Lecoq défriche avec talent. 

Une lecture à recommander :

Titiou Lecoq, Les grandes oubliées : pourquoi l'Histoire a effacé les femmes, éditions de l'Iconoclaste, 2021, 326 pages, préface de Michelle Perrot

mais aussi :

 

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Published by Yves Marion
27 décembre 2021 1 27 /12 /décembre /2021 18:59

Le 13 juillet 1907, les femmes mariées obtiennent le droit de dépenser à leur guise les fruits de leur travail. Cependant, de nombreuses conditions viennent nuancer la portée émancipatrice de cette nouvelle loi.

Femme essayant des chaussures dans une boutique, Agence Meurisse, 1935-36 - source : Gallica-BnF

Voir article Retronews

01/09/2020 par Michèle Pedinielli - modifié le 23/08/2021

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Published by Yves Marion
19 décembre 2021 7 19 /12 /décembre /2021 17:50

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19 décembre 2021 7 19 /12 /décembre /2021 10:18

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